Le Jour où la Terre s'arrêta

enclos lui même d'une forte haie d'épines.On vivait en paix depuis si longtemps que la herse ne s'abaissait plus ; les fossés étaient pleins d'herbes ; des hirondelles faisaient leur nid dans la fente des créneaux ; et l'archer, qui tout le long du jour se promenait sur la courtine, dès que le soleil brillait trop fort rentrait dans l'échauguette, et s'endormait comme un moine.À l'intérieur, les ferrures partout reluisaient ; des tapisseries dans les chambres protégeaient du froid; et les armoires

ami et son pair : « Sire compagnon, venez donc près de moi : à grande douleur nous serons aujourd’hui séparés. » | | Roland regarde Olivier : il est blême et livide, décoloré et pâle. Le sang tout clair lui coule par le milieu du corps : sur la terre tombent les caillots. « Dieu ! dit le comte, je ne sais plus que faire. Sire compagnon, votre vaillance fut votre malheur ! Jamais il n’y aura homme d’aussi grande valeur. Ah ! France douce, comme aujourd’hui tu resteras dépouillée de bons vassaux

Pieds gelés et grande tristesse Le jour de ma plus grande peur commence le Vendredi quinze Janvier deux mille dix. A dix sept heures trente, ma chienne, Anouk s’est enfuie de la maison et je pars précipitamment à sa recherche. En rentrant de l’école vers dix sept heures trente. Nous avions coutumes, ma sœur et moi d’aller embrasser nos grands parents. Ce jour là, j’y étais allée avant elle. Ma cadette en y allant, avait malencontreusement laissé la porte entrebâillée. Mon chien en avait

« perse » pour qualifier le village). Ce prince était très beau mais il ne parlait guère et il était toujours très pâle. C'est à cause de cela qu'on l'avait surnommé le Simplet. Un jour que son père était très inquiet à son sujet, il lui demanda la raison pour laquelle il était si triste (bien ! te propose aussi : Un jour, son père très inquiet à son sujet lui demanda la raison de sa tristesse). Le prince lui répondit : « Il y a de cela une année, sept mois et trois lunes, j’ai fait un songe. Dans

Reculant, contre le mur, Cugel s'y plaqua à s'en faire craquer les os : il ne pouvait plus bouger. Le fantôme prononça ces mots : - Détruit ce fort. Aussi longtemps que la pierre reste accolée à la pierre, jc dois demeurer en ces lieux, même si la terre se refroidit et s'enfonce dans les ténèbres. - Ce serait de bon coeur, prononça Cugel d'une voix rauque, s'il n'y avait dehors des créatures qui en veulent à ma vie. - Il existe un passage au fond de la grande salle. Montre-toi rusé et fort, puis

Adrénaline Un homme possède une force cachée, une force qu'il ne connait que sous le nom d'adrénaline il en fera plus ample connaissance le jour où il se fit volé sa voiture. Cet un début de journée comme les autres pour Marc Baldwin, un jour qui ne se finira pas comme les autres. Mais en voici le début; après s'être levé de bonne heure, Marc allait prendre son petit déjeuner et partir au travail quand soudain en sortant de chez lui il vit une bande de jeunes en train d'essayer

près de deux ans, ils attendaient ce moment et les voilà coincé dans une cellule par des hommes dont ils ne connaissaient pas le visage. Ces quatre adolescents avaient un point comun. Il était ceux qui avait été assigné par notre mère et planète : la Terre. Incapable dde tuer ces propres enfants, elle avait demandé à ses deux fils et ses deux filles les plus anciens de faire ce travail à sa place. Elle leur avait permis de recouvrer leurs pouvoirs ainsi que de réentendre les voix de leurs enfants, tous

séparation entre l’Etat et l’Eglise en France ne fut adoptée que près de vingt ans après sa mort. Ils espéraient, par leur stratagème, recouvrir définitivement de leur voile pudique, l’œuvre islamique de HUGO.La vérité éclatera inéluctablement au grand jour, sur l’islamité du poète qu’ils ont cachée au monde. Bien avant GUILLEMIN,.le journal La Croix, organe quasi-officiel du parti catholique français déclarait le 23 mai 1885, lendemain du décès de HUGO en guise d’oraison funèbre :« il était fou depuis

par Gérard de Nerval dans son ouvrage “ Voyage en Orient ” ----------- Histoire de la Reine du matin et de Soliman, Prince des Génies. Chapitre XII. Macbénach (...) Le temps était bas, et le soleil, en pâlissant, avait vu la nuit sur la terre. Au bruit des manteaux sonnant l'appel sur les timbres d'airain, Adoniram, s'arrachant à ses pensées, traversa la foule des ouvriers rassemblés ; et pour présider à la paye il pénétra dans le temple, dont il entrouvrit la porte orientale, se plaçant

demeurer jusqu’à la fin.» (p.51 de l’anthologie) 2- La vague réaliste du roman du terroir Extrait no.2 : Félix-Antoine Savard «Posséder! S’agrandir! Tel était le mot d’ordre venu du sang, tel était l’appel monté de la terre, la terre qui, toute, dans la grande nuit de printemps, clamait : «Je t’appartiens! Je t’appartiens! Par le droit des morts dont je suis le reliquaire sacré, par tous les signes de possession que, depuis trois cent ans, les tiens ont gravés dans ma chair