Le Jour des fourmis

déplacement en groupes (ex : Les criquets) - Les sociétés inférieures où existe une tâche commune (ex : les chenilles processionnaires qui édifient un nid) - Les sociétés supérieures : - insectes (ex : termites, abeilles, guêpes, fourmis – on a pu en dénombrer 22 millions dans une seule fourmilière !) : apparition d’un polymorphisme (certaines termites soldats ont le corps presque entièrement occupé par une glande contenant un liquide toxique) dû aux tâches sociales (comme la ventilation

« difformes »(l.13) montrent une forêt malade, pas accueillante ni sociable. Celle-ci est personnifié, elle est rattaché à des animaux, en effet les buissons « sifflaient » (l.1), tel des oiseaux et les hautes herbes « fourmillaient » (l.14), tel des fourmis. Des comparaisons accentue la personnification, dans la mesure où « les ronces se tordaient comme de longs bras armés de griffes cherchant a prendre des proies » (l.15) , « les hautes herbes fourmillaient sous la bise comme des anguilles » (l.14)

l’adrénaline présente au quotidien; les pouvoirs magiques de ses personnages ainsi que leurs aventures sans fin et toutes plus dangereuses et fascinantes les unes que les autres font s’évader les lecteurs dans un monde où tout est possible, où chaque jour offre son lot d’émotions et de sensations, où la routine quotidienne est absente et où l’ennui n’existe pas. Dans ce cadre là nous pouvons aussi prendre pour exemple la célèbre saga Harry Potter de J.K Rowling ou encore Alice Aux Pays Des Merveilles

 réussite   , de l'italien,    uscita   , sortie, issue) dans la journée, n'est­ce pas s'immerger à tort    dans le présent, et en oublier l'avenir?  On serait tenté de suivre la joyeuse sentence d'Horace,  carpe diem, qui nous somme de  cueillir   le   jour,   autrement   dit   de  profiter   du   moment   présent.   En   effet,   n'avons   nous   pas   pour  coutume de ne jamais assez considérer cette simple journée, parce que trop souvent nous espérons,  ou nous regrettons? C'est ce que nous rappel

Il renonce et sombre peu à peu dans une vie de souillure végétative, voire animale, que symbolise le marécage dans lequel, tel un pécari de l’île, il passe des heures à ressasser le passé de son enfance avec ses parents. (p.39) Jusqu’à ce que, un jour, il entende une musique : c’est un navire ! Il embrase l’eucalyptus prévu à cet effet pour attirer l’attention. En vain. Parmi les passagers, Robinson croit voir une jeune fille au visage familier. Il se jette à l’eau et nage vers le galion. Mais il

17ème siecle Jean de la fontaine Le Héron Un jour, sur ses longs pieds, allait je ne sais où,Le Héron au long bec emmanché d'un long cou.Il côtoyait une rivière.L'onde était transparente ainsi qu'aux plus beaux jours ;Ma commère la carpe y faisait mille toursAvec le brochet son compère.Le Héron en eût fait aisément son profit :Tous approchaient du bord, l'oiseau n'avait qu'à prendre ;Mais il crut mieux faire d'attendreQu'il eût un peu plus d'appétit.Il vivait de régime, et mangeait à ses heures

grosse que le bœuf (exprimant la volonté d’un paysan voulant vivre comme un bourgeois par exemple). • Structure : Le premier livre des fables est un recueil composé de 22 fables en vers rimés de manières variées (par exemple dans La Cigale et La Fourmi, on passe des rimes plates jusqu'au vers 14 puis embrassées jusqu’à la fin, les vers sont organisés en heptasyllabes sauf le vers 2 avec seulement deux syllabes ; Dans Le Renard et La Cigogne, il y a une alternance dans les vers en alexandrins, octosyllabes

La cigale et la fourmi dflgkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkktmnvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvv- vvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvv- vvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvv- vvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvv- vvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvv- vvvvvvvvvvvvvvvvhllkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkmmmmc- jhgnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn- nnndshyygkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkk-

L'univers est expérience. Tout part de 1, mais tout se répand dans tous les sens et dans toutes les formes. Dans la fournaise initiale, H, l'origine de tout, se met à accoucher d'atomes nouveaux. Comme He: l'hélium. Et puis tous se mélangent pour donner le jour à des atomes de plus en plus complexes. On peut actuellement constater les effets de l'explosion initiale. L'ensemble de notre univers-espace-temps local, qui était composé à 100% d'hydrogène, est maintenant une soupe remplie de tas d'atomes bizarres

protégés des vents de sable. Leur épaisse toison et leurs réserves dorsales de graisse font écran aux radiations solaires. Leur température corporelle varie, augmentant le jour et diminuant la nuit. Ils évitent ainsi les pertes d'eau par évaporation, d'autant qu'ils ne transpirent qu'au-delà de 41°. Ils perdent moins d'un litre d'eau par jour par l'urine et réduisent encore ce volume lorsqu'ils sont déshydratés. Ils ne font pas de réserve d'eau, mais sont capables de supporter des déshydratations sévères