Le Désir Est Il Compatible Avec La Liberté

participant à la première Guerre Mondiale. Le thème principal du texte est la paix. Car Wilson désire ramener la paix en Europe, il donne donc des moyens pour y arriver.Wilson entend notamment assurer la liberté de navigation sur les mers, garantir la naissance de nouveaux Etats (Tchécoslovaquie, Pologne…) et créer une Société des Nations (SDN). Puis les autres différents thèmes abordés au fil du texte sont la liberté, l’égalité, l’économie, le territoire, la nationalité, les relations internationales.

immédiate d’un désir) ; l’utile (d’un niveau supérieur, puisqu’on peut sacrifier l’agréable à l’utile. Le plaisir n’est pas perdu; il est différé ou transféré ); le collectif (l’intérêt commun qui peut exiger le sacrifice de l’intérêt propre) ; l’humain (les valeurs qui appartiennent à l’humanité en tant que telle) ; le salut (les valeurs situées au-delà de l’humain, parce qu’au-delà de la mort). (il nous explique ce choix hiérarchique à partir de la page 39). Les valeurs sont-elles compatibles entre elles

voit mal comment parvenir à une coordination des individus sans une institution contraignante. Il faudrait alors limiter la liberté d'action pour la sauver, en quelque sorte. Pourtant, cette conception est trop simpliste car elle se rapporte à une vision d'un homme qui agirait sans souci des autres. Or, il est bien évident qu'à regarder les enfants jouer spontanément, leur désir d'appartenir au groupe fait qu'ils se donnent spontanément des règles. L'homme est un animal sociable, c'est constitutif de

Les trois grandes parties La culture -art -technique -échanges La raison et la vérité -la méthode scientifique -la vérité -foi et raison La liberté -état et société -droit et justice -moral et politique ÉPOQUES : Antiquité : Socrate et Platon Modernité : Descartes → invite la modernité 1637 : Discours de la méthode 1641 : Méditation métaphysique 18éme siècle : Les Lumières : Rousseau Voltaire Les Révolutionnaire : Marx Freud Nitch ← critique

conditions permettant d’être certain légitimement, à bon droit ? Une méthode garantissant la validité de la pensée est-elle possible ? Mais enfin, est-il légitime de chercher à être sûr d’avoir raison ? La recherche de la certitude est-elle toujours compatible avec la recherche de la vérité ?Faut-il être sûr d’avoir raison ? Comment expliquer tout d’abord le sentiment subjectif de certitude ? Qu’est-ce qui généralement le rend possible ? D’où vient que, même sans avoir longtemps réfléchi, ou sans avoir

d'une personne est toujours médical : c'est telle technique qui n'a pas pu réagir efficacement contre une défaillance ultime et fatale de l'organisme du mourant ! La médecine moderne permet une prolongation de la durée de vie qui n'est pas toujours compatible avec la qualité de la vie. C'est l'attitude d'obstination déraisonnable qui épouvante les familles et les proches, témoins de ces mauvaises morts (les « dystanasies »). Ne permettons plus ces morts violentes. Donnons aux gens la possibilité de décéder

ministres peuvent être choisis parmi les membres des deux chambres). On peut se demander si une disposition qui consacre un régime si fortement dominé par la personne du roi est compatible avec les attentes révolutionnaires de l’époque. Dans un premier temps, nous étudierons cette question sur le plan du conservatisme (le roi désire conserver ses privilèges) et sur celui du libéralisme (les acquis révolutionnaires). L’article 13 restitue parfaitement la volonté du roi de conserver un pouvoir important

bonheur comme les épicuriens, tous ne situent pas le bonheur au même endroit... pour les stoïciens c’est l’ascétisme : ne désirer que les choses qui dépendent de nous, cad rien sauf notre jugement. Pour aristote, c’est l’action vertueuse (le juste milieu entre deux extrèmes). Le point commun entre tous les eudémonistes c’est qu’ils considèrent que morale et bonheur sont compatibles). II- “Suis et pratique l’enseignement ... de même que la vie heureuse ne se sépare point de ces vertus” (Page 49) : Exposé

Section 8 De la liberté et de la nécessité La controverse sur la nécessité et la liberté fait partie de ce que Hume appelle les disputes verbales. Historiquement, la position de Hume et sa critique de la volonté libre est proche de la contestation par Hobbes de la thèse de John Bramhall. Ce dernier auteur, un évêque anglican, défendait l’absolue liberté de l’action humaine, la liberté d’indifférence, dans l’ouvrage Defence of True Liberty. Cette discussion entre Hobbes et Bramhall est

commencé bien avant les révolutions américaine et française, a un caractère inéluctable. La réflexion de Tocqueville nous amène naturellement à étudier quelles sont les conditions et les conséquences de la démocratie et comment rendre compatible l’idéal d’égalité et la liberté. Dans une perspective plus proche d nous, on peut se demander sir la montée de l’individualisme à laquelle nous assistons aujourd’hui n’est pas une menace pour la société démocratique comme le craignait Tocqueville ?!! ! L’auteur