Le Heros Tragique Face Au Destin

I) Dom Juan, une comédie ? 1) Les similitudes de la pièce avec la comédie2) Les éléments tragiques dans Dom Juan II) Dom Juan, une œuvre classique ? 1) Caractéristiques d'une œuvre classique2) Dom Juan possède des caractéristiques classiques3) caractéristiques d’une pièce baroque 4) Dom Juan et le baroque Question 1 : Dom Juan, une pièce comique ou tragique ?Les éléments comiques : - des personnages de comédie : Sganarelle ; Don Juan, la caricature du libertin ; les villageois parlant une sorte

TRAG ÉDIE DU D ÉSIR ET ÉCHEC DU DIVIN. Analyse dramaturgique et proposition de mise en scène sur la scène six de « L’Amour de Phèdre », Sarah Kane, 1996. 2 TABLES DES MATIÈRES Introduction ......................................................................................................................................... 3 1. De Racine à Kane ou l’apparition d’une tragédie déstructurée ...................................................... 5 A) L’évolution du mythe, d’Euripide à Sarah

technique qui ne touche pas la nature. Cf textes d'Héraclite et Antigone : « à mon foyer ni dans mon cœur le révolté n'aura jamais sa place. » Deux visions complètement différentes : → Vision grecque : soumission, le destin est plus fort, il faut connaître lucidement et accepter le destin qui nous dépasse. Le révolté n'a pas sa place : il faut se soumettre à une loi supérieure, Antigone = pièce complexe. → Vision monothéique : valorise la révolte (Adam, Lucifer : ange révolté) et en fait même un exemple

tion Caligula, drame en quatre actes d'Albert Camus publié en 1944, s'inspire assez fidèlement du destin dément du jeune empereur romain assassiné en 41 après Jésus-Christ et d'anecdotes authentiques évoquées par l'historien latin Suétone. Mais l'auteur en fait un héros de l'absurde, aux côtés de Sisyphe, de Meursault, de l'Étranger et de Jan, victime du Malentendu, pour constituer ce qu'il a appelé « le cycle de l'absurde ». À la mort de sa sœur et maîtresse Drusilla, Caligula a pris conscience

|4.1 Le registre dramatique | |4.2 Le registre pathétique | |4.3 Le registre tragique | |5 Problématique | |6 Notes et références

------------- AUTRE ETUDE DE LA SECENE 7 DE L'ACTE IV - L'Illusion Comique - Corneille Situation de la scène dans l’action : Adraste est mort, Clindor est en prison. Il se rend compte qu’il s’est servi de son amour pour se hisser à un destin qui n’était pas le sien. Clindor se parle à lui même en trois parties : -il parle d’Isabelle ou s’y adresse -il voit sa propre mort -il parle d’Isabelle ou s’y adresse Première partie : Il pense à son amour et y trouve

: en assistant à un spectacle théâtral, l'être humain se libère de ses pulsions, angoisses ou fantasmes en les vivant à travers le héros ou les situations représentées sous ses yeux. Pour Aristote, le terme est surtout médical, mais il sera interprété ensuite comme une purification morale. En s'identifiant à des personnages dont les passions sont punies par le destin, le spectateur de la tragédie se voit délivré, purgé des sentiments inavouables dont il peut éprouver secrètement au fin fond de lui

Pour les tragiques du XVIIe siècle comme pour Euripide, la crise politique était aussi une crise passionnelle. Pourtant, les modernes ajoutaient une intrigue amoureuse à leurs Iphigénie. On n’a rien expliqué en disant que cette innovation procède de l’esprit du temps ; le fait qu’en ce siècle on ne conçoive plus une mythologie qui ne soit galante et que le succès de la pièce de Racine ait coïncidé avec une âpre polémique sur l’introduction de l’amour dans les sujets tragiques ne dénote pas simplement

des dieux comme tous citoyens. Recherche du meurtrier de Laïos, ancien tyran de Thèbe Mise en place d’un jugement démocratique > le choeur joue le rôle du moralisateur et du juge Mise en scène * ironie tragique * impuissance de l’Homme face à son destin Oedipe et Jocaste ont voulu défier ce destin . le spectateur connait l’histoire mais pas le personnage Succession de découvertes autour de la péripétie (renversement de la situation du personnage) Prologue et 1er épisode : Oedipe se place au-dessus

Jann Kott le rejoint d’un certain point de vue, en affirmant que « dans le drame moderne, le destin, les dieux et la nature ont été remplacés par l’Histoire ». Jann Kott paraît supposer ici que dans les tragédies de Shakespeare le protagoniste n’est pas l’histoire mais que ce sont le destin, les dieux et la nature. L’histoire ne serait donc présente que dans les drames modernes où aucune trace du destin, de dieu ou de nature ne serait présent. Là serait la différence notable entre les réécritures