Le Fascisme Italien

le guide - valeur guerrières mises en avant : la discipline , la violence , la force de la jeunesse , l'armée , le sacrifice , la "race italienne qui vise a valoriser l'Italie cependant il n'y a pas racisme dans le fascisme italien ( pas avant 1938 ).` -la tradition , la Rome antique : le"mythe du soldat laboureur" , prouver la supériorité du soldat italien : Mussolini rêve de faire de l'italien un soldat -le rayonnement de l'Italie par une politique d'expansion coloniale. -revenir a la terre

En date du 3 janvier 1925, en plein ère de l'Italie fasciste, Benito Mussolini déclare dans son discours à la Chambre des députés être le seul responsable de la mort de Matteoti et par cela annonce être un franc partisan du fascisme et même un créateur: « Si le fascisme a été une association de délinquants,si toutes les violences ont été le résultat d'une certaine atmosphère historique, politique et morale, à moi la responsabilité de tout cela, parce que cette atmosphère historique, politique

néoréalisme Italien se présente comme un mouvement social . Les films néoréaliste ont pour but de dénoncer , comme par exemple Paisa ou Romme Ville Ouverte dénonçant le fascisme et le mal qu’il entraîne . Le néoréalisme est un peu comme le réalisme poétique , un cinéma miroir .Certains films agissent également comme miroir de la société , par exemple Le voleur de bicyclette dénonçant le chômage . Dans le néoréalisme italien les

a mis en place le suffrage universel masculin en 1912. La démocratie est seulement présente en Italie mais elle est très récente donc encore peu implantée avant 1914. Dans l’entre-deux-guerres, quand les totalitarismes se mettent en place, les Italiens, les Russes et les Allemands n’ont pas de tradition démocratique donc ne s’effrayent pas de la mise en place de ces régimes. 1 B. Les séquelles de à la Première Guerre mondiale • Après la guerre, la violence est transférée des champs de

la tendance totalitariste européenne en fondant un régime fasciste. · Un régime fasciste : chef charismatique, idéologie traditionaliste, maintien d’une cohésion sociale avec une propagande, police, aussi programme anti communiste Le fascisme italien voue un culte à l'État auquel tout individu doit se soumettre et se sacrifier ; le national-socialisme s'axe autour de l'inégalité entre les races. Le racisme est une composante majeure de l'idéologie fasciste· Enjeu est de déterminer à partir

Correspondance internationale. Le texte sur « le P.C.I. et les Syndicats » a été confronté avec l'original des Tesi di Roma et l'on a vérifié sur le texte russe 8 Écrits politiques la traduction de la lettre à Trolski sur le futurisme italien. Les limites chronologiques du présent volume auraient dû nous conduire à rejeter dans le tome III des Écrits politiques les lettres datées de 1923 et 1924 qui constituent la Correspondance de Moscou et de Vienne, ainsi que celles de l'automne 1923

des régimes totalitaires (soviétique, fascisme et nazisme) Après la première guerre mondiale, les démocraties semblent avoir triomphé en Europe de l'Ouest. En effet, les empires allemands et austro-hongrois ont disparus et à l'Est, suite à la révolution bolchevique de 1917, l'Empire Russe est devenu un régime communiste. Mais pendant l'entre deux guerres, on assiste au développement de régimes totalitaires tels que le nazisme et le fascisme en Europe de l'Ouest ainsi que le stalinisme

autoritairement les pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire, n'admet aucune opposition. Dans la phrase soulignée, tirée de l’essai L’Etat totalitaire de Luigi Sturzo démocrate-chrétien italien, ce dernier fait allusion à trois Etats totalitaires. Le premier, « soit de la nation », est le fascisme italien qui a pour objectif l’exaltation de l’Etat. Il fait ensuite allusion au nazisme allemand « soit de la race », qui a pour objectif la prédominance de la race Aryenne. Le dernier, « soit de la

nations ayant gagné la Grande guerre. Les Allemands, leurs alliés, les pays neutres ainsi que l’URSS en sont exclus. En France, c’est le ministère des affaires étrangères qui dirige la politique sportive. Après la Seconde guerre mondiale, la défaite du fascisme et du nazisme n’entérine pas la fin de l’instrumentalisation du sport. Dès 1948, Eric Honecker - alors secrétaire général du Parti communiste de la RDA - déclarait : "Le sport n’est pas un but en soi ; il est un moyen d’atteindre d’autres buts".

d’abord dans la place accordée à la vision raciale de l’histoire et plus encore dans celle tout à fait centrale donnée à l’antisémitisme que réside la véritable originalité du nazisme par rapport au bolchevisme comme d’ailleurs par rapport au fascisme italien où l’on retrouve pas la dimension antisémite sauf à la fin du régime mussolinien et de façon atténuée. La Shoah est donc ce qui rend le nazisme irréductible aux autres totalitarismes. Quelle que soit la volonté furie exterminatrice de Lénine