Le Jour de la bête

Poétique Réalisée par : Lupon Didier 1èreES2 Liste des poèmes : * « À Aurore » de G.SAND. * « Le lac » d’A.LAMARTINE, Méditations poétiques. * « L’Homme et la Bête » de L.Senghor, Ethiopiques ,1956. * « Ô nature ! Bientôt… » de L.ACKERMANN, Poésies philosophiques ,1871. * « Paysage » de B.CENDRARS, Feuilles de routes ,1924.

maintenant.. Mes enfants sont surement morts , ma famille est morte , Et avec le temps passé ici je me suis remis en cause , et me suis rendu compte que Max n'avais pas tord. C'était mon Ami, et je l'ai trahi. Je me demande comment ai-je pu etre aussi bête ?! Nous sommes le 8mars et je meurs le 10... Je le sais , si j'ai de la chance ils avanceront les éxecutions à demain ou tout à l'heure . Je n'en peux plus de souffrir, j'ai trouver tout à l'heure ce carnet, ce carnet qui m'a donné cette envie d'écrire

L'origine des vampires et la nature de la Bête Les vampires sont les héritiers de la malédiction de Caïn, qui fut condamné à errer éternellement pour avoir tué son frère Abel. Ils peuvent la transmettre à leur tour à un mortel par un acte qu'ils nomment l'Etreinte, et qui consiste à vider la personne de son fluide vital avant de lui faire avaler un peu de sang de vampire. Le mort se ranime alors, et sera à son tour immortel, mais obligé de se nourrir de sang frais. Tous les pouvoirs d'un vampire

enseigner La Bête humaine" Synergies Canada, No 1 (2009) Comment enseigner La Bête humaine d’Emile Zola dans le contexte d’un cours sur le roman français du XIXe siècle Thea van Til Rusthoven Redeemer University College L'enseignement de La Bête humaine s'inscrit dans le cadre de notre cours Français 341 qui ne traite que quatre romans: René de Chateaubriand – deux classes de 75 minutes, La Petite Fadette de Sand – trois classes, Madame Bovary de Flaubert – dix classes, et La Bête humaine – sept

achevaient leur dîner, encore bottés, rouges, animés, allumés. C'étaient de demi-seigneurs normands, mi-hobereaux, mi-paysans, riches et vigoureux, taillés pour casser les cornes des bœufs lorsqu'ils les arrêtent dans les foires. Ils avaient chassé tout le jour sur les terres de maître Blondel, le maire d'Éparville, et ils mangeaient maintenant autour de la grande table, dans l'espèce de ferme-château dont était propriétaire leur hôte. Ils parlaient comme on hurle, riaient comme rugissent les fauves, et buvaient

Métaphore de la bête : description péjorative « audace et fureur » vers 147, « cruauté » vers 149, « monstre » vers 153, la bête est donc présentée comme un être mauvais et violent. Personnification du « docte pinceau » on lui attribut donc le terme savant. Le monstre est donc, à sa création beau, mais cela est minimisé par son côté sombre. Le terme « humaine nécessité » ici encore personnifié, peut signifier que son inscrit, ses besoins naturels, font de lui un monstre. La cruauté de la bête est donc innée

décocha alors ses flèches mortelles…toutes atteignaient la cible, mais ce lion était invulnérable. Il se précipita alors sur la bête en brandissant sa massue, le coup était si puissant que la massue se brisa ! Le lion, chancelant, Hercule en profita pour l’attraper et le tuer en l’étranglant. 2.l’hydre de Lerne. Le second travail d’Hercule fut de tuer l’hydre de Lerne. Cette bête était un énorme dragon au corps de reptile surmonté de 9 têtes. A chaque fois que notre héro en vainquait une, 2 en repoussaient

pique en avant. Mais au moment d’abattre sa pique, son regard croisa celui du renard. Frappé par l’expression de ses yeux, l’homme retint son geste, tira sur le mors de son cheval. Le renard aussi s’arrêta à un mètre des étriers. C’était une bête énorme, toute noire, aux yeux dorés. Elle était juchée sur un promontoire, pareille à une figure de pierre, et observait les murailles de Metz. Robert de Florange Renaud- Renard Le comte Renaud L’ermite La contesse Mathilde La renarde Le loup

LA MÈRE AUX MONSTRES Guy de MAUPASSANT Je me suis rappelé cette horrible histoire et cette horrible femme en voyant passer l'autre jour, sur une plage aimée des riches, une Parisienne connue, jeune, élégante, charmante, adorée et respectée de tous. Mon histoire date de loin déjà, mais on n'oublie point ces choses. J'avais été invité par un ami à demeurer quelque temps chez lui dans une petite ville de province. Pour me faire les honneurs du pays, il me promena de tous les côtés, me fit voir

et ne pense à rien, c’est celle-là qui me fait mal. IV- Le cachot La de--SS--ion du cachot (chapitre X) insiste sur les dimensions réduites du lieu, sur l’obscurité qui y règne jour et nuit, et sur le bruit infernal du fer qui sonne de temps à autre dans ce monde souterrain où le condamné est considéré comme une bête malfaisante : IV-1- Des dimensions réduites L’adjectif « carré » qui revient très souvent dans les de--SS--ions rend bien compte de l’étroitesse de l’espace où se trouve le narrateur