Le Discours d'un roi

(1880) Généralités Contexte historique Le Classicisme, 17ème siècle, une période d’ordre et d’autorité. C’est l’époque de Louis XIV, l’autorité des seigneurs féodaux diminue de plus en plus. Ce roi marque l’apogée de la monarchie absolue de droit divin : le roi est le dieu sur terre. Il est l’objet d’un culte incroyable (par exemple, un brevet d’affaire est obtenu à celui qui l’assiste aux toilettes – c’est un privilège). Caractères, La Bruyère (feuille c) : il y montre les conditions difficiles

élément très important du récit : L’affrontement entre le roi et le cerf. _La F. traite cet affrontement comme s’il s’agissait d’une scène de comédie (il priviligie le discours direct du vers 33 au vers 49) On y observe un roi méprisant qui s’adresse a son sulbalterne, il utilise une apostrophe qui rabaisse le cerf et de meme l’expresion « membre profane » souligne la superiorité du roi. Mais le cerf suite a une discours qui flatte le roi renverse la situation ( évoque la prospérité ainsi que la

Depuis l’Antiquité, le discours rhétorique et l’éloquence prônent une nouvelle forme d’arme : la parole. A travers la puissance de son éloquence s’exprime la force de la parole. En effet, en nous appuyant sur la fable de Jean de la Fontaine « La Génisse, la Chèvre et la Brebis », nous pouvons nous demander, en quoi, grâce à sa parole, la démonstration d’abus de pouvoir du lion le dispense d’user de la force ? Nous étudierons tout d’abord le rapport de force entre ces animaux personnifiés

use des ressources du tragique pour faire une satire de la Cour fondée sur l'ironie ? 1. Le récit tragique C'est dans un contexte tragique de La Fontaine situe son récit, en exposan d'abord les ravages d'un fléau interprété comme un châtiment divin, puis en montant comment s'opère le choix d'un bouc émissaire sacrifié pour blanchir les autres. A/ Les ravages de la peste La situat° initiale de la fable, décrivant les ravages de la peste, est en effet tragique. Le chp lexic de la mort est omniprésent :

angousses et des dolours Et des grant biens qu’en ont souvant Li desiple de son couvant, Qui lors estoit riches et boens ; Le noble roi Arthur de Bretagne, Dont la prouesse nous enseigne à être vaillants et courtois, réunit sa cour avec la magnificence convenant à un roi, lors de cette fête qui coûte tant qu’on l’appelle avec justesse la Pentecôte. Le roi était à Carduel, au pays de Galles. Après le repas, à travers les salles, les chevaliers s’assemblèrent là où les appelèrent les dames

fermeté du roi. * L’opposition menée par les parlements * Les privilèges qui fixent la situation juridiques de toutes les classes sociales. La situation catastrophique des finances royales nécessite des réformes. Les états généraux sont convoqués pour trouver une solution budgétaire, il s’agit de sauver le royaume de la faillite. Très vite les états généraux se transforment en une assemblée générale. Cette assemblée nationale va exercer le pouvoir conjointement avec le roi. Il naît alors

les nobles … Ce livre raconte l’histoire d’un jeune homme naïf et qui va faire la tour du monde, il ne va lui arriver que des malheurs mais il va trouver le monde toujours aussi beau et rempli de bonne chose. Candide vient de fuir les jésuites au Paraguay, et est accompagné de Cacambo qu'il a rencontré là-bas. Poursuivis, ils ne savent plus où se rendre : ils n'en peuvent plus et sont épuisés, sa laissent porter par le courant d'un fleuve à bord d'un canaux. Ils arrivent par hasard à l'Eldorado

la fin du texte, raconte l'histoire d'un roi piégeant sa cour avec un faux miroir magique afin d'en vérifier la sincérité. Comment l'auteur parvient-il à clore ce conte d'une manière à marquer le lecteur? Le dynamisme de ce dénouement ne confère-t-il pas à ce texte un intérêt pour le lecteur? L'ancrage de ce texte dans la philosophie des Lumières n'entraîne-t-il pas une réflexion chez le lecteur? Tout d'abord, cette page comporte tous les éléments d'un dénouement de conte. Premièrement

aussi d’autres œuvres philosophiques connus tel que L’Ingénu en 1767. Ce récit fictif conte les aventures, en France, d’un jeune homme Huron, l’Ingénu, surnommé ainsi du fait de sa naïveté envers le monde occidental. Dans cet extrait, L’ingénu arrive à Versailles dans l’espoir de voir le roi qui est censé lui remettre ses récompenses pour sa bravoure au combat. Cependant le roi étant indisponible, un garde lui conseil d’aller parler au premier commis afin qu’il puisse le conduire chez Sa Majesté

tête (VII, 2), morale à la fois en tête et à la fin (VIII, 17 ou VIII, 1), morale répartie en divers points du corps même de la fable (VIII, 14 ou VIII, 27). On repérera aussi le procédé de la morale-énigme : le narrateur s'interroge sur la portée d'un récit ou même hésite sur les leçons qu'il comporte (VII, 3 ou VIII, 7). Tout cela - et surtout le dernier procédé - confère aux Fables de La Fontaine l'allure d'une conversation. C'est d'ailleurs un trait général de la littérature du XVIIème siècle