Le Doigt sur la gâchette

fréquence d’apparition, rythme d’apparition (de type inflammatoire ou de type mécanique) ; − présence d’un facteur déclenchant ; − intensité, sévérité ; − localisation : pour être le plus précis possible, demandez au patient de localiser avec un doigt ; − irradiation ; − profil de la douleur : brûlante, lancinante, etc. − signes accompagnateurs : température, perte de poids, constipation, dysurie, etc. − recherche d’un élément causal : reprise du sport, faux mouvement, etc. EXAMEN CLINIQUE

beau promener leurs doigts chercheurs sous la chemise de dentelle ausculter avec des appareils de précision son cœur déjà pourrissant ils ne trouveront pas le remède habituel et tomberont aux mains des émeutiers qui les colleront au mur Feu sur Léon Blum Feu sur Boncour Frossard Déat Feu sur les ours savants de la social-démocratie Feu feu j’entends passer la mort sur Gachery Feu vous -dis-je Sous la conduite du parti communiste SFIC vous attendez le doigt sur la gâchette que ce se ne soit

tenant la droite, Hautot fils tenant la gauche, et les deux invités au milieu. Le garde et les porteurs de carniers suivaient. C'était l'instant solennel où on attend le premier coup de fusil, où le coeur bat un peu, tandis que le doigt nerveux tâte à tout instant les gâchettes. Soudain, il partit, ce coup ! Hautot père avait tiré. Tous s'arrêtèrent et virent une perdrix, se détachant d'une compagnie qui fuyait à tire-d'aile, tomber dans un ravin sous une broussaille épaisse. Le chasseur excité

heureusement, il possède un physique hors normes à la force herculéenne. Tout dans les muscles mais rien dans la tête, quoique si, de l'admiration et de l’amitié pour son grand ami George. caresser " J’aime caresser les jolies choses avec mes doigts, les choses douces " disait-il. Souris, femmes, chiot, velours, cheveux : Lennie adore les toucher. Il est très tactile, comme un enfant. Caresser, pour lui, est devenu un T.O.C (trouble obsessionnel convulsif). Au début, Lennie caresse une souris

théatre ...(p148-149) et elle s'asseoit à côté de Lennie. Elle demande à Lennie de lui toucher les cheveux. Lennie lui caresse les cheveux, de plus en plus fort et elle lui dit d'arrêter car il va la décoiffer, elle se tourne et Lennie serre les doigts. "Lâche-moi, lâche-moi" hurle t-elle, il lui couvre la bouche et le nez, il la supplie de se taire, elle se débat. Lennie est affolé, il la secoue car elle essaie d'hurler, il est furieux. Il la secoue encore et son corps s'affaisse, elle ne

particulièrement meurtrières, et beaucoup de rescapés sont incapables de travailler dans les champs. Il y a de plus en plus de déserteurs, or des déserteurs sont punis de mort. Beaucoup pratiquent l’automutilation : ils se coupent le doigt qui appuie sur la gâchette ou s’arrachent des dents (dents nécessaires à couper la cartouche). On ne comprend même plus le but des guerres.  La paysannerie, qui avait soutenu Napoléon, le délaisse. La classe ouvrière compte peu de membres, ceux que l’on appellera

langue sortie, les yeux saillants. Il reprit :     - Parbleu, on l'a étranglée une fois l'affaire faite.     Il palpait le cou :     - Etranglée avec les mains sans laisser d'ailleurs aucune trace particulière, ni marque d'ongle ni empreinte de doigt. Très bien. C'est la petite Roque, en effet.     Il replaça délicatement le mouchoir :     - Je n'ai rien à faire ; elle est morte depuis douze heures au moins. Il faut prévenir le parquet.     Renardet, debout, les mains derrière le dos, regardait

main, et soudain il eut un rire, et il frappa du pied. - Tourne-toi, idiote! dit-il. Elle obéit, se tourna, resta immobile avec la peur de recevoir une balle dans la nuque, cependant qu'il ouvrait les rideaux, se penchait à la fenêtre, portait deux doigts à ses lèvres, sifflait. Puis il se débarrassa du vieux manteau et de la toque de fourrure, ôta la fausse barbe, détacha le sparadrap noir qui recouvrait les dents, ramassa la cravache derrière les rideaux. - Retourne-toi, ordonna-t-il. Dans le haut

regarde. L’observation du philosophe l’étonne et le laisse pour le moment sans voix. -Les deux mâles, ajoute le professeur, n’ont pas montré grande bravoure. L’un deux n’a pas fait le moindre geste et n’a cherché qu’à s’enfuir d’ici. Il montre du doigt l’acrobate, qui n’a cessé de piailler et qui revient, le dos courbé, craintif, de nouveau souriant, mais par intermittence. -Ce n’est pas son enfant ! s’écrie Las Casas ! -Précisément, répond Sepulveda. -Que voulez-vous dire : précisément ? -Cela montre

Tous innocents. Je m’appelle Pierre, j’étais flic dans les Pyrénées Atlantique, à Pau. J’enquêtais sur une série de meurtres à répétition, un serial killer qui nous filait entre les doigts à chaque fois que l’on pensait l’avoir arrêté. Tout avait commencé par un meurtre, banal, d’une jeune fille de 18 ans, originaire du quartier de Saragosse, découverte égorgée dans un son appartement. Tuée de sang froid, on avait découvert le cadavre d'un homme un peu plus loin, sûrement celui du meurtrier, mort