Le Langage Nous Donne T Il Un Pouvoir Sur Autrui

de la personne. Selon Descartes, la conscience de soi est « la terre natale de la vérité », le terme natale est ici, explicite. La conscience est née en nous, seulement l’homme n’en n’est conscient qu’a l’âge d’un an environ, lorsqu’il acquiert le langage d’après Kant. Il est ensuite capable d’avoir une notion de lui même et devient une personne a part entière grâce a l’unité de conscience qui persiste à travers tous les changements dont il est sujet, il est une seule et même personne, en employant

Langage et définitions du droit Le mot droit a une signification unilatérale. Désignation de mot droit : il est français et l’héritage vient de la Grèce Antique plus précisément du stoïcisme. Les auteurs stoïciens parlaient de la subjectivité pour aller vers le droit. Mot formé dans une philosophe idéaliste. Historiquement le droit ne s’appuie que sur de rares textes de l’époque romaine = CICERON a formé le mot droit mais la culture romaine ne l’a jamais accepté. Le christianisme a favorisé

d'unique et d'inexprimable" c'est-à-dire l’intuition permet à l’individu de le comprendre, tout en étant à l’extérieur. C’est souvent grâce au langage que l’on essaye de connaitre un individu, car c’est une porte ouverte dans son esprit, même si les signes sont difficiles à interpréter (parole, gestes…).Selon Bergson, « toute connaissance passe par le langage. » Il s’avère donc difficile de définir ce concept de connaissance car il change de sens selon qu’il concerne un objet ou un sujet. La connaissance

LE LANGAGE Aristote : « Les sons émis par la voix sont les symboles des états de l’âme et les mots écrits sont des symboles des mots émis par la voix ». Etats de l’âme identiques chez tous les hommes (tristesse, joie, peur…) Définition traditionnelle : langage = faculté d’exprimer ses pensées à l’aide de signes. Ne faut-il pas admettre que le langage est propre à l’homme ? Puis pb de l’antériorité de la pensée sur le langage : pour penser il faut des mots (qu’est ce qui est antérieur à l’autre 

but : C'est un but pratique qu'il va utiliser dans sa vie. Cela touche deux choses : * L'ordre technique : touche au domaine des sciences dans le but de dominer la nature. * L'ordre morale : Savoir ce qui est bien pour être heureux. Pour pouvoir atteindre ces ordres, il faut connaitre la vérité. Pour lui, il n'y a que dans les math qu'on trouve une certaine certitude. Il va essayer de créer un savoir parallèle au math mais portant sur l'ensemble du monde. DISCOURS DE LA METHODE Descartes

(psychique) vs. anormalité o Ame o Pensée o Norme o L’organisation familiale, l’autorité patriarchale (le père) o La perversion, la louance • Le langage audiovisuel o Perception d’un film o Efficacité de ce langage (et comment l’améliorer) HUMANITE VS ANIMALITE Les espèces sont extrêmement variées, mais toutes paraissent répondre à une organisation dans laquelle la part de l’inné prédomine largement celle

de se rapporter au langage, celui de "parleur" sophiste, qui maîtrise l'art de parler, alors il est le philosophe qui, lui-même, maîtriser l'art de penser. La rhétorique peut être un instrument de manipulation de celui qui sait comment utiliser les mots. Parle, il est donc plus que d'agir sur l'autre, manipuler, la dominer! Lorsque nous utilisons des mots pour tromper ou être obéissants, nous ignorons la vérité et préfèrent l'arrogance des autres, que permet le langage. La langue est parfois

souvent:l'opinion répondra:  pour communiquer. Cela suppose que la parole ait la possibilité d'exprimer mieux que le silence. En effet du point vue de celui qui parle, rien ne lui prouve que, par exemple, le terme amitié sera compris selon le sens qu'il lui donne alors qu'il désigne généralement toutes les formes d'amitié possible. Celui qui parle discerne vite l'intransférable c'est à dire ce qui ne peut être communiquer. Nous exprimons avec des termes généraux des sentiments qui nous sont propres. Le problème

l'apostrophent, le saluent aussi ou se confient à lui. Ce n'est pas forcément une nécessité conventionnelle, pas toujours une facilité rhétorique de l'oraison. C'est plutôt pour traverser la parole, là où les mots nous manquent, et parce que tout langage qui reviendrait vers soi, vers nous, paraîtrait indécent, comme un discours réflexif qui ferait retour vers la communauté blessée, vers sa consolation ou son deuil, vers ce qu'on appelle de cette expression confuse et terrible le « travail du deuil

sur l’amplitude de pardon. En outre, la question suppose que le pardon nous est un acte connu. Elle porte non seulement sur la capacité que nous avons à pardonner autrui mais aussi la légitimité de pardonner celui qui a commis l’offense. Pouvoir, en effet, signifie en avoir la possibilité mais aussi avoir le droit d’accorder pardon à autrui. Ainsi nous pouvons nous demander à quelles conditions doit répondre le pardon. Nous tenterons de répondre successivement à ces trois questions : Tous les hommes