Le Déficit Public Frein Ou Moteur De La Croissance

Faut-il réduire le déficit budgétaire de l’État ? Depuis la révolution industrielle les pays occidentaux ont alterné les cycles de croissances ainsi que, les crises économiques. Depuis lors les gouvernements ont toujours joué des rôles primordiaux dans l’entré et la sortie de crise, on se rappellera du président américain Roosevelt et de l’anglaise Margaret Thatcher, ainsi que les effets de leur politiques économiques. Cependant malgré les enseignements que peut nous fournir l’histoire, les crises

les « considérer » I. Sources de la croissance 1) Introduction * Importance d’un taux de croissance élevé * L’effet pervers des gaz naturels 2) Analyse descriptive - 1960-2000 : % de Cce en baisse - Cce + faible & + volatile que MENA 3) Comptabilité de la croissance - contribution du K + du PTF (productivité totale des facteurs) 4) Analyse des déterminant de la croissance : Eco volatile : Ce qui ralentit la croissance - Croissance démo - Eco trop dépendante des conditions

objectifs de la politique économique en Europe GOPE (grandes orientations de politiques économiques). En Europe : GOPE fondées sur la stratégie « Europe 2020 ». Coordination des politiques économiques (respect du PSC). Pas de déficits excessifs : déficit public < à 3 % du PIB sauf circons-tances exceptionnelles. Respect des perspectives euro-péennes et du PSC. Document 4 Oséo Moyens : mise en place d’Oséo pour aider les entreprises à innover et à croître, surtout pour les PME. Aide

connu une croissance forte en 2010, l'Inde a traversé en 2011 une période combinant stagnation de la croissance et forte inflation (10%). Pour l'année fiscale 2012-2013, la croissance devrait être la plus basse de ces dix dernières années (5%) du fait de mauvaises performances agricoles, de la baisse de la production industrielle et de la dégradation de la conjoncture internationale. La consommation des ménages (60% du PIB), bien qu'en baisse, demeure le principal moteur de la croissance. L'objectif

« Quelques chiffres : FRANCE  PIB : 2000 milliards € en 2009 Croissance : - 2,7% (récession) Déficit budgétaire France : 100 milliards € Traité de Maastricht => traité d’Amsterdam : il ne faut pas dépasser 3% du PIB en déficit budgétaire. Dette de l’état français (ne doit pas dépasser 60% du PIB) : 1300 milliards € Les emprunts se font auprès de la population ou des pays étrangers (Chine). Déficit commercial français qui se creuse depuis 2004 : 50 milliards € Le montant des intérêts

| |1. Croissance, changement social et développement. |1. Croissance, changement social et développement. | |-L’ouverture internationale et l’économie de marché ont favorisé le développement économique des pays |-La croissance et le développement doivent s’accompagner d’une intervention de l’Etat pour

structurelles : i. acte législatif ; ii. l’approche macroéconomique d’inspiration keynésienne, aux Etats-Unis et en Europe, au lendemain de la seconde guerre mondiale, a permis de maintenir le plein emploi, la croissance, la stabilité des prix ; iii. les contraintes européennes : 1. le déficit d’un pays membre de l’Union européenne ne doit pas dépasser 3% du PIB ; autrement, le financement se fait par emprunt ; 2. l’engagement des Etats membres à ne pas dépasser un taux d’endettement de 60% du PIB ;

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légitimité relative pour l’ensemble de la société. En France, dans le courant du XIXe siècle, le recours à la dette n’est pas systématique. L’État s’endette surtout pour des investissements productifs : grands travaux, chemins de fer, etc. Les travaux publics et les investissements industriels sont considérés comme des investissements susceptibles d’être rentabilisés et amortis par la hausse de l’activité économique. La légitimité de la dette est liée à l’idée d’assurer le développement de la production

LA FRANCE FACE A LA RECESSION L L’ECONOMIE FRANÇAISE FACE AU RISQUE DE RECESSION L’Organisation de Coopération et de Développement Economique (OCDE) a annoncé que le taux de croissance de la France pour 2012 serait de 0,3% loin des 1% attendu par le gouvernement. Un chiffre qui confirme bien que la France est entrée en récession, c'est-à-dire que depuis au moins deux trimestres consécutifs, la France a connut un recul de son Produit Intérieur Brut (PIB). Cela correspond clairement à