Le Fédéraliste

autant être condamné. Cette remise en cause découle tout à la fois de la mondialisation croissante et au développement de la régionalisation liée à une certaine évolution de la démocratie. Critiques de la théorie de l'Etat-Nation Pour les fédéralistes européens : partisans d’une Europe fédérale : état Nation pour eux est une « construction artificielle : associé a une entité abstraite qu’est la nation » : cela ne serait qu’une phase vers la gouvernance mondiale (volonté de tout rassembler)

commune) n’avance-t-elle pas. Enfin, les débats autour de la forme politique de l’Union européenne sont totalement absents du dossier. Rien ne rappelle les affrontements parfois durs entre les unionistes (partisans d’une Europe des nations) et les fédéralistes (partisans d’une intégration politique plus poussée sur un modèle proche des Etats-Unis). Ces divergences ont pourtant façonné le modèle politique européen qui est un compromis entre ces deux approches, tendant aujourd’hui à se rapprocher de plus

clarté et son imprégnation de principes forte. La Cour Suprême, organe absolue en matière constitutionnelle américaine, donne, par l’arrêt Marbury vs. Madison, une vision qui se veut novatrice et originaire. L’enjeu, dans cette jeune organisation fédéraliste, est alors d’imposer la Constitution comme norme suprême et comme texte de référence censé guider les jugements rendus et les lois, en plsu d’instaurer les institutions. Avec le recul de deux siècles, on peut s’étonner de voir comment la Cour suprême

il entre le 27 juillet 1793 au Comité de salut public, où il participe à l'instauration d'un gouvernement révolutionnaire et de la Terreur, dans un contexte de guerre extérieure contre les monarchies coalisées et de guerre civile (insurrections fédéralistes, guerre de Vendée...). À la suite de la victoire des comités contre les factions au printemps 1794, il contribue à faire cesser la politique de déchristianisation et fait voter, en qualité de rapporteur, le décret du 18 floréal an II, par lequel

mondialisation. · Les souverainistes tenants d’une Europe confédérale. Chevénement (MDC) mais aussi De Villiers, Pasqua , les Etats doivent garder des compétences souveraines notamment en matière de monnaies, de taux d’intérêt, de fiscalité. · Les fédéralistes : Les Etats-nations seuls n’ont plus les moyens de répondre aux défis technologiques, économiques. Ils doivent s’entendre et accepter d’abandonner de la souveraineté à une structure plus large pour affronter la compétition mondiale et régler les

org/documents/statuts2011.pdf (page couverture) 7 premier bien sûr, oppose fédéraliste et souverainiste, ou plus largement ceux qui s’identifient davantage au Canada et ceux qui se sentent d'abord Québécois. Et le second, plus universel, exprime l’opposition classique entre la droite et la gauche.» Toujours selon Noël, dans une grille popularisée récemment par les concepteurs de la Boussole électorale, formée par le croisement de ces axes qui situe les fédéralistes en bas, les souverainistes en haut et les positions de

Proudhon (1809-1865) « la propriété c'est le vol », lorsqu'elle s'empare d'un bien collectif alors qu'elle est un facteur de liberté, veut la collectivisation de la production. Propose la fondation d'une banque d'échange. Société auto-gestionnaire et fédéraliste, structurée en petites entités économiques, librement consentis entre les différents membres du groupe. union des individus repose sur une adhésion spontanée des consciences, en raison de la dignité qui réside en chaque homme. Le proudhonisme vulgarise

idéaux démocratiques de la Révolution et les girondins, qui veulent s’en tenir aux décisions prises depuis 1789. Ils veulent gouverner en s’appuyant sur les provinces par crainte de l’extrémisme d’une partie du peuple parisien. On les appelle donc fédéralistes. Les montagnards votent la mort du roi après un procès politique, ce qui provoqua une rupture dans les relations entre les deux parties. Le 24 juin 1793 l’adoption du suffrage universel est confirmé par la déclaration des droits de l’homme et

provinces les moins évoluées d'Equateur, d'Orientale et du Kasai restent fermement attachees aux thèses unitaires. Ailleurs, sous l'influence des colons (Kivu, Katanga), ou de particularismes propres a une region plus évoluée (Bas-Congo), la these federalistes risque de l'emporter. Dès lors, il n'est plus question de conserver la structure administrative de la période coloniale: "La question se pose aujourd'hui de savoir s'il faut faire du Congo un Etat unitaire decentralisé ou s'il faut lui conferer

pour qui seuls les chefs d'État ont la légitimité démocratique pour représenter leurs citoyens. Ce sont donc les nations qui doivent contrôler les institutions de l'Union. Le second cas correspond au modèle défendu par le courant europhile des fédéralistes, qui estiment que les institutions doivent représenter directement les citoyens et que les modalités de prise de décision au sein des institutions doivent être adaptées au fil des élargissements. La question de l'évolution de l'Union européenne