Le Flambeau Vivant

poèmes de Baudelaire comme « le flacon », « le revenant » qui est, dans ce texte, accentué par une comparaison « comme des anges à l’œil fauve » qui exprime que une personne sage regarde les autres avec un air méchant, dans « XXXVII », dans « le Flambeau vivant » et dans « Réversibilité ». Quand le mot « Ange » est écrit avec une majuscule ceci se nomme une personnification qui exprime peut faire référence aux personnes disparues qui sont parties au paradis. Ensuite, ce qui est visible au premier

parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers. Charles Baudelaire Le point commun de ces deux poème est la citation : « Ce qui est crée par l'esprit est lus vivant que la matière ». D’après cette citation, l'idée de communication et de lien avec un autre ainsi que la supériorité du rêve par rapport au réel nous est donné. Nous avons donc choisi les poème La vie antérieure et Parfum exotique car ils entrent

P7 « Liberté ! » de Victor Hugo De quel droit mettez-vous des oiseaux dans des cages ? De quel droit ôtez-vous ces chanteurs aux bocages, Aux sources, à l'aurore, à la nuée, aux vents ? De quel droit volez-vous la vie à ces vivants ? Homme, crois-tu que Dieu, ce père, fasse naître L'aile pour l'accrocher au clou de ta fenêtre ? Ne peux-tu vivre heureux et content sans cela ? Qu'est-ce qu'ils ont donc fait tous ces innocents-là Pour être au bagne avec leur nid et leur femelle

quelques péripéties, donnant du piquant à la tranquillité des Schtroumpfs. b) Ce que voulait exprimer Peyo Comme l'explique un article de « L'express » sur Antoine Bueno : « Peyo, n'était pas un homme engagé, et il tombait des nus lorsque de son vivant, on accusait déjà les Schtroumpfs d'être gays, hippie, francs maçons, d'appartenir au ku klux klan, ou d'être des outils de propagande communiste, la critique la plus récurrente explique l'auteur » Peyo ne s'interessait pas à la politique, il demandait

Un doute qui change le monde : « Se croire le nombril du monde », voilà l’état d’esprit de l’homme vivant en Occident, avant la période de la révolution copernicienne. En effet, aussitôt qu’au début de la philosophie grecque antique, on croyait que la Terre était au centre de l’univers et que l’humain, l’être élu des divinités, était le centre du « cosmos ». Pouvons-nous réellement les blâmer? Considérons pendant un moment que la science moderne, et les découvertes qui en sont découlées, n’existaient

première lettre du futur roi de Prusse, Frédéric II entamant ainsi une correspondance célèbre et publiée qui durera jusqu'à la mort de Voltaire. Le roi veut l’attacher à sa cour et lui écrit en le flattant « Continuez, monsieur, à éclairer le monde. Le flambeau de la vérité ne pouvait être confié à de meilleures mains… ». S’ensuivra une amitié mêlant le respect et l’admiration mutuelle que partagent les deux hommes, l’un monarque absolu d’un grand empire, l’autre écrivain reconnu au niveau européen.

n°2, « bienfait et crime » au vers n°3, « Sors-tu du gouffre noir ou descends-tu des astres » vers n°9, « joie et désastre » au vers n°11, « Que tu viennes du Ciel ou de l’enfer » vers n°21, et enfin « De Satan ou de Dieu » au vers n°25. « Le Flambeau Vivant » : Ce poème résulte de l’ascension après la mort. Il conte le fait que l’âme monte aux cieux. « Ils célèbrent la Mort, […] / Vous marchez en chantant le réveil de mon âme » ou encore « Me sauvant de tout piège et de tout péché grave, » aux vers

que plus rien ne le retient à rester en vie. La comparaison en v1 montre l’analogie du poète, dont le feu arrive à sa fin à cause du temps, qui s’éteint inéluctablement et qu’il n’a aucun contrôle sur sa destinée, v3 et v4. Aussi, nous notons que « flambeau » et « tombeau » sont inter reliés par le fait que par manque d’oxygène le feu s’éteint dans une tombe par étouffement. Ainsi, nous pouvons comprendre que le poète, touché par la vieillesse, sera sujet au même processus. Nous observons des déceptions

en le voyant frémir, m'a dit : - Pourquoi Ne pas me le jeter, puisque c'est une voile ! - C'est à moi qu'appartient cet hymne, a dit l'étoile. - Donne-le-nous, songeur, ont crié les grands vents. Et les oiseaux m'ont dit : - Vas-tu pas aux vivants Offrir ce livre, éclos si loin de leurs querelles ? Laisse-nous l'emporter dans nos nids sur nos ailes ! - Mais le vent n'aura point mon livre, ô cieux profonds ! Ni la sauvage mer, livrée aux noirs typhons, Ouvrant et refermant ses flots

morne et lentement détruit. On voyait sa rondeur sinistre dans la nuit; Et l'on voyait décroître, en ce silence sombre, HORS DE LA TERRE I. ET NOX FACTA EST 5 La fin de Satan Ses ulcères de feu sous une lèpre d'ombre. Charbon d'un monde éteint! flambeau soufflé par Dieu! Ses crevasses montraient encore un peu de feu Comme si par les trous du crâne on voyait l'âme. Au centre palpitait et rampait une flamme Qui par instants léchait les bords extérieurs, Et de chaque cratère, il sortait des lueurs