Le Journal D Adéle

résistance non-violente à l'oppression raciale. TEXTES CHOISIS DU MANUEL DE LA 4ème ANNEE : Support 1: « Amour et Intolérance » ; Le Nouvel Observateur, février 2000. Loin de revêtir l’aspect d’une fiction, cet extrait est un article de journal qui rapporte les traces d’une famille représentative des difficultés auxquelles les couples mixtes font face aux États-Unis. Il s’agit d’un vif témoignage du drame du racisme vécu dans un parmi les pays les plus développés au monde. C’est un réquisitoire*

encore mal identifiée puisque, dans les études longitudinales, la proportion d'enfants hyperactifs qui deviennent des adultes hyperactifs varie de 4 % (Salvatore Mannuzza et al., « Adult psychiatric status of hyperactive boys grown up », The American Journal of Psychiatry, vol. CLV, n° 4, avril 1998) à 66 % (Russel Barkley, 2002) (2) ! Deux explications à cela : - D'abord, les symptômes ne sont plus tout à fait les mêmes. L'hyperactivité motrice diminue et se trouve mieux contrôlée ; en revanche

Gervaise Macquart, blanchisseuse dans le quartier de la Goutte-d'Or à Paris. Gervaise et son amant Auguste Lantier viennent à Paris avec Claude et Etienne, leurs deux fils. Chapelier de métier, Lantier est paresseux et infidèle. Il quitte Gervaise pour Adèle, la laissant seule avec ses fils. Au lavoir, Virginie, la sœur d’Adèle, provoque Gervaise. Une bagarre éclate entre kes deux femmes. Gervaise l’emporte sur son adversaire. Coupeau, un ouvrier zingueur lui fait la cour à L’Assommoir, le cabaret du Père

génération, il laisse volontairement de côté tout ce qui gravite autour d'eux, les mille autres personnages créés par Zola, véritable monde où s'agite toute l'humanité. Qu'on lise avec soin cette nomenclature, qui commence à la petite brunisseuse Adèle pour finir à Zoé la proxénète. On y trouvera la vie contemporaine, avec ses beautés, ses hontes et ses angoisses. Des prêtres comme Faujas, des juges comme Denizet ou Delcambre, des politiciens comme Huret ou le baron Gouraud, des fonctionnaires arrivistes

1930]. C ÉSAIRE Aimé, « Décolonisation pour les Antilles », Présence Africaine, 1956. C ÉSAIRE Aimé, « Culture et colonisation », Présence Africaine, numéro spécial, 1956. CÉSAIRE Aimé, « Conscience raciale et révolution sociale », L’Étudiant noir. Journal mensuel de l‘Association des Étudiants Martiniquais en France, mai-juin 1935. CÉSAIRE Aimé, MÉNIL René (dirs), Tropiques (1941-1945), Paris, Jean-Michel Place, 1994. CÉVAËR Françoise, « Ces écrivains d’Afrique noire », Nouvelles du Sud, n° 29, 1998

d’État : Ruy Blas  Et que disait-il ? La reine Rien. Ruy Blas  Rien ? – Et que faisait-il ? LA REINE Il allait à la chasse. (1196-1197) L’ironie dans ce passage est évidente : c’est une parodie du fameux journal de Louis XVI, qui, au jour de la prise de la bastille, le 14 juillet 1789, n’écrit rien. Victor Hugo résume son rôle dans la préface à Ruy Blas : « dans l’histoire comme dans le drame, Charles II d’Espagne n’est pas une figure, c’est une ombre[3]

égrenés par l’inconscient du patient, tout le poids des mots qui libèrent alors des maux écrasants à chaque séance. Revenons sur l’ambivalence « Point » : il est bien évident que le langage de Lucie signifiait alors qu’il s’agissait du célèbre journal. Mais aussi de « poing ». Le « point » sur lequel j’ai scansionné cette analysante implicitait, de par les jeux confusionnels discursifs, que l’homme était encore tellement insignifiant qu’il ne lui faisait pas peur et qu’il n’y avait donc pas lieu

l'entreprise. Ne pouvant enquêter auprès des 80 employés, il cherche à produire un échantillon aléatoire (à l'aide de la technique systématique) comportant 15 sujets. Identifiez ces sujets. Alain Aline Abdallah Adeline Audrey Amélie Armand Albert Auguste Adèle Bernadette Bernard Bibiane Colette Constance Conrad Carmelle Catherine Constant Christian Daniel Danielle Denis Émilie Ernest Emmanuel Emmanuelle Ferdinand Fernand Fatima Gabrielle Gabriel Gaston Geneviève Gino Ginette Grégoire Hélène Chloé Irène Isabelle

sa bedaine, ses yeux marqués, son visage souvent érubescent. Fils aîné du fondateur d’une grande maison d’édition scientifique, il y avait d’abord été associé avant de se lancer dans le journalisme et la littérature. Collaborant à d’innombrables journaux et revues, il était répandu dans le monde des lettres et des théâtres. Il se dépensait en particulier dans le domaine de la critique musicale à “L’écho de Paris” où il était féroce, célébrant pratiquement seul contre tous Claude Debussy, Vincent

des Raphaël et des Pitt, étiez déjà grand poète à l'âge où les hommes sont encore si petits, vous avez, comme Chateaubriand, comme tous les vrais talents, lutté contre les envieux embusqués derrière les colonnes, ou tapis dans les souterrains du Journal. Aussi désiré-je que votre nom victorieux aide à la victoire de cette œuvre que je vous dédie, et qui, selon certaines personnes, serait un acte de courage autant qu'une histoire pleine de vérité. Les journalistes n'eussentils donc pas appartenu,