Le Déclin De La Classe Ouvrière

I- Le développement des classes moyennes après la deuxième guerre mondiale en France A- L'expansion des classes moyennes Selon Louis Chauvel, la société française s'est développée rapidement lors des trois décennies qui ont suivi la fin de la deuxième guerre mondiale et dans ce laps de temps, le niveau de vie de la population s'est également beaucoup amélioré.Un grand nombre de jeunes issus de familles paysannes et de familles ouvrières ont pu réaliser, grâce à leurs efforts personnels et aux

et perdants - effets pos : - réduit valeur des dettes => - état rembourse emprunts, - chefs d’enses s’acquittent facilement de leurs dettes=> st encouragés à inv - classes moyennes financent leurs achats sans pb ( Accélère croissance 2) Le déséquilibre du commerce extérieur ( Ouverture internationale : rôle stimulant : encourage exportations : 60 exportations = 10% du PNB=> Fr 4eme rg pays exportateurs

B. Un idéal de courte durée Cet idéal apparaît comme utopiste et la stabilité est de très courte durée (jusqu’au 15 mai 1848 avec les émeutes lors de la manifestation de soutien envers la Pologne réprimées) : début du déclin de la Seconde République. * Dans les faits, les ateliers Nationaux deviennent un gouffre financier et on voit apparaitre une rupture entre les Notables

politiques aux positions parfois très différentes. On trouve dans les mouvements généralement classés à droite des courants aussi hétérogènes que le radicalisme, la démocratie chrétienne, le libéralisme, le conservatisme, le souverainisme ou le nationalisme. En France, en 2012, les principaux partis classés à l'extrême droite sont  Front national (FN) Mouvement national républicain (MNR) Les principaux partis classés à droite sont : Union pour un mouvement populaire (UMP). Nouveau Centre. Mouvement

plus frappant, du même phénomène. À mesure que les fonctions industrielles se spécialisent davantage, la lutte devient plus vive, bien loin que la solidarité augmente. [...] Cette tension des rapports sociaux est due en partie à ce que les classes ouvrières ne veulent pas vraiment la condition qui leur est faite, mais ne l’acceptent trop souvent que contraintes et forcées, n’ayant pas les moyens d’en conquérir d’autres. [...] Pour que la solidarité organique existe, il ne suffit pas qu’il y ait

du problème social. Clemenceau "briseur de grève" : président du Conseil (1906-1909), il réprime violemment les grèves. En 1906, les radicaux créent le ministère du travail, et tentent de faire passer une fois de plus une loi sur les retraites ouvrières, mais le Sénat fait obstruction jusqu'en 1910. L'impôt sur le revenu ne passe qu'en 1914 En 1909, Clemenceau doit démissionner. Les modérés reviennent au premier plan. II. Les contrastes économiques et sociaux de la Belle Epoque 1. Une économie

L'urbanisation crée un nouveau marché qui favorise la croissance: construction de logements, équipements de la voierie, transports...... L'augmentation moyenne du pouvoir d'achat des salariés stimule la consommation, en particulier le développement des classes moyennes provoque une forte demande de produits de luxe qui ont tendance de ce fait à se banaliser. Dès les années 20, les E.U entrent dans l'ère de la consommation de masse. Dès la fin du XIXème siècle, les échanges ont tendance à s'internationaliser

Secteur primaire (agriculture, pêche)  Secteur secondaire (industrie)  Secteur tertiaire (services) 1. Déclin de la paysannerie 2. L’apparition d’un monde ouvrier varié  La diversité du monde ouvrier  Des conditions de vie très difficiles au départ  Une amélioration progressive à partir du début du XXe siècle 3. Une nouvelle classe dirigeante : la bourgeoisie 4. L’émergence d’une classe moyenne B. La naissance d’une société urbaine 1. L’explosion urbaine 2. Un nouvel urbanisme. L’exemple des

JEAN Amélie HK/BL Histoire, Armand Colin deuxième Edition 2007 LE MONDE DU TRAVAIL 1800-1950 Alain DEWERPE SOMMAIRE : Les trois sources de la classe ouvrière du début du XIXe aux années 1880 La question sociale Usines et prolétaires des années 1880 à la veille de la Première Guerre mondiale Rationalisation de la Première Guerre mondiale aux années 1950 Introduction : Depuis la fin du XVIIIe s., la genèse et les mutations de la force de travail industrielle apparaissent

développés occidentaux, puis dans une seconde partie, nous verrons que le syndicalisme reste un facteur d'intégration sociale. Partie 1: En sachant que le syndicalisme a pris racines dans le mouvement ouvrier, nous pouvons penser que le déclin de la classe ouvrière a participé à la crise du syndicalisme. Le nombre d'ouvriers est passé de 7 millions en 1982 à 5,9 millions en 1999 mais c'est surtout la nature du travail ouvrier qui s'est transformée. En effet, en 2001, il y a plus d'ouvriers qui travaillent