Le Distrait

J'etais distrait et ne pouvais me concentrer sur mes objectifs, j'essayais des etudes mais cela ne durait peu. Je manquais toujours d'y arriver, je crois que c'etait la volonte qui etait absente. Je decouvrais une ambition etrangere, j'aspirais a tomber amoureux. J'etais a la recherche d'une proie qui aurait pu combler mon dedain. Mon pere n'approuvait un engagement definitif a mon jeune age. Il acceptait un comportement devergonde affirmant que l'on peut accumuler les femmes sans craindre la douleur

chériras la mer! La mer est ton miroir; tu contemples ton âme Dans le déroulement infini de sa lame, Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer.   5Tu te plais à plonger au sein de ton image; Tu l'embrasses des yeux et des bras, et ton cœur Se distrait quelquefois de sa propre rumeur Au bruit de cette plainte indomptable et sauvage.   Vous êtes tous les deux ténébreux et discrets: 10Homme, nul n'a sondé le fond de tes abîmes; O mer, nul ne connaît tes richesses intimes, Tant vous êtes jaloux

mes poèmes préférés: Vieille chanson du jeune temps Je ne songeais pas à Rose ; Rose au bois vint avec moi ; Nous parlions de quelque chose, Mais je ne sais plus de quoi. J'étais froid comme les marbres ; Je marchais à pas distraits ; Je parlais des fleurs, des arbres Son oeil semblait dire: " Après ? " La rosée offrait ses perles, Le taillis ses parasols ; J'allais ; j'écoutais les merles, Et Rose les rossignols. Moi, seize ans, et l'air morose ; Elle, vingt ; ses yeux brillaient

(qqch ds le genre valeurs hautes, ils savent que ça c’est bien, ça c’est mal) Et ils vont donc contrôler dans les test de PMS. Rudi descend, il a mal dormi. Son père lui demande où il était hier, il répond qu’il était en ville. Rudi roule à vélo distrait vers l’école. Il a failli heurter une fille en cyclomoteur. « tu ne pouvais pas regarder ? » « pardon, j’étais en train de dormir sur mon vélo » « regarde un peu ou tu peux mourir » (qqch ds le genre) La fille avait une masse de cheveux bouclés

descriptif : Personnages : Le prêteur et sa femme sont représentés à mi-corps, assis derrière une table. Il occupe la plus grande partie du tableau, d’une manière parfaitement symétrique. L’homme est occupé à peser ces richesse. Et la femme est distrait de sa lecture chrétien, par l’argent que manipule son marie. Les deux sont parés de vetment riche et de bijoux (leeurs bagues leurs mains effectuent des gestes simulaires (les mains gauche font un pincéde doit et les mains droite posé sur la table)

Littérature populaire (XII à XVème s) Le roman satirique parodie la chanson de geste épique et du roman courtois. Il attaque le pouvoir religieux et politique. Les « fabliaux », contes assez courts, sont l’exact opposé des valeurs courtoises. Il distrait, fait rire et enseigne une morale. Le roman de Renart (1170), anonyme.

suffit-il pas pour me plaindre ? ARLEQUIN, prenant sa bouteille pour boire : Ah ! je vous plains de tout mon cœur, cela est juste. IPHICRATE : Suis-moi donc ? ARLEQUIN, siffle : Hu ! hu! hu ! IPHICRATE : Comment donc ! que veux-tu dire ? ARLEQUIN, distrait, chante : Tala ta lara. IPHICRATE : Parle donc ; as-tu perdu l'esprit ? à quoi penses-tu ? ARLEQUIN, riant : Ah ! ah ! ah ! Monsieur Iphicrate, la drôle d'aventure ! je vous plains, par ma foi ; mais je ne saurais m'empêcher d'en rire. IPHICRATE

les élèves perturbateurs recherchent à être l'objet de l'attention de l'enseignant. • les punitions créent dans la classe un climat hostile et malsain, pas favorable à l'apprentissage : les élèves deviennent plus anxieux, sont plus facilement distraits et se mettent à déranger davantage la classe. Les élèves ont tendance à se comporter correctement uniquement sous la menace directe de l'enseignant, et manifestent des comportements inadéquats dès qu'il a le dos tourné. De plus les élèves punis auront

extrait du recueil Les Fleurs du Mal écrit par Charles Baudelaire (1821-1867), personnifie la Lune pleine de chagrin. Tristesses de la lune Ce soir, la lune rêve avec plus de paresse ;Ainsi qu'une beauté, sur de nombreux coussins,Qui d'une main distraite et légère caresseAvant de s'endormir le contour de ses seins,Sur le dos satiné des molles avalanches,Mourante, elle se livre aux longues pâmoisons,Et promène ses yeux sur les visions blanchesQui montent dans l'azur comme des floraisons.Quand parfois

près d'elle inaperçu, Toujours à ses côtés, et pourtant solitaire, Et j'aurai jusqu'au bout fait mon temps sur la terre, N'osant rien demander et n'ayant rien reçu. Pour elle, quoique Dieu l'ait faite douce et tendre, Elle ira son chemin, distraite, et sans entendre Ce murmure d'amour élevé sur ses pas ; À l'austère devoir pieusement fidèle, Elle dira, lisant ces vers tout remplis d'elle : « Quelle est donc cette femme ? » et ne comprendra pas. (1833) Une famille américaine que