Le Dommage écologique

prévenus rejugés pour homicide involontaire et tromperie aggravée dans le drame de santé publique de l'hormone de croissance. 2.Affaire Amoco Cadiz La société Amoco Transport, armateur de l’Amoco Cadiz, n’a souscrit qu’une maigre assurance pour les dommages d’une pollution accidentelle. Conscient qu'un jugement en France ne contraindra pas Amoco Transport à payer, l'Etat, les collectivités locales et les particuliers victimes de la pollution décident d'aller poursuivre sa maison mère, Amoco International

compte, en s'appuyant sur des indicateurs crédibles et transparents. • La responsabilité environnementale, La responsabilité environnementale (éco responsabilité ou la responsabilité humaine dans l'habitat) consiste à appliquer les savoirs écologiques, un état de conscience réelle et l'imputabilité des décisions au décideur. Tout au long des processus de la gouvernance (prospective, administration, gestion, caractérisation, évaluation, entretien, consultation, réparation, création...) et selon

contre, est apparue et se poursuit dans un climat intellectuel et dans un contexte essentiellement différents. Depuis plusieurs années déjà, il y a un grand débat public, et même les dirigeants se montrent très inquiets par rapport à l’équilibre écologique de notre planète et à la diminution des ressources à la base de nos sociétés industrielles. Il est vrai que ces problèmes avaient déjà été prédits en 1972 par les auteurs du Rapport Meadows (The Limits of Growth, publié en français sous le titre

= Responsabilité Sociétale et Environnementale (ou sociale des entreprises / ou sociale et environnementale) Ex : Développement durable, People Planet and Profit (3P) Défis de la maitrise des risques Risques engendrés par les dérèglements écologiques (Notre planète en danger) Risques sanitaires Risques de catastrophe de tout ordre La gestion du risque (Ou le management des risques) BECK – «la société du risque» (Films : 2012 / le jour d’après) Des exemples : Toyota : risque que

personnes et systèmes ou d’événement externes ». Bâle II répertorie tous les risques opérationnels sous 7 catégories : • Fraude interne • Fraude externe • Pratique en matière d’emploi et sécurité • Clients, produits et pratiques commerciales • Dommages aux actifs corporels • Interruption d’activité et pannes de système • Exécution des opérations, livraison et gestion des processus Pour ce qui est des autres risques, on peut trouver les risques juridiques liés à la multiplication des législations

de l'ours blanc dans l'Arctique. Les données peu encourageantes sur cet animal montre les effets néfastes de la dégradation de l'écosystème. À un niveau plus locale, l'organisme dénonce plus pratiques comme la pêche non responsable qui cause des dommages aux populations de requins au Canada. <<À l’heure actuelle, 539 espèces canadiennes ont été classées comme étant « en péril » par le Comité sur la situation des espèces en péril au Canada (COSEPAC).[2]>> La conservation de l'eau douce

premier, où la pollution du milieu marin est définie comme “ l’introduction, directe ou indirecte, par l’homme de substances ou d’énergie dans le milieu marin, y compris les estuaires, lorsqu’elle a ou peut avoir des effets nuisibles tels que des dommages aux ressources biologiques et à la faune et à la flore marine, des risques pour la santé humaine, des entraves aux activités maritimes, y compris la pêche et les autres utilisations légitimes de la mer, des altérations de la qualité de l’eau de mer

opérations, elle doit aller exploiter ailleurs selon un mode non-durable. B/ La problématique du développement durable 1. Mesurer le développement durable Cf schéma « mesurer le développement durable » Empreinte écologique : Indicateur qui permet d’évaluer la surface théorique de sol productif nécessaire à une population pour répondre à sa consommation et à ses besoins d’absorption des déchets. 2. De « la voie du développement classique »

Horizon a en effet eu des conséquences dramatiques sur l’écosystème du Golfe du Mexique : 4 millions de barils de pétrole se sont déversées sur les côtes dans les semaines suivantes. Le 3 septembre, BP publie le coût estimé de cette catastrophe écologique : 8 milliards de dollars. La compagnie pétrolière a chaque jour dépensé plus de 90 millions de dollars pendant la fuite. Néanmoins le bilan économique ne s’arrête pas à ce chiffre. En effet, le cours en bourse de la compagnie s’est rapidement

conférence à Stockholm en 1972 mais à ce moment là on appelait ce concept « éco-développement ». Des personnalités présentes (organisateur de la conférence et professeur) veulent et appuie la nécessité d’intégrer l’équité sociale et la prudence écologique dans le concept de développement durable du Nord et du Sud. Ce sera la naissance du programme des Nations Unies pour le développement. L’objectif du programme est de donner l’exemple, montrer la voix pour « encourager ses partenaires dans la protection