Le Héros Imparfait

ça » 2 ) le détournement de l’incipit traditionnel Arthur Ganate : « C’est » présentatif mettant en avant ce personnage apparaissant comme un héros patriotique, respectueux de ses pères => L’auteur brouille les pistes car on ne le retrouvera plus dans la suite du roman Bardamu est un héros passif « Moi, j’avais jamais rien dit », impossible pour un héros. Importance des paroles directes Insertion du discours rapporté « voila » l,4 –» Vitesse, rythme l’action Pas de phrases descriptives Vision

aussi absante c´est l´opinion de l ´émmeteur. Les indicateurs de lieu et temps se refèrent aux événements racontés, Il faut parfois connaître toute l´histoire. Les temps verbales les plus utilisés sont le passe simple, le présent de narration, l´imparfait (pour marquer la durée et la répétition), le plus-que-parfait d´indicatif. 2.4 LE DISCOURS RAPPORTÉ On appelle discours rapporté l´ensemble des techniques d´écriture, qui permettent de rapporter ou de dire dans un énoncé la parole de quelq´un

narratif raconte une histoire réelle ou imaginaire. Forme : - présence d’un narrateur, soit interne (« je »), soit externe (« il/elle »). - présence d’un système de temps au présent (présent, passé composé, futur) ou passé (passé simple, imparfait, plusque-parfait, conditionnel) -présence d’un cadre spatiotemporel - présence de personnages. Le texte théâtral représente l’action au lieu de la raconter. Ce sont les paroles échangées sur scène par les personnages qui construisent l’action

narratif raconte une histoire réelle ou imaginaire. Forme : - présence d’un narrateur, soit interne (« je »), soit externe (« il/elle »). - présence d’un système de temps au présent (présent, passé composé, futur) ou passé (passé simple, imparfait, plusque-parfait, conditionnel) -présence d’un cadre spatiotemporel - présence de personnages. Le texte théâtral représente l’action au lieu de la raconter. Ce sont les paroles échangées sur scène par les personnages qui construisent l’action

Problématique - Plan I- L’aveu : Un trouble psychologique - Raskolnikov dilemme : Doit-il avouer, ou non, son assassinat ? « Mais pourquoi est- ce que je suis venu te torturer ? »  - Raskolnikov prépare cet aveu depuis la veille : imparfait lors du dialogue : « Je venais », « je te dirais » ; fait appel aux souvenirs : « Tu te souviens de ce que je voulais te dire hier ? » ; préparation psychologique de Raskolnikov : « Ce n’était pas du tout, mais pas du tout ainsi qu’il avait prévu

à l’imagination du personnage. 3. Cet état d’esprit s’inscrit dans la durée, il s’agit de sentiments habituels du narrateur. Le récit d’une expérience répétée : « le jour » signifie une habitude, « tous les jours » ; imparfait qui traduit une habitude dans le passé ; « souvent » répété deux fois insiste sur l’aspect répétitif (et même générateur d’ennui ?) de cette répétition. BPT : Ce texte est centré sur le personnage-narrateur qui exprime des sentiments qui

massacre de Troyes. Ce récit est inspiré par l’Odyssée, mais comporte quand même de nombreuses différences. Il a aussi des retours en arrière, comme par exemple quand Enée raconte son passé à Didon. Il a un enjeu triple :il informe sur les péripéties des héros mais a un effet psychologique sur Didon, il y a aussi un effet de suspension du récit, et enfin en effet sur le cinéma car il va reprendre le procédé du flash-back. -Effet psychologique sur Didon : Didon se sent abandonnée par l’homme qu’elle aime

faux, bavards, hypocrites, orgueilleux et lâches; méprisables et sensuels; toutes les femmes sont perfides, artificieuses, vaniteuses, curieuses et dépravées;(...) il y a au monde une chose sainte et sublime, c'est l'union de deux de ces êtres si imparfaits et si affreux.» L'auteur cherche a montrer que malgré les défauts de l'homme et de la femme, deux êtres différents peuvent s'unir. Nous sommes donc «au temps de la vendange» (périphrase) probablement au début de la journée («bonjour»). La scène

descriptif et réaliste CCT (l1), CCL (l3) L’année situe historiquement l’action L’adjectif « dernier » (l1) = lien implicite avec le lecteur ; paradoxe du dernier bal/début du livre Présence de la 3p.s, nombreux adj. l9 et 7 =, énumération l13, 14 Imparfait descriptif l3, 10 = verbe d’état. 2. Un incipit énigmatique Univers inconnu qui a une dimension symbolique, représentative du jeu social Comme dans le Peau de Chagrin, absence de nom propre, tournure générique l2 ou tournure au plurielle l7

la jeunesse, L’apprenti loup, écrit par Claude Boujon et édité par L’Ecole des loisirs en 1984, relate la quête identitaire réussie d’un loup quelque peu atypique. Son étude permet de dégager les caractéristiques de ce récit, les particularités du héros et de son parcours, ainsi que la portée de cette histoire. Au premier abord, L’apprenti loup présente les caractéristiques principales du conte, en particulier du conte merveilleux, mises en lumière notamment par V. Propp et P. Larivaille. En effet