Le Distrait

ou une connaissance nouvelles sur soi-même et de notre environnement. Finalement, la littérature distrait de plusieurs façon,, par les sentiments, par les imaginations.. D'un autre côté, elle fait passer des connaissances sur soi et ce qui nous entoure. La question que l'on s'est posée au début est de savoir si cette littérature pouvait passer par une forme de distraction, c'est le cas elle distrait tout en ouvrant de nouveaux horizons, en apprenant des choses au lecteur, sur sa propre nature. On

réfléchir. Tandis qu’on me croyait étourdie ou distraite, écoutant peu à la vérité les discours qu’on s’empressait de me tenir, je recueillais avec soin ceux qu’on cherchait à me cacher. Cette utile curiosité, en servant à m’instruire, m’apprit encore à dissimuler ; forcée souvent de cacher les objets de mon attention aux yeux qui m’entouraient, j’essayai de guider les miens à mon gré : j’obtins dès lors de prendre à volonté ce regard distrait que vous avez loué si souvent. Encouragée par

masques des autres sans se « laisser pénétrer ». Faisant exprès « étourdi ou distraite» pour mieux observer et écouter = contrôle ses expression et ses émotions, maitrise d’un parfait dédoublement. Par sa volonté et son esprit –> elle cherche a modeler son corps et ses sentiments ( comme un artisan ou un artiste tranforme la matière) : « Je suis mon ouvrage » « guider les mien a mon gré » « prendre a volonté ce regard distrait » « je m’étudiais à prendre l’aire de la sérénités » « je me suis travailler

seconde partie, nous démontrerons que le roman a un autre rôle : parler des problèmes sociaux ou moraux d’une époque. Enfin, nous constaterons que même si le roman peut se montrer distrayant, il ramène le lecteur à la réalité. Si le lecteur est distrait c’est parce qu’il a les moyens de s’identifier aux personnages. Cela est d’autant plus facile que la plupart des romans livre des descriptions souvent précises, qui inspirent le lecteur car il sait qu’il ne pourra jamais être comme cela. Il y

s’instruire  » l.11 dans l'art de «  dissimuler  »l.12 les choses, elle perfectionne cette compétence en observant ceux qui cherchaient eux même à lui dissimuler des choses. Elle apprend également à se maitriser sois même en prenant "à volonté ce regard distrait". La troisième étape reposera sur son apprentissage en tant qu'actrice, pour ça elle mènera plusieurs expérience comme se faire du mal tout en cherchant "l'expression de plaisir" l.19 ou réprimer des sentiments comme "une joie inattendue" l.20. Plus

syntaxiquement, ce pronom n’occupe plus la position de sujet des verbes (sauf par « son lit » au vers 9, dont la valeur métonymique affaiblit néanmoins la référence), il en devient le complément, amplifiant sa passivité (ex : «la chanson ne « distrait plus le front de ce cruel malade » v 8). Cette désintégration du moi est confirmée par la thématique de la mort qui envahit le poème et l’affecte spécialement. Non seulement, celui-ci est « malade » (v 8), mais surtout, son lit se change en «

«vouée» appartient au chp lex de la fatalité -> fatalité de la condition féminine + «état» = métonymie pr être une femme + «silence et inaction» appartient au registre péjoratif -> difficulté de la condition féminine de l'époque l.3: «étourdie,distraite» connotation péjorative -> une image négative de la condition féminine l.4-5: «ceux...cacher» -> les filles st victimes de dissimulation, elles n'ont pas les mêmes droits que les garçons l.7: «aux yeux» = synecdoque pour le jugement de son

Bourseiller tout en se produisant dans des cabarets parisiens (comme l’Écluse) où il joue ses premiers sketches écrits avec Victor Lanoux. Il débute au cinéma en 1968 avec Alexandre le bienheureux d’Yves Robert. En 1970, il réalise son premier film, Le Distrait, produit par La Guéville, maison de production d'Yves Robert et de Danièle Delorme, suivi des Malheurs d’Alfred en 1972 et de Je sais rien, mais je dirai tout en 1973. Il retrouve Yves Robert pour tourner Le Grand Blond avec une chaussure noire,

Dans cette scène, Feydeau se moque de la bourgeoisie en utilisant divers comiques. Follavoine qui humilie Rose tout au long de cet extrait est à son tour ridiculisé. C’est l’histoire de l’arroseur arrosé. D’autre part, le théâtre nous distrait également par la convergence de plusieurs arts. Comme le fait exactement la « Commedia dell’arte ». D’abord, la Commedia dell’arte aborde un nouveau type de comédie, « plus de jeux que de texte » arrangeant les acteurs ; ils parlent en italien cependant

esprit et le laisse errer parmi les souvenirs de sa vie passée, des femmes qu’il avait connues, de son appartement, de l’emplacement de chacun de ses objets et de tous les détails qui leurs appartenaient. (Il se laisse emporter par le sommeil et se distrait ainsi de ses journées). La découverte d’une coupure de journal, dissimulée entre sa paillasse et la planche de son lit: elle raconte l’histoire d’un tchécoslovaque, qui après avoir fait fortune rendit visite à sa mère à sa sœur, par surprise, dans