Le Déisme

Arouet, dit Voltaire / 1694-1778) "C'est une des superstitions de l'esprit humain d'avoir imaginé que la virginité pouvait être une vertu." (Voltaire / 1694-1778) Citations : "Dictionnaire philosophique" (1764) Voir la page d'accueil sur le déisme  Biographies    Citations    Haut de page    Contact   Copyright © |

donné pour signifier la clarté qui doit éclairer l’humanité afin de lutter contre l’intolérance et la superstition. Le modèle des philosophes des Lumières est celui de la monarchie anglaise, bien plus tolérante que Louis XIV, Louis XV et Louis XVI. Déisme : Croyance en un Dieu unique supreme immanent ordonateur ou créateur de l'univers. Les déistes n'interagient pas avec le monde et n'interviennnent pas dans la déstiné des hommes. C'est une philosophie qui rejettent toutes révélations divines, les

(Novalis, Schlegel, Jacobi, Schelling et toute la philosophie de la nature) a été profondément inspiré du panthéisme. La théologie chrétienne a curieusement identifié le panthéisme avec l'athéisme, parce qu'il récuse l'idée d'un Dieu personnel. [2] 3. Déisme 1. Qui croit en Dieu, mais qui se refuse à en dire quoi que ce soit. [3] 2. Opinion, croyance de ceux qui admettent l'existence d'un être suprême mais qui refusent de lui appliquer toute détermination précise et rejettent la révélation, les

(concurrent de l’Encyclopédie). Lettre de cachet Billet du Roi ordonnanr l’arrestation d’une personne quelle qu’elle soit, et sans motif à donner. (ex. : Fouquet, emprisonné par Louis XIV) Montesquieu (baron de) Philosophe partisan du déisme, et d’une monarchie parlementaire de type anglais. A écrit des romans épistolaires (lettres Persanes) et des essais (de l’esprit des lois). Rousseau Partisan d’une religion naturelle, il propose un despotisme éclairé par les philosophes mais

Célébration de la grandeur de Dieu Dieu universel qui est célébré dans la première phrase parce que Voltaire utilise des hyperboles « tous les ê, tous les H , tous les mds » renforcé par un rythme ternaire (rythme sur trois temps). Enumération (déisme). Dieu est grand (puissance supérieur). Dieu est apostrophé : « A toi », l’anaphore de ‘tous’ (« ts les ê, ts les H, ts les mds »). universalité et grandeur de Dieu. Présence d’un vocabulaire de l’hommage comme « célébrer » (l15), « il faut t’aimer »

est déiste, il croit en un "grand horloger" dans la Nature, Rousseau a une conscience religieuse qu'il fonde sur le cœur et non la raison, Diderot, lui, est résolument athée. Tous sont opposés au fanatisme : ils prônent une religion naturelle, un déisme, qui fasse l'union de tous les hommes au lieu de les diviser (Montesquieu, Voltaire, d'Alembert, Condorcet). 6) Domaine de la morale : Selon les philosophes, il faut tourner le dos à l'austérité chrétienne, considérée comme antinaturelle, faire

dans son autre livre Zadig. Voltaire était un écrivain et un très grand philosophe des Lumières. Il naquit le 21 novembre 1694 à Paris et y meurt le 30 mai 1778. Il lutta contre le fanatisme religieux et contre l'intolérance. Il fut partisan du déisme, la croyance en un dieu créateur. Il écrit notamment Candide, Lettres philosophiques et Zadig où il convient d'étudier le chapitre 12: Le Souper. Zadig vient de se faire bannir de Babylone, et devient esclave et ami de Sétoc. Il convient

la matière seule. Pour lui, le monde tel qu’il est, est né du mouvement de la matière et non d’un Dieu qu’il ne peut ni voir ni toucher. Diderot, en osant transcrire cela, prouve qu’il n’en pense pas moins, et cette thèse matérialiste, qui remet le déisme en cause, peut aussi être considérée comme une forme d’athéisme, ce qui était tout à fait intolérable à cet époque. Diderot s’est donc fait jetter en prison à juste titre pour l’Eglise : il a non seulement affirmé que la morale n’était pas universelle

refusent pas toutes croyances religieuses. Ainsi Montesquieux et Voltaire adoptent tous deux une position déiste (qui consiste à affirmer les croyances en un dieu créateur du monde mais à refuser toute église ou toute nécessitée de prier ce dieu.) Déisme : Tous les avantages de la croyance, sans les inconvénients. Il apparait comme un moyen de maintenir l’existence de dieu sans les inconvénients dogmatique et fanatique. D’autres vont plus loin dans la remise en question des croyances et professent

coeur, non à la raison ». la religion n'a de sens que si elle s'adresse au coeur, et toute signification ou explication tombe dans une impasse. Pascal fait souvent appel aux Écritures pour établir une relation rationnelle avec la religion. c) Déisme et théisme : Le rôle de l'écriture va donner lieu à une nouvelle bataille car certains vont dénoncer ces écrits. « Je crois que le monde est gouverné par une volonté puissante et sage ; je le vois ou plutôt je le sens et cela m'importe à savoir.