Le Doute Est Il Une Force Ou Une Faiblesse

compétitifs, vont devoir atteindre une taille critique bien supérieure pour tout à la fois : disposer d’une force de frappe créative en matière de produits comme de concepts pour s’adapter aux goûts fluctuants de la demande, fidéliser leur clientèle en l’accompagnant au fil des années, gérer leur parc immobilier et les fonds de commerce, optimiser toute la supply chain, de la puissance d’achat, à la force de négociation jusqu’à la gestion des invendus, professionnaliser la gestion des ressources humaines-clés

doit exécuter, il reçoit les lamentations de sa femme Clytemnestre et les menaces d’Achille, son futur gendre. Dans l’extrait que nous devons commenter, Agamemnon doute encore de sa décision concernant le sort de sa fille qui est entre ses mains, lui qui est à la fois père, mari et roi. On peut se demander en quoi dans ce monologue le doute ultime du roi sur la nécessité du sacrifice crée une tension dramatique. Pour cela, on étudiera d’abord comment le discours du roi tente de résoudre le dilemme,

Of mice and men fut publié en 1937. La traduction en français (chez Gallimard) est publiée en 1949. Il s’agit d’un court récit (moins de 200 pages) dont la force réside dans les dialogues. Ils mettent en relief la richesse de chacun des personnages, lesquels sont aussi vrais que Steinbeck sait les imaginer. L’action se passe en Californie au milieu des années trente. Comme des milliers d’autres travailleurs ballottés par la crise économique, deux amis, George et Lennie, sont réduits à mener

terreur chez le lecteur : choisir entre la raison d’état qui refuse qu’une reine étrangère puisse devenir impératrice et Bérénice, reine de Palestine qu’il aime. A la scène 4 de l’acte IV, Titus, seul en scène se livre à un monologue délibératif qui force notre compassion : comment dire à celle qu’on aime qu’on ne veut plus la voir ? Lecture Les atouts du monologue jouent pleinement ici pour exprimer la solitude du personnage face au choix qu’il doit faire. C’est ensuite le dilemme tragique qui

terreur chez le lecteur : choisir entre la raison d’état qui refuse qu’une reine étrangère puisse devenir impératrice et Bérénice, reine de Palestine qu’il aime. A la scène 4 de l’acte IV, Titus, seul en scène se livre à un monologue délibératif qui force notre compassion : comment dire à celle qu’on aime qu’on ne veut plus la voir ? Lecture Les atouts du monologue jouent pleinement ici pour exprimer la solitude du personnage face au choix qu’il doit faire. C’est ensuite le dilemme tragique qui apparaît

démonstration par deux exemples. Premièrement le lion, s'il a, certes, beaucoup de besoins, dispose aussi de nombreuses dispositions (agilité, courage, force etc.) pour les satisfaire. Inversement, les herbivores comme le mouton et le bœuf n'ont pas les facultés du lion mais leurs besoins sont réduits en proportion. Hume développe la thèse de la faiblesse de l'homme : pour se nourrir l'homme doit chasser (et le gibier ne se laisse pas prendre facilement) ou travailler. Dépourvu de pelage, nu, sans protection

conduit le lecteur à un sentiment de malaise, le lecteur est saisi d’un doute, d’une pénible incertitude quant à l’explication de ce qui a été raconté : une explication rationnelle apparaissant comme impossible, reste une explication dérangeante puisqu’elle laisse la place à l’action d’une dimension surnaturelle ! Principes de base : Un cadre spatio-temporel d’abord réaliste : un monde connu, normal, rationnel… Irruption d’une force perturbatrice, effrayante en général, qui perturbe gravement les éléments

c’est la faiblesse qui cède à la force, ou si c’est la volonté qui se rend ; et la ruse ordinaire de la femme est de laisser toujours ce doute entre elle et lui.3 En effet, Rousseau contredit son point de vue dans ce passage en admettant, qu’en « vérité », les hommes forts en apparence, dépendent « par nature » du sexe, à priori, faible, car si les femmes sont faibles physiquement, elles utilisent la ruse pour contrer leur infériorité physique, et ce afin de faire installer le doute dans l’esprit

habitué à défier ma vie quotidienne, éternel combat pour la survie, je me suis dis, c’est la première fois que quelque chose de bien m’arrive et je voulais continuer à y croire. Dans mon obstination j’ai découvert en moi des qualités que j’avais sans doute déjà enfouit au plus profond de moi, mais dont je n’avais encore tester les limites. J’ai pris ma patience, je l’ai mise dans un placard, oublié, je ne vivais que pour toi. En moi j’attendais ce moment qui bouleverserait ma vie, ce moment si fort

3 ; « Roi », v.30 ; « Monarque », v.33) et l’abondance de possessifs soulignant sa puissance (« sa Province », v.6 ; « ses Prévôts », v.8). Le Cerf, quant à lui, n’est défini que par l’expression « Chétif hôte des bois » (v. 33), qui souligne sa faiblesse face à son interlocuteur. Notons enfin la présence de « Loups » (v.36), qui, en accord avec la culture populaire, représentent ici la violence. Ces personnages-animaux sont cependant très proches des humains. Par rapport à d’autres fables où les