Le Dilemme Les Justes

XVIIIe au XXe siècle Corrigés des exercices Chapitre 3 A. La tragédie grecque, source de la tragédie française B. La tragédie classique et ses règles C. Héros et héroïnes de tragédies Corrigés des exercices 2 Chapitre 2 A. Cruels dilemmes Texte 1 : Corneille, Le Cid, III, 4 Texte 2 : Corneille, Polyeucte, 1643, IV, 3 B. Un dénouement inhabituel Texte 3 : Jean Racine, Bérénice, V, 7. C. Bilan : tragédie et comédie D. Le devenir de la tragédie aux XIXe et XXe siècles Fiche

Troie............................................................................p. 14 « [L]a tragédie d'un lendemain de guerre » Des héros « ni tout à fait bons, ni tout à fait méchants ».....................................................p. 15 Le dilemme tragique et « Dire Andromaque »....................................................................p. 16 Bibliographie.......................................................................................................................p. 17 Séance

(« recherche de rente »)  Mais ils ne créent pas de richesse, ils ne font qu’en changer la détention Branko MILANOVIC : La question de l’inégalité juste « Inégalité soulève en fait la question de la justesse et de la légitimité du revenu »  sont-elles justes ou injustes ? (quesiton philo) « Une mondialisation sans redistribution nous mènera au chaos » On devrait redistribuer pr accompagner la mondia pourtant on observe le contraire avec les pol d’austérité qui minent l’Etat Providence et cela empire avc

DURKHEIM, les règles morales occupent une place importante dans les sociétés. Elles vont permettre d’en assurer l’éthique. Ces règles morales fonctionnent si les individus qui s’y contraignent, les respectent. Pour ce faire, il faut qu’ils les jugent justes. ( à titre d’exemple le film américan nightmare où on va organiser une résistance contre le système pour le dénoncer)DURKHEIM montre que la ville est un espace où les individus peuvent être à la fois protégés et à la fois davantage isolés , à l’image

richesses sans emploi ». Et qui s'indigne d'entendre un certain R.P. Barde assurer que les biens de ce monde, « s'ils restaient indéfiniment répartis, comme ils le seraient sans la colonisation, ne répondraient ni aux desseins de Dieu, ni aux justes exigences de la collectivité humaine » ? Attendu, comme l'affirme son confrère en christianisme, le R. P. Muller : « que l'humanité ne doit pas, ne peut pas souffrir que l'incapacité, l’incurie, la paresse des peuples sauvages laissent indéfiniment

qui permet de déterminer le contrat d’assurance optimal (P* ; I*). En marge de l’assurance, la finance est l’autre grand domaine d’application du choix rationnel en univers incertain (et objectif). L’individu épargnant est souvent confronté à un dilemme : acheter des actifs financiers à rendement fort mais incertain (comme certaines actions), ou alternativement acquérir des actifs financiers à rendement faible mais assuré (comme les titres publics). L’agent risque-tout est évidemment porté vers les

changements sans imposer de direction. Les nouveaux modes d’organisation, en se substituant au modèle industriel, à l’entreprise fordienne et aux lourdeurs bureaucratiques, ont généré de nouvelles formes de travail. Flexibilité, réseau, technologie, just-in-time, stratégie clientèle, qualité, diversification et personnalisation : tels sont les mots qualifiants ces modes d’organisation. Il appartient désormais aux entreprises de saisir ces opportunités qu’offrent les TIC en matière de flexibilité afin

richesses sans emploi ». Et qui s'indigne d'entendre un certain R.P. Barde assurer que les biens de ce monde, « s'ils restaient indéfiniment répartis, comme ils le seraient sans la colonisation, ne répondraient ni aux desseins de Dieu, ni aux justes exigences de la collectivité humaine » ? Attendu, comme l'affirme son confrère en christianisme, le R. P. Muller : « que l'humanité ne doit pas, ne peut pas souffrir que l'incapacité, l’incurie, la paresse des peuples sauvages laissent indéfiniment

de faible portée effectués par des millions d’individus peuvent avoir plus d’impact que les proclamations solennelles de gouvernements dotés de grands pouvoirs. Néanmoins, ce sont les actions des hommes, qu’elles soient justifiées ou simplement justes, résultant de la volonté ou de l’inertie, qui feront au cours des prochaines décennies la différence entre stagnation et dynamisme, récession et expansion. Les responsables politiques doivent par conséquent relever un double défi, à savoir trouver

visée dans des normes caractérisées à la fois par la prétention à l’universalité et par un effet de contrainte.[1] » Ce que Ricoeur résumé ainsi : appelons « visée éthique » la visée de la « vie bonne » avec et pour autrui dans des institutions justes[2] ». Il s’agirait alors de chercher une « vie éthique », pas seulement une vie responsable, mais une vie où la visée du bien nous change : une vie libre pourrait alors être animée par le souci du bien ou la vertu. On le constate aisément, l’éthique