Le Gendarme en balade

a été obligés de manger froid. — Je n’ai pas un moment à moi… — Arrête… Il n’y a pas d’épidémie au village pour que ta pharmacie s’emballe. Et, s’il te plaît, ne te cache plus derrière la maladie de ton oncle car je l’ai vu plusieurs fois se balader dans les vergers. Il se porte comme un charme. Il toussota dans le micro ; son ton s’apaisa : — Tu me manques, vieux. Tu ne vis qu’à deux pas de chez moi, et j’ai l’impression que tu as disparu de la surface de la terre. — Je suis en train de

a été obligés de manger froid. — Je n'ai pas un moment à moi... — Arrête... Il n'y a pas d'épidémie au village pour que ta pharmacie s'emballe. Et, s'il te plaît, ne te cache plus derrière la maladie de ton oncle car je l'ai vu plusieurs fois se balader dans les vergers. Il se porte comme un charme. Il toussota dans le micro ; son ton s'apaisa : — Tu me manques, vieux. Tu ne vis qu'à deux pas de chez moi, et j'ai l'impression que tu as disparu de la surface de la terre. — Je suis en train de remettre

aux questions d’un reporter): Ça m’aide/ quoi/ d’aider les élèves en difficulté/ quoi// Cette année i[ls] sont plus nombreux/ quoi// (M6, juillet 2001) (7) E (= chef d’une brigade de gendarmes du premier arrondissement de Paris; 40 ans; il répond dans la rue au reporter): [...] I[l y] a ces deux gendarmes qui peuvent donc.../ annoncer donc/...des forces opératives// et [r]...et... [r] et...i[l y] a donc [k] elles interviendront donc/ immédiatement // Et ben...voilà/ donc1// (TV5, Actualités

lu. Des balades au grand air Lire les Confessions est la plus agréable promenade qu’on puisse faire en compagnie de Jean-Jacques Rousseau. Son portrait d’homme peint exactement d’après nature tient ses promesses. Il est sincère et touchant, drôle, plein de tendresse, d’ironie pour lui-même, il ne s’excuse rien, mais s’absout parfois sans grandes façons ; on l’imagine écrivant le sourire aux lèvres ou la larme à l’oeil, jamais insensible. Sa phrase donne à l’esprit le plaisir des balades au grand

lu. Des balades au grand air Lire les Confessions est la plus agréable promenade qu’on puisse faire en compagnie de Jean-Jacques Rousseau. Son portrait d’homme peint exactement d’après nature tient ses promesses. Il est sincère et touchant, drôle, plein de tendresse, d’ironie pour luimême, il ne s’excuse rien, mais s’absout parfois sans grandes façons ; on l’imagine écrivant le sourire aux lèvres ou la larme à l’œil, jamais insensible. Sa phrase donne à l’esprit le plaisir des balades au grand

contre des biens appartenant aux autorités (voitures, bâtiments). Comme elle n’était plus capable de gérer la situation du pays. À partir du 29 janvier, les citoyens se regroupèrent en milices pour protéger leurs quartiers : « ils se sont improvisés gendarmes. À tour de rôle ils mettaient une dizaine de personnes devant un immeuble pour le garder, le lendemain c’était un autre immeuble et ainsi de suite »52. Le mercredi 2 février, la place Tahrir fut la scène de violents affrontements entre les opposants

sans changer un mot, de ce qu’on a vu de plus vicieux chez les hommes et puis poser sa chique et puis descendre. Ça suffit comme boulot pour une vie tout entière. Je l’aurais bien donné aux requins à bouffer moi, le commandant Pinçon, et puis son gendarme avec, pour leur apprendre à vivre ; et puis mon cheval aussi en même temps pour qu’il ne souffre plus, parce qu’il n’en avait plus de dos ce grand malheureux, tellement qu’il avait mal, rien que deux plaques de chair qui lui restaient à la place

terre, jambe en l'air et par terre. Vingt millions de Montag en train de courir, ce serait bientôt, si les caméras l'attrapaient. Vingt millions de Montag en train de courir et de courir comme les personnages sautillants d'un vieux Mack Sennett, gendarmes, voleurs, chasseurs et chassés, poursuivants et poursuivis, le genre de scène qu'il avait vue un millier de fois. Derrière lui, en ce moment même, vingt millions de file:///C|/Documents%20and%20Settings/Administrateur/...livres%20palm/Bradbury/bradbury_fahrenheit_451_fr

mis les pieds au village. Citroën, maintenant, tournait autour du guéridon, mais debout. – Dis donc, observa Jacquemort. Tu apprends vite. Après tout, tu seras peut-être en avance sur mon programme. Enfin, ça va me faire quelqu’un avec qui me balader. Joël et Noël donnaient Jacquemort regarda sa montre. des signes d’agitation et – Eh oui, c’est l’heure. Elle est même passée. Mais que veux-tu, un retard, ça arrive à tout le monde. – 86 – Joël se mit à pleurer. Noël lui fit

d'entre eux gonflaient comme une baudruche lorsqu'ils prenaient leur retraite, parfois même avant ? Dites-vous bien que ces gens ne restent minces que parce que leur désir de minceur est plus fort que leur envie de manger. Mais ils sont obligés de se gendarmer en permanence. Je ne considère pas ça comme une réussite. Il se peut qu'ils arrivent à contrôler leur poids, mais ils arrivent surtout à un sentiment permanent de privation. Enfin, acceptons cette idée : vous ne réussirez pas à contrôler votre poids