Le Déterminisme Chez Marx Et Freud

l'histoire bien que nous ne puissions en être les auteurs. Il y a dans ces positions un certain fatalisme rejetant toute réelle possibilité de maîtriser l'évolution d'une société de marché (et de masse), livrée à la concurrence et aux intérêts privés. Pour Marx, c'est la production de l'homme qui lui devient étrangère comme une seconde nature (réification) mais qu'il faut se réapproprier. On n'a pas le choix. Nous ne pouvons nous dérober à une "histoire conçue", une construction consciente de l'avenir, lorsque

de type traditionnel : écriture soignée des souvenirs d’enfance ; solution moderne donnée au problème classique de la composition thématique, par le montage de constellations d’images ; littérature d’aveu sexuel, revue et corrigée à la lumière de Freud, mais au fond peu différente de la tradition inaugurée par Rousseau et reprise quelques années plus tôt par Gide. Dans cette perspective, la préface ajoutée en 1946, « De la littérature considérée comme une tauromachie », serait une sorte de chant

pense par son ventre. Le marxisme intronise cette vérité comme l'unique et la reine de toutes les vérités. La fondamentale exigence biologique sert de support solide à l'élaboration idéologique. Irréfutable parce qu'élémentaire ! Mais il fallait que Marx insistât sur la chose pour la faire entrer dans les esprits comme donnée fondamentale de la réalité sociale. Mais cette donnée massive, comme toutes celles du siècle' fille de la nécessité et d'une vision du monde et de l'homme partielle et coupée

moderne conceptualisée par Canetti, ce pourrait être la fin du politique que Baudrillard annonce. Quant à l'histoire, il a élaboré une hypothèse s'opposant frontalement aux précédentes philosophies de l'histoire formulées d'abord par Hegel, puis par Marx et Engels (cf. Manifeste du Parti communiste), remettant explicitement en cause l'idée d'une causalité linéaire. À l'instar de Jean-François Lyotard qui annonçait dans La condition post-moderne la fin des « grands récits » narratifs, donnant un sens

deux heures supplémentaires à l'université, dans les journaux ou à la radio, lorsqu'on lui demande « oui, d'accord, mais demain? Ça s'arrange? » On comprend alors qu'il ne peut pas grand-chose pour nous. D'autres économistes (Kondratieff, Schumpeter, Marx ou encore l'historien Braudel) croyaient en de grandes « pulsations » économiques, de grandes phases d'expansion et de récession. Mais il s'agit aussi plus de croyances que de vraies lois car il n'y a pas de lois économiques. (3) « Théorie générale

prix véritable ne peut donc ni se concevoir ni se pratiquer. Cette ligne essentielle de l'argumentation ne rend pas compte de son détail et de ses ramifications. Je n'ignore pas que la thèse de Mises a soulevé les discussions les plus passionnées soit chez les économistes (surtout de langue allemande et anglaise), soit dans le camp socialiste 6. Je n'ignorai pas davantage que les néosocialistes, Heimann en particulier ont, dans plusieurs publications essayé de montrer que la propriété collective est

pseudo« nature » de l'homo aeconomicus CHAPITRE IV. Petite histoire de la plus-value et du management CHAPITRE V. Le management comme casuistique et concrétisation de la « trahison chrématistique » CHAPITRE VI. Où les lois économiques exposées par Marx rejoignent les sciences physiques et la thermodynamique CHAPITRE VII. L’économie-management face à l'humanisme : entre l'employé ressource et l'employé partenaire CONCLUSION Vers une autre analyse de la crise mondiale et de la post-mondialisation :

travaillent, témoignent d’un rapport à l’être dans sa totalité et d’une appréhension de la réalité qu’il revient à la philosophie d’élucider ou de déconstruire. – Rousseau et la question du mal. – Tocqueville, Marx et la question de la démocratie. – Nietzsche et la question du ressentiment. – Freud et la question de l’inconscient. – Heidegger et la question de la technique. – Carl Schmitt et la question de la guerre. – Lévinas et la question de l’éthique. Période : Automne 8 blocs – 16 heures – 2 ECTS

demander si la marginalisation est la cause de la délinquance ou s’il faut considérer que la délinquance fait partie du processus de la marginalisation. Ouverture à des perspectives non causales Perspective fonctionnaliste : l’utilité sociale du crime (Marx) ; l’utilité sociale de la pauvreté (Simmel) ; l’utilité sociale de la criminalisation de la pauvreté. « La marginalité cause le crime » (1), mais qu’est-ce qui nous dit qu’il n’y a pas autre chose, joint à la première peut-être qui l’engendre (2)

politique. (mai 1968 : « tout est politique »).  Il faut observer les sociétés différentes qui construisent le politique différemment, par une autre régulation sociale (prévention des conflits), la politique en est une, mais elle n’est pas la seule. Chez les Nueres il n’y a pas de gouvernants, que des médiateurs. Des Indiens d’Amazonie font leur régulation sociale par une socialisation vigoureuse (le dressage). Il n’y a pas de société sans régulation sociale, sans rareté, sans conflits, mais il y a