Le Horla Double

roman réaliste de BALZAC. Ensuite BALZAC publie « Le Père Goriot » (1834 à1835), « Le Lys dans la Vallée » (1835 à 1836). À cette époque leur auteur songe à grouper ses scènes et études en un ensemble organisé qui serait une réplique (ctd. copie, double) de la société toute entière ; en 1837 il envisage le titre général d’ « Études sociales ». Cependant, en 1842, il choisit pour le titre d’ensemble « La Comédie humaine ». BALZAC expose les principes directeurs de son œuvre dans un important « Avant-Propos

constant, traduction à la fois de l’unité d’inspiration de l’écrivain et de sa volonté de parvenir à une parfaite adéquation de la forme et du fond. Un tel « chantier » n’est d’ailleurs pas le seul chez Maupassant : on en retrouve un dans le cas du ‘’Horla’’. D’autre part, il supprima des épisodes dont certains trahissaient la présence trop marquée de Flaubert, le maître, qui lui avait prodigué ses conseils, avait encouragé son projet d’un «livre sur rien», d’« une tranche de vie », d’une œuvre en

BERGSON, L’évolution créatrice. Sujet 2 Dégagez l'intérêt philosophique de ce texte à partir de son étude ordonnée « Les choses de la nature n'existent qu'immédiatement et d'une seule façon, tandis que l'homme, parce qu'il est esprit, a une double existence ; il existe d'une part au même titre que les choses de la nature, mais d'autre part, il existe aussi pour soi, il se contemple, se représente à lui-même, se pense et n'est esprit que par cette activité qui constitue un être pour soi. Cette

que si un jour vous changiez d’avis, vous seriez ici la bienvenue. Je ne suis certainement pas le seul à qui vous manquerez. Préparé par Sylvie Brûlé : http://unebellefacon.wordpress.com/ Semaine 17 Étude du texte : Un personnage et son double p.122-123 + questions p.123 no.1-8 Un dénouement tragique p.124-125 no.1-9 Écriture : Écrire une lettre p.125 no.10 Raconter l’emprise d’un autre sur vous-même p.129 no.2 Oralement : Lecture de l’image p.123 no.9-10 Lecture à haute voix p.123 no.11

constant, traduction à la fois de l’unité d’inspiration de l’écrivain et de sa volonté de parvenir à une parfaite adéquation de la forme et du fond. Un tel « chantier » n’est d’ailleurs pas le seul chez Maupassant : on en retrouve un dans le cas du ‘’Horla’’. D’autre part, il supprima des épisodes dont certains trahissaient la présence trop marquée de Flaubert, le maître, qui lui avait prodigué ses conseils, avait encouragé son projet d’un «livre sur rien», d’« une tranche de vie », d’une œuvre en grisaille

.......................................17 1. Exemple .................................................................................17 2. Interprétation théorique....................................................... 21 B. Narcisse et les doubles .......................................................... 23 1. Exemple ................................................................................ 23 2. Interprétation théorique....................................................... 23

du récit fantastique est souvent inquiétant – le château isolé, un soir d'orage, du conte de Nodier Inès de las Sierras – , parfois exotique comme la Lituanie dans Lokis de Mérimée, mais il peut aussi être un lieu très ordinaire comme le jardin du Horla de Maupassant. Les personnages peuvent se trouver affaiblis : ainsi, une longue marche a épuisé le héros de La Cafetière de Théophile Gautier. Les événements relèvent de l'ordre magique et appartiennent à un monde inversé : les morts et les objets

manifeste non seulement en philosophie mais aussi en littérature. Un symptôme de cette préoccupation est le thème du double, qui connaît à cette époque un grand succès à travers de multiples œuvres : le Faust de Goethe (1808 et 1832), le Double de Dostoïevski (1846), le « Je est un autre » de Rimbaud (1871), l’Etrange cas du Dr Jekyll et de Mr Hyde de Robert Louis Stevenson (1886), le Horla de Maupassant (1887), etc. - Filmographie : les films de Woody Allen mettent souvent en scène le psychanalyste

pratique de formes breves (contes et chroniques) par ` Maupassant sur le rythme du roman. 3. Cette scene en rappelle d’autres dans l’œuvre de Maupassant, notam` ment celle de la mort de Schopenhauer qui perd son dentier, dans « Aupres d’un mort », in Le Horla et autres contes d’angoisse, GF` Flammarion, 1984, rééd. 2006, p. 187. 4. La lecture analytique du passage semble fructueuse. On pourra faire commencer l’explication a « Ils le regardaient moins souvent [...] » ` (p. 207, l. 730) et la terminer a «

fascination mêlé de malaise. → Le meilleur exemple de cette inquiétante étrangeté est le sentiment qui naît en l’homme confronté à l’automate. -Les mannequins, automates, androïdes suscitent un trouble dans l’identité de l’homme, réveillent l’angoisse du double (trouble dans la certitude du sujet) → l’inquiétante étrangeté naît d’une étrangeté mêlée à la familiarité (// syndrome de Capgras) -Pour Freud, l’angoisse dépasse le malaise. L’inquiétante étrangeté correspond au retour du même, du semblable. Une