Le Financement Des Retraites Face Au Défi Démographique

de nombreux éléments à l’idéologie stalinienne. Dans le domaine économique, la RPC adopte un « plan quinquennal » (1953-1957), dont la conception et l’exécution copient le modèle soviétique, accorde la priorité à l’industrie qui absorbe 58% des financements contre 19% pour les transports et 8% pour l’agriculture. Sur le modèle stalinien, les industries lourdes et les grands projets sont privilégiés. Le système économique de transition est remplacé par un système socialiste : les entreprises des «

travaillent pas et qui sont à la recherche d’un emploi. la population inactive : Elle comprend toutes les personnes qui ne travaillent pas et qui ne sont pas à la recherche d’un emploi. Il s’agit notamment des femmes au foyer, des écoliers, des retraités, des malades ou infirmes… Sur plus de près de 32 millions de personnes, on compte 32% de personnes actives et 68% de personnes inactives. La population active est à prédominance masculine puisque sur dix personnes actives on compte seulement

Bien Vieillir ». ... suite. 3 On insistera donc, après la présentation du champ de compétences couvert par l’action sociale menée par la CNAV (à travers ses principales caractéristiques objectives en termes de publics, de prestations servies, de financements et de partenariat, ainsi que ses évolutions récentes), sur la conception de la prévention, visant à un Mieux Vieillir, qui inspire ses politiques et ses dispositifs concrets (tels les Plans d’actions personnalisés - PAP), pour conclure sur les

la diminution de l’emploi des différents pays du tableau en moyenne par an. 2-Le TAG en France sur la période : T’ = (m-1)*100 => m = T+1(100) n+1 m1= (1,1100+1) 7= 1,0796 1ère PARTIE : LES TRANSFORMATIONS DEMOGRAPHIQUES CHAPITRE I : TRANSFORMATIONS DEMOGRAPHIQUES : EVOLUTION ET MECANISME I-EVOLUTION DE LA POPULATION MONDIALE a-Evolution globale Années | 1700 | 1800 | 1900 | 1950 | 1985 | 2000 | 2010 | 2015 | 2100 | Pop.Mondiale en millions habitants | 680 | 954 |

................................................... 87 Grégoire Chertok .................................................................................. 89 INVESTISSEMENTS ET INVESTISSEURS DE LONG TERME 3 COMPLÉMENTS A. Évolutions démographiques et allocation mondiale de l’épargne .......................................................................................... 93 Michel Aglietta B. Les incertitudes de l’égalité épargne-investissement ........... 103 Dominique Namur C. Profil

INDIVIDUALISÉ DANS LES MAISONS DE RETRAITE AUJOURD ’HUI ? L’EXEMPLE DE L A MAISON DE RETRAITE DE MAULEVRIER Marie-Andrée PITON Marie-Andrée PITON - Mémoire de l’Ecole Nationale de la Santé Publique - 2006 Remerciements Je tiens à remercier l’ensemble des personnes qui ont accepté de répondre à mes sollicitations, et qui, par leur aide, ont contribué à réaliser ce travail, et plus particulièrement Madame Marie-Hélène SOULARD, directrice de la Maison de Retraite de MAULEVRIER, pour sa disponibilité

travaux menés dans le cadre du rapport. Ces travaux ont été menés à un moment où d’importants chantiers de réforme sont lancés. Le pays traverse une étape historique marquée par de multiples processus transitionnels : démocratiques et politiques, démographiques et sociétaux, économiques et culturels. C’est une période de questionnements en profondeur, propice à la formulation de grands desseins, au renouveau du projet national et à l’accélération du rythme de développement du pays. Pour autant, le Rapport

garde d’enfants, au déménagement et au paiement de cautions pour les logements. A partir des dernières années du XIXème siècle, des suppléments familiaux de traitement furent mis en place dans différentes administrations d’Etat. Comme pour les retraites quelques décennies plus tôt, cela se fit d’abord administration par administration. Les débats à la Chambre donnèrent cependant l’occasion à un député, l’abbé Lemire, de faire entendre un point de vue nouveau. Les suppléments familiaux étaient habituellement

L’ASSURANCE SUR LA VIE ET LA MOBILISATION DE L’EPARGNE 3.1.1. La prédominance des assurances obligatoires et non consensuelles : 54 LONGUE 57 3.2.1. L’assurance vie source d’une épargne longue : vie : 59 63 57 3.2.2. La prédominance des contrats de retraite collectifs dans le portefeuille assurance 3.2.3. Le développement de l’assurance vie devient une priorité : 60 CHAPITRE 4 : LES PRODUITS D’ASSURANCE VIE 4.1.1. Exemple d’illustration : 63 4.1. LES PRODUITS D’ASSURANCE EN CAS DE VIE 63 4.1.2. Les

Rennes, Strasbourg et Toulouse En second lieu, et ceci n’est pas indépendant du premier, le thème de la vieillesse, essentiellement à travers la "question" des retraites, occupe depuis plusieurs années, et à nouveau ces temps-ci, le devant de l’actualité traitée par les médias notamment à travers la question du financement des retraites. Enfin, et ceci est susceptible d’influencer mon approche de la question, je me sens personnellement concerné par une réflexion sur les vieux et la vieillesse.