Le Distrait

chériras la mer! La mer est ton miroir, tu contemples ton âme Dans le déroulement infini de sa lame Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer. Tu te plais a plonger au sein de ton image; Tu l'embrasses des yeux et des bras, et ton coeur Se distrait quelquefois de sa propre rumeur Au bruit de cette plainte indomptable et sauvage. Vous êtes tous les deux ténébreux et discrets; Homme, nul n'a sondé le fond de tes abîmes; O mer, nul ne connaît tes richesses intimes, Tant vous êtes jaloux de

pour objectif de montrer une certaine vérité notée sous un sens irréaliste. Les différentes fonctions de la satire montrent qu’elle sont très proche de la fonction du Joker dans un jeu de carte ou celle du bouffon du roi, en effet, le bouffon distrait le roi, tout en se moquant de lui, il prend une certaine position supérieure face à lui, il a un certain pouvoir que le roi ne pourrait discerner, en effet, le bouffon ne pourrait être pris au sérieux, il est d’apparence grotesque et possède un costume

faire et avec un désir immodéré de ne point contrarier cette vocation. Tout effort moral ou physique, tout mouvement accompli pour une besogne lui paraissait au-dessus de ses forces. Aussitôt qu’il entendait parler d’une affaire sérieuse, il devenait distrait, son esprit étant incapable d’une tension ou même d’une attention. Fils d’un marchand de nouveautés de Caen, il se l’était coulée douce comme on disait dans sa famille, jusqu’à l’âge de vingt cinq ans. Mais ses parents demeurant toujours plus près

comparaison. I) Les caractères habituels du spleen. A) L'ennui • Ici c'est le roi, c'est à dire le poète, qui s'ennuie si fort que rien ni personne ne peut l'y arracher. • Le roi n'a plus de désir incapable d'un sentiment quelconque; rien ne le distrait ni la chasse (v.5), ni le bouffon (v.7), pas même la misère de son peuple mourant (v.6); il s'ennuie, il est cruel (v.8). • "L'ennui naît de l'absence de curiosité." écrit-il à sa mère. C'en est de même pour le roi. • Sa cruauté n'est même

vacabulaire (...) du XVIIe siecles . Si aujourd'hui, certains lecteur lisent des oeuvre litteraire du XVIIe siecles, c'est tous simplement parceque pour eux, c'est un loisir . La litterature est un loisir, elle occupe nos temps libres, nous distrait et nous dettache, pour un plus ou moin court instant, de la vie et des problemes quotidiens . De plus, la litterature du XVIIe est tout a fait en acord avec cette idée d'evasion qu'elle comble tres bien . Quand on a du temps libre, dans le metro

nous montre que l’opinion publique critique l’artiste. Cette idée nous apparait dans l’expression suivante : « L’artiste passe pour un idéaliste […] c’est un distrait ». Un idéaliste est une personne qui vit dans ses propres idées et, plus généralement, dans ses rêves. On peut alors considérer que l’artiste est un rêveur. Quant au mot « distrait », il fait référence à la distraction, c’est-à-dire au divertissement et à l’amusement. L’artiste n’est donc pas considérer comme une personne sérieuse de par

femmes doivent connaître leurs limites. Enfin, il est évident que la rêverie rend distrait comme le démontre Jean-Etienne, il est pratiquement impossible d’éviter de rêvasser peut importe l’endroit ou le moment. C’est pourquoi nos capacités de réflexions sont diminuées. Ainsi, Caroline MULLER nous explique que s’intéressait à certaines lectures peuvent avoir des répercutions sur le mental, les femmes peuvent être distraites et dissipées car elles s’imaginent prendre part par exemple à l’histoire d’un

LA PEAU DE CHAGRIN Salam tout le monde, je ne sais pas si on a déjà publié le résumé de la peau de chagrin, je suis plutôt distraite! bref, on m'a demandé s'il fallait lire l'oeuvre, à mon humble avis oui, mais pour ceux ou celles qui n'ont pas le temps de le faire, en voilà un bref résumé,bonne lecture. BALZAC, LA PEAU DE CHAGRIN : RÉSUME CHAPITRE PAR CHAPITRE Chapitre I : Le talisman Paris, 1830. Raphaël de Valentin, jeune homme désœuvré et suicidaire, entre dans une maison de jeu du Palais Royal

lettre qu’Araminte lui à demander d’écrire « Je ne trouve point de papier. » (l7) alors que celle-ci l’avait déjà sorti et mis sur la table « En voilà devant vous » (l8). Dorante montre bien qu’il ne veut pas écrire cette lettre, il est distrait « toujours distrait » (aparté l2), il prend son temps pour l’écrire en trouvant des prétextes « Je ne me trouve pas bien, Madame » (l28) et en tremblant « Je crois que la main vous tremble » (l26), il essaie de persuader Araminte de changer d’avis « Je vous

a peint, nous avons atteint, vous avez éteint, elles ont craint. Le participe passé des verbes ayant les radicaux –raire et faire se termine en –ait. Exemple : distraire, soustraire, faire, satisfaire, etc.  distrait, soustrait, fait, satisfait, etc. J’ai distrait, tu as soustrait, elle a fait, vous avez satisfait, etc. Radical Exemples Participe passé Connaître Reconnaître, paraître, apparaître J’ai connu, paru, apparu Naître Renaître Il/elle est