Le Langage Est Il Le Miroir De La Pensée

entre un vieux monsieur et un logicien. Ce logicien, par son nom, annonce déjà l’importance du thème de la logique dans cet extrait argumentatif et comique. Ces dialogues répétitifs et incohérents, n’ont-ils pas d’autre but que montrer la faillite du langage ? Après avoir étudié l’évolution du dialogue entre Béranger et Jean, nous remarquerons le lien qui les unit avec le vieux monsieur et le logicien et enfin nous verrons comment le thème de la logique est traité. Pour mieux décrire l’évolution du

est l'ami de ces gens. Son oeuvre a le privilège d'incarner le classicisme. Il incarne un art non-personnel qui est censé être un art universel. Un poète au service du prince : Les artistes de la Renaissance ont un fantasme, celui d'être un miroir de la grandeur royale. Ils espèrent refléter la grandeur du prince. Une conception de la création qui repose sur le don que l'artiste fait de son génie. Il donne quelque chose aux autres. Au XVII ème, l'artiste réfléchit sur l'art par l'analogie royale

rendre disponible à l’autre (mettre de côté ses préoccupations et dépasser ses difficultés personnelles du moment) • chercher activement à le comprendre. On est impliqué, on participe activement aux questions, on utilise le langage non verbal(posture :se pencher en avant )pour encourager la participation de l’orateur et signaler notre intérêt. • l’encourager à s’exprimer, lui apporter une aide active pour s’exprimer et atteindre l’objectif

l’installation permet de solliciter plusieurs sens. elle n’occupe pas seulement l’espace mais le restructure, le réaménage, en change la destination, en transforme ou en amplifie la raison d’être. dans ces installations circulent des individus mais aussi des pensées, de la poésie, de l’esprit critique. vous trouverez ci-dessous quelques exemples d’artistes qui travaillent en relation avec l’installation, l’art in situ, l’art contextuel, le land art… n’hésitez pas à nous en signaler si vous pensez à d’autres artistes

| |Sur toutes les pages lues |Sur le fruit coupé en deux | |Sur toutes les pages blanches |Dur miroir et de ma chambre | |Pierre sang papier ou cendre |Sur mon lit coquille vide | |J'écris ton nom

utilise des objets de la vie courante en les modifiant de façon à ce que leur utilité s’en trouve remit en question. - Il réalise des travaux photographiques et repeint des objets : il recouvre (un piano, une fenêtre, un réfrigérateur, une voiture, un miroir) d’une épaisse couche de peinture en gardant les couleurs d’origine des objets. - Ces objets sont à la fois l’objet lui-même, c'est-à-dire qu’ils sont théoriquement utilisables et l’image de l’objet en raison de la peinture qui les recouvre. -

Poésie et langage Maeterlinck : « Le poète doit, me semble t-il être passif dans le symbole, et le symbole le plus pur est peut être celui qui à lieu à son insu et même à l’encontre de ses intentions : le symbole serait la fleur de la vitalité du poème » Ces paroles sont l’illustration de toute la puissance du langage poétique, de cette équivocité qui lui est propre, s’appuyant sur la polysémie et les alliances surprenantes de mots .A puissance créatrice du langage poétique correspond la profusion

L’éducation à l’image, la question de l’obscène. « Tout individu qui naît sur Terre est aujourd’hui pris en otage par la société de consommation. On ne peut accoucher aujourd’hui que d’un objet de consommation : voilà ce que je dénonce. Cette image fait miroir, donc elle fait mal. Qui a envie de se regarder dans la glace quand ça fait mal ? Pourtant, cela pousse à la réflexion. » Damien Saez parlant de la censure de la photo promotionnelle de son nouvel album « J’accuse ». L’obscène à l’image est un

(passion), la présence s’efface dans l’absence. Le langage littéraire pourrait entretenir avec le langage ordinaire le même rapport que l’image entretient avec la chose, il pourrait affirmer la profondeur et l’étrangeté que la dimension diurne du langage nie et repousse. Le langage de la poésie ne serait donc pas un langage qui fait place aux images et aux figures, mais une image de langage, langage impersonnel, langage d’absence, ombre du langage, image des mots et "mots où les choses se font image"

caractère même des personnages. C’est pour cela que le romancier peut idéaliser son héros : le héros doit avoir des qualités exceptionnelles. Le lecteur a souvent besoin de voir dans ses lectures un idéal, en effet il n’est pas à la recherche d’un miroir qui lui refléterait ce qu’il vit déjà. Le roman satisfait d’abord notre désir d’évasion et nous fait accéder parfois à nos rêves. Le lecteur veut être ému par les personnages. Le romancier doit en effet avant tout nous raconter une histoire, pas un