Le Fils Du Pauvre

seigneuriales et qu'occupent à présent de gros cultivateurs, les chiens, attachés aux pommiers de la cour, aboyaient et hurlaient à la vue des carnassières poilées par le garde et des gamins. Dans la grande salle à manger-cuisine, Hautot père, Hautot fils, M. Bermont, le percepteur, et M. Mondaru, le notaire, cassaient une croûte et buvaient un verre avant de se mettre en chasse, car c'était jour d'ouverture. Hautot père, fier de tout ce qu'il possédait, vantait d'avance le gibier que ses invités

embarcation m'attendait. Nous fûmes des milliers à embarquer dans ce vieux tas de ferraille. C'était très éprouvant ; on était tous entassé dans la cale sans pouvoir voir la lumière du jour durant plusieurs semaines. Des centaines et des centaines de pauvres hommes, femmes et enfants de tous âges étaient serrés les uns contre les autres, sans air, dans la crasse. Aucun endroit n'était prévu pour faire ses besoins ; la saleté et les odeurs étaient insoutenables. La majorité était malade et avait perdu

montrerons que cette scène est aussi celle d’une retrouvaille familiale. I/ Une peinture réaliste du monde paysan. - 1°) l’art de la description, le patois. Le passage commence par une description des parents Duroy, venus à la rencontre de leur fils. Celle-ci commence très simplement, par le présentatif : C’était, ainsi que trois groupes nominaux sans expansion « deux paysans, l’homme et la femme » : aucune fioriture, aucune recherche d’effet dans cette présentation.. Après cette très brève entrée

pendant que Lucrèce, fille du saint-père, était en couche et qu’on ne savait pas dans Rome si l’enfant était du pape ou de son fils le duc de Valentinois, ou du mari de Lucrèce, Alphonse d’Aragon, qui passait pour impuissant. La conversation fut d’abord fort enjouée. Le cardinal Bembo en rapporte une partie. « Petit Pic, dit le pape qui crois-tu le père de mon petit-fils? — Je crois que c’est votre gendre répondit Pic. — Eh! comment peux-tu croire cette sottise? — Je la crois par la foi. — Mais ne

d’abord par Elmire, sa bru puis Mariane et Damis ses petits-enfants et son beau-fils, Cléante sans oublier Dorine, la suivante de Mariane. Puis ils commencent à critiquer Tartuffe un homme qui arriva chez eux vêtu pauvrement et qui est maintenant le dévot de Madame Pernelle. Elle n’écoute que lui qui dit également les quatre vérités à tous et demande à faire des bals, donne des ordres à toute la maison… Mais Damis, fils d’Orgon lui répond que ce n’est qu’un jaloux, hypocrite et un homme au pouvoir

La vie de Molière Molière est né le 15 janvier 1622. Fils ainé de Jean Poquelin, marchand tapissier, il est issu de la bourgeoisie Il fait ses études chez les jésuites puis fait du droit à Orléans. Molière rompt avec sa famille qui s’oppose à son amour pour le théâtre et pour une comédienne (Madeleine Béjart) avec qui il fonde une troupe, l’Illustre Théâtre qui est un échec. 1645 : Il est emprisonné quelques jours pour des dettes. Il quitte Paris pour la province. 1658 : il reviens

désordres de ce pauvre Renzo, et qui prétendent que cela fait tord à mon gouvernement. » (Acte I, scène 4, Le Duc). Le Cardinal Valori met en garde, par l'avertissement du pape, le Duc de son cousin Lorenzo, mais celui ci ne voit pas en quoi celui ci est à craindre car il le dit inoffensif. Le Duc, de part son lien familiale et le fait qu'il le connaisse personnellement, ne voit pas Lorenzo comme Le Peuple le voit. La mère de Lorenzo à elle aussi un point de vue particulier sur son fils dans cet acte

leur mode de vie & loisirs : chasse et fauconnerie surtout. Fondement de sa force : la terre. * Chevalier, squire : étage supérieur de la gentry : upper gentry. (titre pas héréditaire, mais faveur royale intervient souvent) * Ecuyer, esquire : fils des chevaliers avant leur mort. * Gentleman : étage le plus bas de la gentry. Les paysans : * yeomanry : paysans propriétaires d’un bien suffisant pour en faire des citoyens à part entière, mobilisables et dotés du droite de vote pour les élections

Quelques siècles après la mort d'Adam , le père de l'humanité, ses arrières petits fils n'arrivèrent pas à s'organiser convenablement. La répartition des tâches imposait la redéfinition des rapports entre homme et femme. Or depuis que Caen a tué son frère pour épouser sa sœur, les relations familiales ne surent jamais trouver un équilibre . Les affiliations furent perdues dans les méandres du plaisir sexuel et tout était permis . Les frères s'entretuaient sous les yeux de leurs parents pour épouser

était le vrai portrait de son père […]» (l. 4) et qui devait obéir sagement aux ordres de sa mère. Ensuite, l’élément déclencheur (l. 10-14) prend place alors que la cadette devait aller puiser de l’eau à la fontaine et qu’elle « […] vint à elle une pauvre femme qui lui pria de lui donner à boire.» (l. 14). La première série de péripéties (l. 15-41) survient alors que la cadette donne à boire à la femme (l. 15-17), qui était en réalité une fée et lui donne un don pour son honnêteté et sa générosité