Le Discours Narratif Chez Rousseau

suivants : – donner aux élèves la maîtrise des principales formes de discours ; – leur donner les moyens de former leur jugement personnel et de l’exprimer de façon à être entendus et compris ; – leur fournir les connaissances culturelles fondamentales nécessaires à la construction de leur identité ; – leur permettre d’enrichir leur imaginaire, et de s’initier à la compréhension des formes symboliques. En ce qui concerne les formes de discours, la progression d’ensemble du collège est la suivante : – en

Interpellation (question rhétorique) ➢ Discous hyperbolique de Montaigne ▪ Anaphore « tant de… » ▪ Gradation ascendante ▪ « Macaniques victoires ! » ; indignation marquée par le point d’exclamation et d’une phrase nominale. ▪ Chiasme II. Un hômage aux civilisations détruites. a. Une civilisation enfant ➢ Origine (mythe du Bon Sauvage développé par Rousseau au 17ème siècle) ▪ Naïveté et possibilité

encore Anouilh au XXème siècle. Les fables ont ainsi survolé et survécu aux époques. La Fontaine clôture « Le Pouvoir des fables » par cette morale : « Le monde est vieux, dit-on : je le crois, cependant Il le faut amuser encor comme un enfant. » Rousseau semble lui n'accorder que peu d'importance aux fables : « Émile n'apprendra jamais rien par cœur, pas même des fables, pas même celles de La Fontaine ». Fables et autres fictions argumentatives sont-elles seulement destinées aux enfants ? A qui

conquètes impérialistes de Napoléon et Aigle impérial) 2. Balzac Auteur du XIXème siècle Balzac est né à Tour, fait des études de droit et crée un journal ainsi qu'une imprimerie et une maison d'édition à Paris. A. Un texte narratif L'énonciation = c. S.temporel (sous la restauration) l'aristocratie à repris tout son pouvoir. Lieux dans l'hôtel particulier de Mme. Beauséant. Théêtre des Italiens (à la mode). Balzac parle au lecteur mais il y a deux dialogues ce qui rend

LE TYPE ET LE GENRE D’UN TEXTE LE TYPE 1. Le type narratif 2. Le type descriptif 3. Le type argumentatif. 4. Le texte explicatif 5. Le texte injonctif  Les genres littéraires  Les genres non littéraires. LE TON D’UN TEXTE 1. Le ton comique 2. Le ton ironique 3. Le ton tragique 4. Le ton pathétique 5. Le ton lyrique 6. Le ton épique Repérer le ton utilisé par l’auteur LES REPERES D’UN TEXTE DE ROMAN 1. Le schéma narratif 2. Le choix du point de vue  La focalisation externe

Les Confessions de Rousseau Eléments de biographie et circonstances de la rédaction L’autobiographie et le contexte d’écriture : A partir de 1761, Rousseau est de plus en plus obsédé par la hantise d'un complot qui se trame contre lui. Si auparavant certaines de ses œuvres, comme La nouvelle Héloïse (1761) ont connu un succès important, dès lors, tout change. Victime d'une sorte de paranoïa, l'écrivain est persuadé que tout le monde lui en veut. Il est vrai qu'il peut avoir quelques

alors que dans la deuxième, l’idée est plus dissimulée mais le récit qui est généralement plus plaisant. Le plus souvent, on peut en trouver dans les contes, les fables, les utopies et le théâtre ou dans d’autres genres narratifs appropriés à l’apologue. L'apologue est un discours narratif à visée argumentative et didactique, très souvent allégorique, rédigé en vers ou en prose, qui renferme des enseignements, dont on tire une morale. Le genre de l’apologue est-il une forme argumentative efficace

ŒUVRES DE ROUSSEAU La rédaction des Confessions de Jean-Jacques Rousseau, plusieurs fois interrompue, occupe leur auteur de 1764-1765 à 1770. Elles sont publiées à Genève en deux parties, en 1782 et en 1789, après la mort de Rousseau : "Si j'étais le maître de ma destinée et de celle de cet écrit il ne verrait le jour que longtemps après ma mort" . Cette citation a le mérite de souligner qu'il est impossible de résumer l'ouvrage sans rappeler tous les épisodes de la vie du citoyen de Genève.

liaisons multiples et se cultive les idées littéraires. Les salons les plus célèbres sont la Cour de Senaux chez la duchesse du Maine, le bureau d’Esprit ou Mme de Tencin reçoit Helvétius, l’Abbe Prévost, le salon de Mme de Lambert qui réunit a Fénelon, Fontenelle, Montesquieu, Marrivaux, le salon « encyclopédique » de Mme de Geoffrin. En 1751 dans son Discours sue les sciences et les arts Rousseau fait une critique adresse aux salons, aussi dans la Lettre a M. d’Alambert et dans Julie et l’Emile. Les

qui fait écran sur le chaos, sur l’absolu désordre, impensé et impensable. Or, ce logos s’identifie à la puissance ordonnatrice du réel. Le Dieu de la métaphysique, l’entendement divin, est le modèle de l’entendement humain, véritable "créateur" du discours ordonnateur. Et c’est pourquoi le philosophe, en mobilisant sa force conceptuelle voulue sur le modèle de la raison divine, se révèle capable de saisir l’intelligence des choses.   Ainsi, ce qui est en cause dans cette interrogation d’une frange