Le Fascisme Italien

de Mussolini (1922), l'URSS de Staline (1928), l'Allemagne nazie (1933) I) Des régimes sous forte tension idéologique Les régimes totalitaires ont en commun d'avoir voulu chacun justifié leur action politique au nom d'une idéologie. Le fascisme italien est obnubilé par le mythe de la nation unitaire qu'incarne l'état. Il rejette la démocratie, synonyme division de la nation. Il dénie tout droit à l'individu qui ne compte pas et n'a que des devoirs envers l'état. Le nazisme est essentiellement

vue de la Première Guerre mondiale.   Les années 1930 voient également le retour des nationalismes, tant en Europe, qu’en Amérique du Sud ou en Asie ainsi qu’un développement sans précédent des idéologies totalitaires, qu’elles soient de droite (fascisme, nazisme) ou de gauche (stalinisme). Des conflits d'envergure mondiale, mettant aux prises de grandes puissances, annoncent le pire (Guerre civile espagnole (1936), invasion de l’Abyssinie par l’Italie (1935) alors que la Société des Nations, chargée

de + en + populaires. J. Staline est issu d'un milieu modeste et devient un militant communiste très jeune. Il est de + en + important au sein du parti. B. Mussolini (père forgeron, mère institutrice) entre au PSI (Parti Socialiste Italien) en 1900 dont il dirige le Journal (L'Avanti). Il est blessé pdt la 1ère GM puis rompt avec le PSI et fonde son journal, « Il Popolo d'Italia ». Il organise les « Fasci » (Groupe nationaliste) et fonde au début des années 1920 le PNF (Parti National

communistes et leurs « compagnons de route » intellectuels l’ont dénoncé comme étant une arme antisoviétique au temps de la guerre froide. L’adjectif « totalitaire », utilisé pour la première fois en 1924 par le libéral italien Giovanni Amendola pour dénoncer l’emprise du fascisme, a été repris à son compte pas Giovanni Gentile, théoricien du régime et par Mussolini lui-même. Les nazis ont, quant à eux, parlé d’ « État total ». C’est au moment du pacte germano-soviétique que s’affirme vraiment le

autorités infra étatiques, les communautés naturelles que sont la famille, les corporations, les communes, les provinces… Ces réalités multiples sont incarnées en la personne du roi, « l’autorité en haut, en bas les libertés ». CHAPITRE 2 LE FASCISME C’est avec prudence que l’on aborde ce chapitre tant on peut être convaincu par l’affirmation d’Ernst Nolte pour qui au cours du XXème siècle « il n’y ait pas un terme qui ait autant servi d’arme » Vient de l’italien « fascio » qui signifie faisceau

notions et de séquence.    Concepts : il n’est pas possible de réduire la réalité sociale à des concepts, car ils sont changeants et évoluent avec le temps. Par exemple, le terme totalitarisme était d’abord un symbole de la lutte contre le fascisme puis c’est devenu le nom de combat des anti-djiaïdiste. Transmission : il y a un problème dans la transmission des connaissances. Koselleck parle du champ d’expérience des horizons d’attente. C'est-à-dire que la culture commune diverge par rapport

avec un autre déporté, de rédiger un rapport technique sur le fonctionnement du camp d’extermination d’Auschwitz pour les Alliés. Ce travail lui servira de base pour la rédaction de « Si c’est un homme ». Il lui fut difficile de trouver un éditeur italien. Finalement le livre parut en 1947, publié à 2 500 exemplaires et passa inaperçu. Ce n’est qu’à la publication de son second livre La Trêve en 1963, que Primo Levi fut remarqué, et que « Si c’est un homme » trouva sa place et fut traduit en de nombreuses

aux tentatives démocratiques des Jeunes Turcs. On peut aussi inscrire les sytèmes autoritaires ds socialisme: Titisme Yougoslave. Aucun de ces trois moments n'est identifiable. Etablir des nuances: fascisme et franquisme nreuses similitudes mais nuances: franquisme= conservateur, archaisant/ Fascisme: profondément modernateur. ( Rapport colonialisme, mise ne place des systèmes coloniaux autour de la Grande dépression: début des années 80, Congrès de Belrin comme date symbolique, conquête d'Alger

L’ascension irresistible d’un soldat-modèle : Georges Boulanger 1 2) La République mise en danger par le Boulangisme 2 I. Analyse et conséquences politiques du mouvement boulangiste 3 1) Un mouvement hétéroclite… 3 2) …qui préfigure le fascisme et/ou le populisme 4 La III° République, née au lendemain de la défaite de 1870 a connu une période d’instabilité à ses débuts, due à l’insurrection de la Commune et à la possibilité d’une restauration de la monarchie. Pourtant, la période qui

duquel on trouve les forces armées espagnoles du Maroc, conduites par les généraux Sansurjo et Franco. Ils sont appuyés par les cadres militaires, la hiérarchie de l’Eglise catholique, les groupes de droite, et notamment la Phalange, groupe inspiré du fascisme. Du côté des républicains on trouve le gouvernement, les organisations de gauche, ainsi que les anarchistes. Cependant le soulèvement nationaliste n’a plus affaire, dès le 19 juillet, à un gouvernement : en effet José Giral arrive au pouvoir à cette