Le Jour où la Terre s'arrêta

de premier plan, renouvelé encore par les nombreuses adaptations filmées de ses œuvres Sur l'eau titre d'origine Le Canot : C'est le récit d'une aventure arrivée à un canotier de la Seine en rentrant chez lui, après avoir diné chez un ami.Il s’arrêta pour fumer une pipe lorsqu'il tressaille à cause d'un étrange mouvement sous son voilier qui le fait ballotter comme au milieu d'une tempête.Il décide de tirer son ancre et de s'en aller, mais quelque chose au fond de la rivière l'en empêche.Caché

frappant à la porte de ma chambre, cela seul et rien de plus Ah! distinctement je me souviens que c'était en le glacial décembre : et chaque tison, mourant isolé, ouvrageait son spectre sur le sol. Ardemment je souhaitais le jour; vainement j'avais cherché d'emprunter à mes livres un sursis au chagrin - au chagrin de la Lénore perdue - de la rare et rayonnante jeune fille que les anges nomment Lénore - de nom! pour elle ici, non, jamais plus! Et de la

comme si elle existait auprès de lui avec certitude au point de narguer la Mort en déposant une immortelle sur l’oreiller de Véra le jour de sa fête. Il s’imaginait des accords au piano, des réponses à ses réflexions, des odeurs et même son corps près du sien. Un an plus tard, la présence de Véra s’intensifiait jusqu’à ce que D’Athol remarque que tous les objets qui, le jour de sa mort, l’avaient tant bouleversé, exprimait plus que jamais la vie de Véra. Son collier avait encore la chaleur de son corps

Sheraton de Moorea, le ciel était d’un bleu immaculé, les oiseaux des tropiques gazouillaient gaiement, les poissons de toutes les couleurs émerveillaient les touristes venus du monde entier. Bref, un jour magnifique que rien ne semblait pouvoir troubler. Mais une personne aurait préféré ne pas travailler ce jour -là, et cette personne était une jeune fille nommée Marie, la vingtaine, plutôt jolie qui devait s’occuper du bungalow 72 ce matin-là. Elle entama son « petit voyage » sur le ponton de bois

se cabra, l’éjectant, avant peut-être au moment où il se rendit compte de l’ampleur des choses, mais de toute manière c’était trop tard. Il vu une très vieille et très grosse voiture percuter de plein fouet son cheval, le faisant tombé à terre. La voiture s’arrêta, quelqu’un descendre et inspecter les lieux. Philipe étouffa un sanglot, la personne se retourna et la vit partit en courant sans même prendre le temps de remonter dans sa voiture. Il s’endormi, enfin tomba dans les pommes, il ne sait plus

mâche on ne sait quoi dans l'ombre, Innocents dans un bagne, anges dans un enfer, Ils travaillent. Tout est d'airain, tout est de fer. Jamais on ne s'arrête et jamais on ne joue. Aussi quelle pâleur ! la cendre est sur leur joue. Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las. Ils ne comprennent rien à leur destin, hélas ! Ils semblent dire à Dieu: - Petits comme nous sommes, Notre père, voyez ce que nous font les hommes ! Ô servitude infâme imposée à l'enfant ! Rachitisme ! travail dont le

exemple , vous croyez que c'était juste un cri animal mais c'était tout simplement le même principe que le sifflement des dauphins. Une langue que vous ne comprenez pas, révéla le gardien. - Je n'arrive pas à imaginer ça, mais tu ne penses pas qu'un jour on reprendra le dessus ? prononça perdu le prisonnier. - Haha, vous pourrez toujours essayer mais nous ne somme pas assez idiots pour vous prendre avec nous tout le temps comme un animal de compagnie. Et puis vous avez une langue que nous ne comprenons

d'aboyer... » Alors Paul aboyait admirablement, après avoir craché sa viande dans son assiette. Pendant que tante Rose le grondait, ma mère me regardait, rêveuse. Elle se demandait s'il était raisonnable, avec de si petits mollets, de faire, chaque jour, tant de pas. Un matin, vers neuf heures, je trottais légèrement sur le plateau qui domine le Puits du Mûrier. Au fond du vallon, l'oncle était à l'affût dans un grand lierre, et mon père se cachait derrière un rideau de clématites, sous une yeuse

PRIMO LEVI, Si c'est un homme. 1947 Nuit et brouillard De la lucarne, on voyait défiler des noms connus et inconnus de villes autrichiennes -Salzbourg, Vienne - puis tchèques, et enfin polonaises. Au soir du quatrième jour, le froid se fit intense: le train, qui traversait d'interminables sapinières noires, prenait visiblement de l'altitude. Partout, une épaisse couche de neige. Nous devions être sur une ligne secondaire, car /es gares étaient petites et quasiment désertes. Durant les arrêts

noms de berger et d'amant sont toujours employés l'un pour l'autre. » (chap.IV) Elle s'arrêta dans une première ville, Bassora ou le pharaon d'Égypte lui tendit un piège, elle fut contraint de l'embrasser, et de le faire boire pour prendre la fuite avec sa femme de chambre. En arrivant chez les Gangarides, la mère d'Amazan lui apprit qu'il avait eu vent de cette affaire et qu'il s'était juré « de parcourir la terre et d'être fidèle. » (chap.V) A chaque nouveau pays ou nouvelle ville ou elles s'arrêtèrent