Le Dieu bleu

en rouge, le deuxième moment en vert, le troisième moment en bleu. Jean le Baptiste baptisait les fidèles dans l’eau du Jourdain. C’est d’ailleurs lui qui a baptisé Jésus-Christ. Un jour, il voit passer le roi Hérode Antipas et sa nouvelle femme, Hérodiade. Il accuse cette dernière d’être une femme impure. Furieuse, Hérodiade demande à son époux d’exécuter Jean le Baptiste mais Hérode Antipas, craignant la colère de Dieu, se contente de l’emprisonner. Lors d’un dîner, Salomé, la fille

le diable de les aider. Mais celui-ci restait insensible à leurs suppliques. Voyant cela, Inti, le dieu du Soleil, se mit à pleurer. Ses larmes étaient si abondantes qu'en quarante jours elles inondèrent la vallée. Un homme et une femme seulement parvinrent se sauver sur une barque en jonc. Quand le Soleil brilla à nouveau, l'homme et la femme n'en croyaient pas leurs yeux : sous un ciel bleu et pur, ils étaient au milieu d'un lac immense. Au milieu des eaux flottaient les pumas qui s'étaient

souffrance des soldats et des mères et se révolte contre la religion et un Dieu indifférent. Ce poème est un sonnet de structure classique composé d’une seule longue phrase. Les vers sont des alexandrins et les rimes sont croisées dans les deux quatrains et embrassées dans les deux tercets. Comment Rimbaud, à travers sont sonnet, dénonce-t-il les horreurs d’une guerre ainsi que ses conséquences et l’indifférence d’un Dieu face à ce carnage ? En premier lieu, nous évoquerons une double dénonciation

Théatre-Museu Gala Salvador Dali. C'est en 1939 à New-York, que Dali écrivit un scénario pour son premier ballet, Bacchanale, basé sur un extrait de l'Acte I de Tannhäuser de Wagner ainsi que sur le mythe de Leda et le Cygne dans la mythologie ou dieu aurez pris la forme d’un signe pour la séduire, Dali est celui qui là le mieux réinterprété. Son art est connu dans le monde entier de par son originalité. Le peintre travaille beaucoup en trompe l’œil et sur le surréalisme. Mais la peinture de l’artiste

observe également que le tableau respecte une certaine symétrie. On pourrait tracer un axe passant par la porte du temple, l’alliance et la ceinture de l’homme d’église. Cet axe semble indiquer le chemin à suivre qui, ici, nous mène à la maison de Dieu. A l’avant plan, un arc de cercle imaginaire est également tracé comme pour nous inclure à l’événement. Enfin, les lignes de fuites suivent le damier du second plan et convergent toutes, une fois de plus vers l’entrée du temple. Celles-ci nous invitent

se trouve en bas. La personne voit à travers ce personnage. On a donc dans ce tableau un point de vue interne. Au second plan, on apercoit deux couleurs qui sont fortement présente dans cette oeuvre, le blanc et le bleu. Le blanc représente l'équilibre parfait, la pureté et le bleu est la couleur qui représente le rêve, la sérénité. On peut donc se dire que le personnage a pour habitude de se rendre ici car ce paysage le fait rêver. Dans ce tableau on se rend compte de la présence d'un fort contraste

sang. Le rouge est excitant, voire irritant jusqu’à élever la tension artérielle d’un sujet. • Le jaune, c’est l’ouverture, la clarté, la brillance, la noblesse. Mais le jaune, à peine terni de brun, de noir ou de bleu, on le ressent désagréable, maladif, sale et pauvre. • Le bleu, aérien, léger, «froid», où l’espace jusqu’à l’infini nous appelle. Profondeur des mers et de notre inconscient. • Le vert, ou mieux les verts des campagnes, nous apporte le repos, la paix, nostalgie des citadins

de l’Archange Gabriel, envoyé par Dieu. L’Ange Gabriel annonce à Marie qu’elle portera le Fils de Dieu tout est restant pure, ce qui permettra à Adam et Eve d’être lavés de leur péché d’impureté. Marie, surprise, lui demande: "Comment cela peut-il se faire puisque je ne connais point d'homme ?" L'ange lui répondit : "L’Esprit Saint viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre; c’est pourquoi l’être saint qui naîtra sera appelé Fils de Dieu…". A cela Marie répond : "Je suis

Tandis que les crachats rouges de la mitraille Sifflent tout le jour par l'infini du ciel bleu ; Qu'écarlates ou verts, près du Roi qui les raille, Croulent les bataillons en masse dans le feu ; Tandis qu'une folie épouvantable broie Et fait de cent milliers d'hommes un tas fumant ; - Pauvres morts ! dans l'été, dans l'herbe, dans ta joie, Nature ! ô toi qui fis ces hommes saintement !… – Il est un Dieu qui rit aux nappes damassées Des autels, à l'encens, aux grands calices d'or ; Qui

violet s’obtient par un mélange à peu près proportionnel de bleu et de rouge. Le rouge étant une couleur chthonienne (signifie « la terre ») et le bleu une couleur céleste. Ce mélange de couleur chaude et froide en fait une couleur tiède et on la désigne couramment comme la couleur de la tempérance (modération dans les plaisirs des sens). Au tarot, la carte de la Tempérance représente un ange avec dans chacune de ses mains, un vase rouge et bleu entre lesquels un liquide transvase. C’est l’échange permanent