Le Fils Puni

trône de Thèbes. Créon, frère de Jocaste et – à ce titre – nouveau roi, a décidé de n'offrir de sépulture qu'à Étéocle et non à Polynice, qualifié de voyou et de traître. Il avertit par un édit que quiconque osera enterrer le corps du renégat sera puni de mort. Personne n'ose braver l'interdit et le cadavre de Polynice est abandonné à la chaleur et aux charognards. Seule Antigone refuse cette situation. Malgré l'interdiction de son oncle, elle se rend plusieurs fois auprès du corps de son frère

2°) Le mythe d'Œdipe Œdipe, dans la mythologie grecque, roi de Thèbes, fils de Laïos et de Jocaste, roi et reine de Thèbes. La reine Jocaste attend un enfant. Son mari, Laïos, roi de Thèbes, s'enquiert auprès des dieux, comme il est naturel, de ce qui va venir. La réponse de l'oracle est terrible : " Il tuera son père ; il épousera sa mère". Il décide d'échapper à son destin : il attacha les deux pieds de son fils nouveau-né, qu'ils percent, et ils ordonnent qu'il soit abandonné dans la montagne

son travail. Lorsqu'il rentre à la maison, il aime lire son journal dans son fauteuil et fumer une pipe. Il est généralement plus jovial et indulgent envers son fils que sa femme ne l'est. En fait, dans un épisode, on voit que dans son bureau on ne travaille pas beaucoup. Mémé La grand-mère maternelle de Nicolas. Elle gâte son petit-fils (cadeaux en tout genre, bonbons, gâteaux…) au grand dam de son gendre. Nicolas l'aime beaucoup et se réjouit toujours de ses visites chez sa mémé ou des nombreux

dirait qu’un esprit anime mille corps : C’est bien là que les gens sont de simples ressorts. Pour revenir à notre affaire, Le Cerf ne pleura point, comment eût-il pu faire ? Cette mort le vengeait : la Reine avait jadis Étranglé sa femme et son fils. Bref, il ne pleura point. Un flatteur l’alla dire, Et soutint qu’il l’avait vu rire. La colère du Roi, comme dit Salomon, Est terrible, et surtout celle du roi Lion : Mais ce Cerf n’avait pas accoutumé de lire. Le Monarque lui dit : Chétif hôte

favorite. On mangeait dans de la vaisselle de métal précieux, avec ses mains car la fourchette n'existait pas. Tout était pour le mieux ! La chasse La chasse était un véritable loisir. Le seigneur était le seul à chasser et le braconnage était puni. Grâce à la chasse, il se procurait de la viande fraîche. Il y avait deux types de chasse : La chasse à courre nécessitait des chiens dressés et des chevaux. Elle servait à attraper le gibier comme les sangliers et les cerfs. La chasse

défenses, et si l'observation des premières et la violation des secondes n'entraînaient pas. comme sanction, selon le cas, une récompense ou un châtiment. « Si tu fais telle chose, tu seras récompensé .» « Si tu fais telle autre chose, tu seras puni .» Tout le système est là. J'accorde aux partisans de ce système que leur discernement est judicieux, que leurs intentions sont pures et qu'ainsi la classification qu'ils ont établie - actes à faire et actes à ne pas faire - est sage, raisonnable

le fond de son âme et savoir s’il pratique la justice. Dans sa discussion avec Polos, Socrate insiste particulièrement sur ces deux points : qu’il vaut mieux subir l’injustice que de la commettre et que le plus grand des maux est de n’être pas puni quand on a mérité de l’être. Pour démontrer qu’il vaut mieux subir l’injustice que de la faire, Socrate part de l’identité du mal et du laid, du beau et du bien, et voici comme il raisonne. C’est à cause du plaisir ou de l’utilité ou des deux à la

La vie à reculons- Gudule Prologue : Une maman se rend dans une école pour faire inscrire son fils. Il redouble sa quatrième. La maman demande au principal du collège de garder le secret à propos de son enfant car il a subi beaucoup d’humiliations et d’attaques dans les autres écoles. Ses camarades se sont moqués de lui et la vie a été très difficile pour lui. Le principal promet de ne rien dire et assure que les professeurs de l’école saurant garder le secret. Chapitre 1 : Aujourd’hui en

rose, frêle, avec de grands yeux noirs et de longs cheveux châtains. Elle avait deux ans et un mois quand je l'ai vue pour la dernière fois. Ainsi, après ma mort, trois femmes, sans fils, sans mari, sans père ; trois orphelines de différente espèce ; trois veuves du fait de la loi. J'admets que je sois justement puni ; ces innocentes, qu'ont-elles fait ? N'importe ; on les déshonore, on les ruine. C'est la justice. Ce n'est pas que ma pauvre vieille mère m'inquiète ; elle a soixante-quatre ans, elle

l’ancien régime. Les philosophes français ont réagis, beaucoup d’affaires judiciaires à l’époque. Affaire Calas => Le fils de Calas s’était pendu (à l’époque, le suicide était considéré comme une honte). Le père Calas a fait passer ce suicide pour un meurtre. Calas étant un bourgeois protestant, il avait beaucoup d’ennemis. Ceux-ci ont affirmé qu’il avait tué son fils (son fils voulant se convertir). Voltaire avait tenté de le défendre. Calas est torturé et exécuté. On comprend à l’heure actuelle