Le Jugement de Dieu

l’être sensitif distingue-t-il les sensations les unes des autres ? Par leurs différences ou parce qu’il les sent les unes dans les autres. (58) [970 :] Quand deux sensations à comparer sont aperçues, leur rapport n’est pas senti pour cela. Si le jugement de ce rapport n’était que sensation, il ne tromperait pas. (58-59) [971 :] L’opération qui compare (deux bâtons) est fautive. Mon entendement qui juge les rapports mêle ses erreurs à la vérité des sensations. (59) [972 :] Réflexion supplémentaire

coutumes. La rédaction de « Coutume de Beauvaisis » a été motivée par la volonté d’établir une identité commune à tous les habitants du comté de Beauvaisis (A) afin de mieux régir la vie en société qui a été dirigée par Dieu. (B) A/ L’identité locale guidée par Dieu en tant que la volonté du peuple. La motivation qui a conduit Beaumanoir à créer cet ouvrage est la nécessité de reconnaissance d’une identité locale. « Nous devons avoir le désir plus particulier d’écrire

I - Des ouvrages de l'esprit  : La Bruyère définit son projet d'écriture (à la fois esthétique et satirique), il évoque son travail d’écrivain, ses exigences (il mentionne les écueils à éviter : manque de clarté et de précision) ; il apporte son jugement sur les différents genres littéraires et sur les modèles à honorer (les Anciens) comme ont su le faire certains de ses contemporains, auxquels il rend hommage : Racine, Corneille). II - Du mérite personnel : Remise en cause de la société qui

-Absolu désigne ce qui vaut ou existe en soi-même, donc indépendamment de conditions concrètes. Ex. Dieu existe en lui-même, il n'a besoin d'aucune chose ni pour être conçu ni pour exister. Par opposition, est relatif ce qui dépend de conditions concrètes. -L'abstraction est une opération mentale qui consiste à isoler par la pensée ce qui, dans la réalité est aggloméré. L'abstrait est le résultat de l'abstraction. Ex. Le concept d'homme retient ce qu'il y a de commun à tous les hommes. A l'opposé

directement à Dieu en le tutoyant, comme s’il était son égal ; Par la suite, Rousseau désigne Dieu tel que : « Souverain juge » (l.10) et « Etre éternel » (l.19), groupe nominaux mélioratifs, qui prouvent, avec son attitude familière, qu’il se positionne, orgueilleusement, sur le même plan que Dieu. Rousseau se place et se comporte comme un seigneur tout puissant : il donne des ordres, emploie des impératifs et des subjonctifs à valeur d’ordre, qu’il adresse à tous mais aussi à Dieu : « rassemble »

terre sera submergée, et tout ce qui l'habite périra ; tous les êtres seront jugés, tous, même les justes. 7. Mais les justes obtiendront la paix ; il conservera les élus, et exercera sur eux, sa clémence. 8. Alors ils deviendront la propriété de Dieu ; il les comblera de bonheur et de bénédictions et la splendeur de la Divinité les illuminera.  CHAPITRE 2 1. Voici ! il arrive avec dix mille de ses saints, pour juger toutes les créatures pour détruire la race des méchants, et réprouver toute chair

se demande: qui sommes nous et que sommes nous? Pour cela, il met en place une argumentation logique tout au long de son texte. Tout d'abord sa première hypothèse serait que se sont les sens qui nous trompes. Ensuite, il se dit que se pourrait-être Dieu lui même qui le trompe, cependant il en vient a réfuter cette hypothèse et reprend l'idée d'une pensée indépendante du corps. Enfin,il met en place l'hypothèse du malin génie, afin de vérifier des vérités mathématiques, le doute atteignant son point

réel et le discours. La vérité formelle, c'est l'accord de l'esprit avec ses propres conventions. La vérité expérimentale c'est la non-contradiction des jugements, l'accord et l'identification des énoncés à propos d'un donné matériel. On distinguera soigneusement la réalité qui concerne un objet, et la vérité qui est une valeur qui concerne un jugement. La vérité ou la fausseté qualifient donc non l'objet lui-même mais la valeur. Notre sujet est la vérité se prouve-t-elle ? Nous allons donc essayer

sens pour se tourner tout entier vers Dieu. Nous noterons néanmoins que Descartes doute premièrement de l'existence de Dieu (qu'il rétablira par la suite, et sur laquelle nous reviendrons plus tard). Par cet exercice, tel qu'il est présenté, nous cherchons à refonder nos connaissances par un retour aux origines : en effet que reste-t-il si je remet en doute toutes mes connaissances actuelles ? D'après Descartes : ma pensée, et notamment celle de l'existence Dieu. Un philosophe nous présente son

|c'est-à-dire l’emploi d’une stratégie affective et mal fondée plutôt que rationnelle. Etre capable de | | |« discerner le bien du mal, le vrai du faux », c’est déjà être adulte, avoir acquis un jugement | | |autonome et un esprit critique. | |2°origine : l’éducation. |Cette première partie du texte statue donc sur l’origine de