Le Discours Narratif Chez Proust

vie, il s’en dégage une philosophie du bonheur de portée universelle, car « chaque homme porte la forme entière de l’humaine condition ». Leur version définitive paraît à titre posthume en 1595. La Boétie (1530-1562) précurseur des « Lumières » Le Discours de la servitude volontaire, écrit à 18 ans, publié en 1574, préfigure la philosophie des Lumières. Sa thèse originale, selon laquelle le peuple qui se donne un roi ou un tyran assure volontairement son esclavage, a été populaire notamment pendant

raisons indépendantes de [sa] volonté, la publication du dossier Mammeri fut reportée sine die"18. Si la revue finit par publier une "version condensée 14 15 16 17 18 ibidem , p. 100 . ibidem ;p . 99 . Dominique Maingueneau : Pragmatique pour le discours littéraire . p . 104 -105 . Dunod . Bordas . Abdelkader Djeghloul : " Le courage d'un intellectuel lucide marginalisé" in Awal ,op . cité , p . 79 . ibidem . p . 80 . 8 19 " de l'interview, c'est à la faveur de l’événement qui ne pouvait

marginale, comme une héroïne en marge, suscite la fascination de Des Grieux et est déjà comme sacralisée, hissée au rang de mythe. TEXTE A J’avais marqué le temps de mon départ d’Amiens. Hélas ! que ne le marquai-je un jour plus tôt ! j’aurais porté chez mon père toute mon innocence. La veille même de celui que je devais quitter cette ville, étant à me promener avec mon ami, qui s’appelait Tiberge, nous vîmes arriver le coche d’Arras, et nous le suivîmes jusqu’à l’hôtellerie où ces voitures descendent

mort m’a causée beaucoup de chagrin, pour sa coopération et sa gentillesse à me fournir tous les renseignements et les documents nécessaires pour mener à bien mon travail. Je remercie également sa femme Madame Rachida al-Takarli qui m’a accueillie chez elle à Amman en octobre 2008, et qui reste toujours prête à répondre à toute question posée. - Les employées du Centre François Mauriac de Malagar, pour leur accueil lors de ma visite en novembre 2008, et pour leur coopération à me fournir tous les

4 1) - Caractérisation du genre et de la forme : prose poétique (poème en prose) conte en forme d’énigme qui se boucle sur lui-même (l’énigme enfin expliquée) forme en partie lyrique et incantatoire dès lors que la Lune prend la parole discours épidictique complexe, mêlant éloge et blâme (les bienfaits devenant malédiction) 2) Sélection des éléments les plus saillants : - l’ambiguïté et l’ambivalence (recension des caractérisations ambiguës ou oxymoriques) - le merveilleux et l’étrange

En quelles pratiques enseignantes consiste aujourd’hui la formation littéraire ? Et quels effets produisent-elles en termes de représentations et d’apprentissages chez les élèves ? Pour aborder ces questions, le présent article convoque et confronte différentes enquêtes récentes, avant de s’interroger sur les modèles théoriques et didactiques sous-jacents aux pratiques d’enseignement-apprentissage de la littérature. Ce faisant, il souligne la rupture historique qu’a constitué le passage d’une didactique

problème donc ce cours va répondre à un certains nombres de questions que l’on est en droit de se poser concernant la critique littéraire. Faut-il considérer la critique littéraire comme un genre à part entière ? Ou plutôt comme un métadiscours (discours éclairant sur la littérature) ? La critique littéraire est-elle indispensable à la littérature parce qu’elle éclaire et informe ou au contraire est nuisible parce qu’elle la rendrait hyper théorique. Le critique doit-il être considéré comme un créateur

alors que la réflexion philosophique sur le théâtre s’est montrée plus languissante. Cela témoigne peut-être de la place réduite du théâtre dans l’espace public. La référence rebattue à Athènes et à la place du théâtre dans la «cité» alimente un discours trop évidemment défen- sif, qui risque surtout de confirmer le « caractère passé de l’art» théâtral. Athènes n’est pas un modèle pour penser le théâtre aujourd’hui, car les repré- sentations théâtrales n’y constituaient pas une acti- vité culturelle

tissu du texte », « reste d’un système de valeurs non textuelles » (Barthes) : « Désigner l’idéologie dans le roman balzacien, c’est repérer les grincements dans les logiques de communications représentées, s’interroger sur la cohabitation tendue de discours polycentrés et d’effets de représentation paradoxaux » (p. 93). Mais de quelle idéologie parle-t-on, au juste ? Jusqu’où peut-on distinguer l’analyse idéologique de Revue critique 351 l’analyse du politique ? À quoi bon revenir sans cesse

celui de Germinal. Enfin, le dernier chapitre présente un guide de recherche bibliographique. La réédition – sur le site Internet de l’ITEM – de cet ouvrage, depuis longtemps épuisé en librairie, reprend, pour l’essentiel, le texte publié en 1993 chez Nathan, dans la collection « 128 ». Certaines annexes ont, cependant, été supprimées. La bibliographie du dernier chapitre a été simplifiée, et les références proposées ont été actualisées, pour tenir compte des ouvrages parus depuis 1993. Pour un