Le Journal de Rouen

révèle pas aussi bonne qu'on le disait : l'aide qu'il apporte est donc bien maigre. De retour en métropole près de son père à Douai, Marceline devient comédienne dès l'âge de 16 ans. Elle joue au théâtre au théâtre à l'italienne de Douai, à Lille, Rouen (grâce à sa rencontre avec le compositeur Grétry) et à Paris. Comédienne, chanteuse et cantatrice, elle se produit notamment au théâtre de l'Odéon à l'Opéra-Comique, à Paris, et au Théâtre de la Monnaie, à Bruxelles, où elle incarne en 1815 « Rosine

peau. Tous se sont tus après l'avoir entendue. Je voyais que j'avais commis une faute, qu'ils ne pouvaient recevoir cette chose-là. J'écris cette scène pour la première fois. Jusqu'à aujourd'hui, il me semblait impossible de le faire, même dans un journal intime. Comme une action interdite devant entraîner un châtiment. Peut-être celui de ne plus pouvoir écrire quoi que ce soit ensuite. (Une sorte de soulagement tout à l'heure en constatant que je continuais d'écrire comme avant, qu'il n'était rien

révèle pas aussi bonne qu'on le disait : l'aide qu'il apporte est donc bien maigre. De retour en métropole près de son père à Douai, Marceline devient comédienne dès l'âge de 16 ans. Elle joue au théâtre au "théâtre à l'italienne de Douai", à Lille, Rouen (grâce à sa rencontre avec le compositeur Grétry) et à Paris. Comédienne, chanteuse et cantatrice, elle se produit notamment au théâtre de l'Odéon à l'Opéra-Comique, à Paris, et au Théâtre de la Monnaie, à Bruxelles, où elle incarne en 1815 « Rosine

janvier par l’auteur devant ses amis du « groupe de Médan », puis par la publication, au sein d’un recueil collectif de nouvelles titré les Soirées de Médan, le 15 avril 1880. Des rumeurs font état d’une publication antérieure de la nouvelle dans un journal ou une revue. Cette croyance est fondée sur la première phrase de la préface, qui dit que « les nouvelles qui suivent ont été publiées, les unes en France, les autres à l’étranger. » Aucun élément ne permet toutefois, plus de cent ans après les faits

l’immeuble, ses sentiments, ses lectures, ses réflexions, etc et l’autre est celui de Paloma qui nous presente ses pensées sous forme de « pensées profondes » ou de « journal du mouvement du monde ». Chaque récit est raconté par son protagoniste sans qu’aucun autre narrateur intervienne, ce qui donne l’impression de lire un journal qu’elles écriraient chacune de leur côté. Il est intéressant de voir comment le point de vue d’une fille de treize peut être proche de celui de Renée, âgée de cinquante-quatre

franco-prussienne. Affecté d’abord dans les services d’intendance puis dans l’artillerie, il participe à la retraite des armées normandes devant l’avancée allemande. Lors de son arrivée à Paris fin 1870 il commence à fournir des articles à plusieurs journaux comme le Figaro. Soutenu par son ami Flaubert il publie son premier livre en 1879. Bibliographie : ses œuvres majeures sont Boule de Suif en 1880, les Contes de la bécasse en 1883, Bel-Ami en 1885 et le Horla en 1887. L’œuvre étudiée : 1. Le

Maurice Leblanc 1864-1941 Maurice Leblanc est né le 11 novembre 1864 à Rouen. Son père est négociant en charbon ; sa mère est issue d’une riche famille de notables. Il a deux sœurs prénommées Jehanne et sa cadette Georgette qui fera une belle carrière de cantatrice. Il fait de brillantes études au lycée Corneille où il obtient deux prix d’excellence. En 1888, il quitte Rouen pour Paris, ce déménagement est pour lui une libération. En 1889, il épouse M. E. Lalanne et il partage sa vie entre Nice

il a été profondément dévoué à Étretat , dans la Villa des Verguies, où, entre la mer et la campagne luxuriante, il a grandi très friands des activités de pêche et de plein air. À l'âge de treize ans, il fut envoyé dans un petit séminaire près de Rouen pour les études classiques. En Octobre 1868, à l'âge de 18 ans, il a sauvé le célèbre poète Algernon Charles Swinburne de la noyade au large de la côte de Étretat en Normandie. [ 2 ] Comme il est entré premier cycle du secondaire, il a rencontré le

regard du narrateur sur les personnages ? Maupassant, Bel-Ami: 1. Incipit : « Quand la caissière lui eut rendu la monnaie de sa pièce » … « mais il espérait toujours plus et mieux. » 2. « La Vie Française » : « La Vie Française était avant tout un journal d'argent » … « selon l'expression de Norbert de Varenne. » 3. « La mort de Forestier » : « Ce ne fut rien d'abord, une petite crise » … « Il avait fini de respirer. » 4. « Un nouveau départ ? » : « Et Duroy qui reprenait son sangfroid » … « Comme

Nom, prénom : …………………………………………………………………………. TEST DE LECTURE LE HORLA – Maupassant 1) Que peut admirer le narrateur depuis sa fenêtre ? Les plages normandes – les bateaux qui passent sur la Seine – Les toits de la ville de Rouen. 2) Quels sont les premiers symptômes de la maladie du narrateur ? (2 symptômes) ……………………………………………………………………………………………………………………………………………… 3) Quel cauchemar trouble les nuits du narrateur ? Quelqu’un l’étrangle - Quelqu’un le torture sans qu’il puisse se réveiller