Le Droit Et L Amorale

contre ces pratiques qui constituent autant de déviations regrettable et condamnables. » Pour d'autres, le capitalisme n'est qu'un processus d'accumulation dépourvu de finalité autre que cette accumulation. En cela, il n'est ni bon ni mauvais, il est amoral. La question est alors de savoir comment lui donner sens. Ces dernières années ont ainsi vu des tentatives de moralisation à travers l'édiction dans des secteurs d'activité professionnelle de règles d'action (déontologie). Elles se traduisent concrètement

est « belle », comme le sacrifice d’Antigone pour le respect de la dépouille de son frère, c’est-à-dire pour le respect de la loi morale universelle. Mais cela semble relever d’une confusion (on devrait qualifier cette action de noble, ou de droite, ou tout simplement de morale) car le beau est ce qui provoque en nous un sentiment de plénitude, d’harmonie, ou de perfection en son genre, devant le spectacle d’apparences « belles » , notamment devant une œuvre d’art ( qui est le résultat

d’Etat semble indispensable au pouvoir pour gouverner efficacement, elle apparait être néanmoins bien souvent amorale. Pourtant, les sociétés contemporaines lui apportent progressivement une légitimité nouvelle, et permettent à la raison d’Etat de préserver les libertés de tous. La raison d’Etat semble indispensable au pouvoir pour gouverner efficacement, mais apparait comme amorale La nécessité de la raison d’Etat Toute action visant à ces objectifs relève donc de la raison d'Etat

comme sujet de dissertation de philosophie politique “ le peuple a-t-il tous les droits ? ”. La quasi-totalité des étudiants ont répondu qu'en démocratie, le peuple est souverain, et qu'il a donc tous les droits, puisque c'est lui qui fait le droit. La conclusion logique de cette position est que le peuple a le droit de prendre des mesures antidémocratiques. On aboutit ici au spectre du peuple qui aurait tous les droits. 3. L'ordre de la morale Le domaine qui vient limiter celui de la politique

conformité aux règles ? Cela ne reviendrait-il pas à confondre droit et morale ? Ou encore, légalité et moralité ? Ainsi, vous pouvez très bien vous rendre dans un pays où sévissent des lois ségrégatives : par exemple, vous vous rendez au restaurant et découvrez qu'il existe une loi exigeant la ségrégation raciale au restaurant. Est-ce une bonne loi ? Est-il moral d'obéir à cette loi ? S'il est illégal (contraire à la loi écrite, au droit "positif") de ne pas y obéir, il est peut-être moral de ne

vouloir atteindre l’innocence,/ en tuant des innocents ?// Est ce que la vie /de ces deux enfants/ vaut moins /que la vie d’autres enfants de ce pays ?// Je pense/ que nous sommes tous d’accord ,/ pour dire que non!// Ces deux enfants/ innocents/ ont le droit de vivre /, autant que d’autres.//3 De plus/ l’accusé n’accorde aucune valeur à la vie.// Il est égoïste,/ orgueilleux ,/ extrémiste/4, et j’en passe !//Il ne pense qu’à lui/ et à sa satisfaction personnelle./ Il ne porte aucune importance aux conséquences

Qu’est ce que le droit ? Les règles de droit sont destinées à régler les rapports humains (fidélité, assistance maladie, parents/enfants, rapport d’autorité). Il régit également les commerces, des Etats… Partout il y a du droit, il est consubstantiel à l’existence d’une société. Des qu’il y a une société y a du droit, à partir du moment où il y a une communauté, il faut mettre des règles de conduite qui sont diverses composent le droit. Partie 1 : Le cadre de la vie juridique Chapitre 1 :

l’Eglise. Révolution. Jusqu’à là le pouvoir est entre les mains de l’Eglise. Modification de système politique. Nouveau gouvernement amoral, dénué de scrupules (pas de morale) pour obtenir ce que l’on veut. Utilisation de pratiques non recommandables. ß Bases de L’ABSOLUTISME. Les monarques de règnent pas en fonction de la religion, actes amoraux, ils ôtent la contrainte de la religion. Luther et Calvin, la révolution religieuse. L’Eglise ne vit plus sous les principes qu’elle

phrases négatives, « Les nègres ne sont point devenus esclaves par le droit de la guerre ; ils ne se dévouent pas non plus volontairement eux-mêmes à la servitude » il amène le lecteur à penser qu’un esclave nait libre et ignore toutes autres raisons de devenir esclave. Pour ensuite se dérouler une argumentation extrêmement rigoureuse et efficace qui cherche toujours à dénoncer l’esclavagisme comme une pratique inhumaine et amorale. Elle est séparée en deux paragraphes introduit le premier par « Si

d'Ulysse ==> construction d'ensemble est une analepse (retour en arrièere ) Son récit commence par le faite qu'il se nomme parce qu'on vient d'évoquer son héroïsme, ses aventures héroïques ==> épopée: parcours initiatique , Ulysse a retrouvé le droit d'être lui même, identité transformé est eclairé, on passe de "personne" à Ulysse (plus digne d'un héros, il doit le redevenir) nostalgie d'Ulysse, la nostalgie caracterise l'humain, il a fait l'effort de devenir humain, il refuse l'immortalité