Le Grand Méchant Loup

Sganarelle Texte étudié SGANARELLE: Je n'ai pas grande peine à le comprendre, moi; et si tu connaissais le pèlerin, tu trouverais la chose assez facile pour lui. Je ne dis pas qu'il ait changé de sentiments pour Done Elvire, je n'en ai point de certitude encore: tu sais que, par son ordre, je partis avant lui, et depuis son arrivée il ne m'a point entretenu; mais, par précaution, je t'apprends, inter nos, que tu vois en Dom Juan, mon maître, le plus grand scélérat que la terre ait jamais porté, un enragé

bandit qui vole ou qui tue pour de l’argent ou pour la puissance, c’est pour le plaisir de voler qu’il a volé : « Ce n’est pas de la chose convoitée par mon larcin mais du larcin même et du péché que je voulais jouir. » 48 Texte 8, p. 136. Si le méchant agit sous l’influence d’un mobile ou d’un motif concernant la fin ou le but de son acte, et qui relève du besoin ou de la passion, le pervers agit sans raison, c’est-à-dire sans autre raison, sans autre but ou finalité, que le plaisir de mal faire

Livre : IX. Fable : 19, composée de 31 vers. « Quoi ? toujours il me manquera Quelqu’un de ce peuple imbécile (1)! Toujours le loup m’en gobera ! J’aurai beau les compter : ils étaient plus de mille, 5 Et m’ont laissé ravir notre pauvre Robin (2) ; Robin mouton qui

mère-grand, car on m'a dit qu'elle était malade. Porte-lui une galette et ce petit pot de beurre. Le petit Chaperon rouge partit aussitôt pour aller chez sa mère-grand, qui demeurait dans un autre village. En passant dans un bois, elle rencontra compère le Loup, qui eut bien envie de la manger; mais il n'osa, à cause de quelques bûcherons qui étaient dans la forêt. Il lui demanda où elle allait. La pauvre enfant, qui ne savait pas qu'il était dangereux de s'arrêter à écouter un loup, lui

su voir ; sa mère en était folle, et sa mère-grand plus folle encore. Cette bonne femme lui fit faire un petit chaperon rouge, qui lui seyait si bien que partout on l'appelait le petit Chaperon rouge. Un jour sa mère, ayant cuit et fait des galettes, lui dit : « Va voir comme se porte ta mère-grand, car on m'a dit qu'elle était malade, porte-lui une galette et ce petit pot de beurre. » Le petit Chaperon rouge partit aussitôt pour aller chez sa mère-grand, qui demeurait dans un autre village. En passant

su voir ; sa mère en était folle, et sa mère-grand plus folle encore. Cette bonne femme lui fit faire un petit chaperon rouge, qui lui seyait si bien, que partout on l’appelait le Petit Chaperon rouge. Un jour, sa mère, ayant cuit et fait des galettes, lui dit : Va voir comme se porte ta mère-grand, car on m’a dit qu’elle était malade. Porte-lui une galette et ce petit pot de beurre. Le Petit Chaperon rouge partit aussitôt pour aller chez sa mère-grand, qui demeurait dans un autre Village. En passant

II. Les animaux dans les fables Les animaux centrés par ce dossier sont l’aigle et le loup . Ces deux animaux classique étant très présent dans les fables de la fontaine (ex. le loup et l’agneau , l’homme et le loup ou encore l’aigle et le hibou ou l’aigle et la pie) 1) Le loup dans la littérature est souvent un animal solitaire , méchant et fourbe, De part la culture française , il est associé au mal , au « Méphistophélès  » du au mythe de la bête de Gévaudan , on retrouve ce personnage maléfique

dernière porte un chaperon rouge que sa grand-mère lui a confectionné. D’où son surnom de Petit Chaperon rouge. Ensuite, l’Élément déclencheur fait son apparition lorsque la mère dit à sa fille : « Va voir comment ce porte ta grand-mère […] porte lui une galette et ce petit pot de beurre». Pour ce qui est des péripéties, la première est la rencontre du loup avec la petite fille. La deuxième est lorsqu’ils font la course dans les bois jusqu’à la maison de la grand-mère. Et la troisième est lorsque la

- L'homme est-il un loup ou un dieu pour l'homme?    » Et certainement il est également vrai et qu’un homme est un dieu à un autre homme et qu’un homme est aussi un loup à un autre homme. L’un dans la comparaison des citoyens les uns avec les autres ; et l’autre dans la considération des Républiques ; là par le moyen de la justice et de la charité qui sont les vertus de la paix, on s’approche de la ressemblance de Dieu ; et ici, les désordres des méchants contraignent ceux-mêmes qui sont les meilleurs

voir ; sa mère en était folle, et sa mère-grand plus folle encore. Cette bonne femme lui fit faire un petit chaperon rouge, qui lui seyait si bien, que partout on l'appelait le Petit Chaperon rouge. Un jour sa mère ayant cuit et fait des galettes, lui dit : Va voir comme se porte ta mère-grand, car on m'a dit qu'elle était malade, porte-lui une galette et ce petit pot de beurre. Le Petit Chaperon rouge partit aussitôt pour aller chez sa mère-grand, qui demeurait dans un autre Village. En