Le Doigt sur la gâchette

cet acte impardonnable. Celui-ci a commis ce crime simplement puisque le soleil tapant et la chaleur accablante l’horripilaient à un point tel qu’il n’avait plus de contrôle sur son corps. Le fait que Meursault n’ait pas pensé à enlever son doigt de la gâchette ou tout simplement à déposer le revolver relève d’un comportement irrationnel que seule la philosophie de l’absurde d’Albert Camus peut expliquer. D’autre part, l’auteur aime bien faire réagir son personnage principal de manière froide et indifférente

mère Bâtard, j'arrive, chibré, canon dans tes narines C'est la moindre des choses mademoiselle, missiles sol-air dans tes ovaires J'suis un soldat, pas un rappeur Sheguey, nous on est pas là pour faire du zgar On sort le brolique, les doigts sur la gâchette comme O'Dog direct, on s'en charge Tous ces fils de putes de jaloux qui voulaient ma place, négro, ne l'auront pas Oui j'ai baisé ta fille, j'ai pas mis la pote-ca, j'ai pris l'gosse et le trône j'le rends pas Non j'le rends pas, chaque

à danser. Je me trouve petite et moche. Au collège ils me surnomment le microbe, mes parents m’appellent ma puce... C’est quoi le plus petit des deux ? Dimanche 5 avril 1994 Kurt Cobain est mort. Le canon de son arme dans la bouche, le doigt sur la gâchette. Pan ! I don’t have a gun, qu’il chantait, tu parles. Mardi 10 Février 1998 Maman me fait de plus en plus chier. J’ai envie de me barrer d’ici, j’étouffe. Elle est tellement pénible. Elle est mal baisée, ou quoi ? Je me demande depuis combien

décidé ou si le Parti me l'avait commandé. HŒDERER. - Tu m'étonnes. (Hugo va pour plonger la main dans sa poche mais Hœderer la lui saisit et l’élève légèrement au-dessus de la table.) Suppose que cette main tienne une arme et que ce doigt-là soit posé sur la gâchette... HUGO. - Lâchez ma main. HŒDERER, sans le lâcher. - Suppose que je sois devant toi, exactement comme je suis et que tu me vises... HUGO. - Lâchez-moi et travaillons. HŒDERER. - Tu me regardes et au moment de tirer, voilà

décidé ou si le Parti me l’avait commandé. HOEDERER : Tu m’étonnes. (Hugo va pour plonger la main dans sa poche mais Hoederer la lui saisit et l’élève légèrement au-dessus de la table.) Suppose que cette main tienne une arme et que ce doigt-là soit posé sur la gâchette... HUGO : Lâchez ma main HOEDERER, sans le lâcher. : Suppose que je sois devant toi, exactement (comme je suis et que tu me vises... HUGO : Lâchez moi et travaillons. HOEDERER : Tu me regardes et au moment de tirer, voilà que tu

important de noter que l’acte de tuer s’inscrit comme une rupture de l’ordre de la nature. • L’enchaînement des actes se déroule sur un mode passif : c’est l’ « être » qui s’est tendu, non la volonté d’une conscience libre : « la gâchette a cédé » souligne que ce n’est pas le doigt qui a appuyé.

douloureux. C'est alors que tout a vacillé. La mer a charrié un souffle épais et ardent. Il m'a semblé que le ciel s'ouvrait sur toute son étendue pour laisser pleuvoir du feu. Tout mon être s'est tendu et j'ai crispé ma main sur le revolver. La gâchette a cédé, j'ai touché le ventre poli de la crosse et c'est là, dans le bruit à la fois sec et assourdissant, que tout a commencé. J'ai secoué la sueur et le soleil. J'ai compris que j'avais détruit l'équilibre du jour, le silence exceptionnel d'une

Dommage, tu as échoué à la première épreuve. Il te reste encore deux épreuves et si tu les rates, voici ce qu'il t'arrivera. » Et le bourreau partit chercher une des victimes du diabolo (il s'agissait sans doute de Marian ) et commença alors à râper les doigts de ce dernier qui hurla à la mort. Le démoniaque être lui arracha le cuir chevelu, vida du sel sur le crâne ensanglanté de la victime et frotta, lui coupa ensuite la langue pour qu'il cesse de crier et lui tira les deux yeux à l'aide d'un tire-bouchon

douloureux. C'est alors que tout a vacillé. La mer a charrié un souffle épais et ardent. Il m'a semblé que le ciel s'ouvrait sur toute son étendue pour laisser pleuvoir du feu. Tout mon être s'est tendu et j'ai crispé ma main sur le revolver. La gâchette a cédé, j'ai touché le ventre poli de la crosse et c'est là, dans le bruit à la fois sec et assourdissant, que tout a commencé. J'ai secoué la sueur et le soleil. J'ai compris que j'avais détruit l'équilibre du jour, le silence exceptionnel d'une

goutte qui restait. Dommage, car s’était quand même un bon vin. Je mis mon œil droit sur le viseur de mon fusil à lunette, ferma mon œil gauche et pointa avec le canon, la cervelle de notre monsieur X. La crosse bien posée sur mon épaule, le doigt sur la gâchette prêt à appuyer n’importe quand, il ne manquait plus qu’être décidé dans l’esprit. Tout d’un coup, une détonation retenti et la tête du secrétaire éclata en mille morceaux. Prêt à partir et à abandonner la résidence, une alarme se déclencha