Le Diable

Explication de texte Vocabulaire Déité : déesse Musc : sécrétion odorante Obi : sorcier noir Faust : personnage qui a vendu son âme au diable Constance : vin exotique du Cap (Afrique du Sud) Nuits : vin capiteux de Bourgogne Partir en caravane : mener une vie de débauche Styx : fleuve qui fait neuf fois le tour des Enfers Mégère : une des Furies, qui venge les crimes impunis Proserpine : reine des Enfers Commentaire littéraire : Sed non satiata fait partie du cycle

par la guerre, taverne) donc ce serait l’enfer sur terre. * L’homme a succombé à la tentation du diable et ce dernier jouit de pouvoir les tourmenter pour l’éternité * Les punitions sont en rapport avec le péché que les personnages ont commis * Le gourmand qui vomit * La femme orgueilleuse qu’on punit en lui montrant son reflet tandis qu’elle se fait tripoter par un diable. * Les personnages embrochés sur des instruments pour l’utilisation de la musique pour séduction

les palatins, livrés ici au diable Belzebuth derrière lequel se cache évidemment notre poète. Un plagiat déstructuré d'une ballade médiévale Rimbaud ne fut certes pas le premier adolescent à se réfugier avec ses colères et ses espérances dans le mirage ambigu des vers et des quatrains. Nous sommes confrontés dès le titre à sa volonté adolescente de choquer le bon goût bourgeois qui se reconnaîtra dans la situation du pendu avec son "armure de carton". Sous le diable Belzébuth qui maltraite les

"lâches", "oreiller", "berce", "débauché". L'homme est emporté: "C'est le Diable qui tient les fils qui nous remuent", "Chaque jour vers l'Enfer nous descendons d'un pas". L’homme est déshumanisé, il n'est plus maître de son corps. La volonté est caractérisée par un lexique laudatif "riche métal" tel une pierre précieuse qui contraste l'importance de sa disparition. On relève le champ lexical du mal, « Satan », « démon », « diable », le mal est donc très présent. Champs lexical de la pourriture, dévoré

de jeter des sorts et des malédictions. Origine de ses pouvoirs : Dans l’histoire, les sorcières sont d’abord des humaines qui ont passé un pacte avec le démon. Le diable, en échange de sa soumission (passant par le rejet de la foie chrétienne) et de son âme (après sa mort), il lui donne richesse et pouvoir magique. Le diable appliquait une marque sur la sorcière. Leur pouvoir sont donc démoniaques, magie noire (contrairement aux fées qui pratique la magie blanche). Dans les contes de fées

adopte une forme particulière (partie rose) on trouve, au centre, la représentation de la pesée des âmes, qui oppose Saint Michel (" qui est comme Dieu "), prince de la milice céleste, mentionné dans l'Apocalypse de la Bible et dans le Coran), au diable, ce dernier essayant de tricher en appuyant du doigt sur la balance (1). A gauche… Derrière Saint Michel, des tombeaux s'ouvrent progressivement, ce qui symbolise la résurrection des Justes (2). Juste au-dessus, on voit Sainte Foy, les mains jointes

lexical du mal, « Satan », « démon », « diable », le mal est donc très présent. Baudelaire développe ici une esthétique satanique. La majuscule à l'épithète de «Satan Trismégiste » montre la toute puissance du diable. Il est décrit comme un chimiste qui travaille sur notre esprit. L’Homme ne peut rien faire contre lui. Le Mal attire les hommes, il les ensorcelle « notre esprit enchanté ». L’Homme n’est qu’une marionnette que Satan domine (« c’est le Diable qui tient les fils qui nous remuent » vers

un vieil inconnu, le Diable. Ici, apparaît également la tentation de la richesse, de la facilité. Le vieil homme demande au meunier s’il peut avoir en échange de richesse ce qui est derrière son moulin, le meunier croit qu’il s’agit d’un simple pommier. Le choix de l’arbre est lui aussi symbolique, la pomme étant l’objet du péché originel qu’Eve a commis et qui a conduit le monde à ses malheurs. Cédant à la tentation de la richesse et au pacte facile proposés par le Diable, le meunier se retrouve

Par fois, j’ai peur d’être schizophrène, car j’ai foncièrement la sensation qu’il y 2 parties en moi, que je suis manichéenne avec ma perception de bonnes choses et des mauvaises choses à faire. Et souvent, malheureusement, c’est le « diable » qui l’emporte. Le diable oui, celui qui me guide dans ma procrastination, qui me pousse dans ce qui n’est que secondaire, pour ne pas faire face au primordial. Je pense que peut-être, j’aurai peur d’affronter, et pire, d’affronter seule des décisions dans ma

frères et soeurs.L'enfance passe, la jeunesse prend place, la vieillesse les remplace et la mort les efface. La vie est courte, le jugement est long et le verdict est éternel. Alors multiplie les bonnes actions incha'Allah. Quand tu tiens le Coran, le diable a mal à la tete. Quand tu l'ouvres, il s'évanoui. Quand tu le lis, il devient fou et pleure. Quand tu voudras partager ce message aux croyants, il va t'en empecher...?Imagine toi habillé en blanc, allongé sur le coté droit, entouré des gens qui t'aiment