Le Langage Nous Donne T Il Un Pouvoir Sur Autrui

Le langage sert-il à exprimer la réalité ?   Le langage représente la base de la société humaine dans le sens où il permet à l’homme de communiquer avec autrui et également d’exprimer certaines impressions personnelles. Il s'agit pourtant de se demander si le langage est la transcription de la réalité ou une pure invention humaine. Mais qu’entendons-nous par réalité ? Est-ce que l’homme, poussé par un anthropomorphisme évident, n'a pas créé un monde à visage humain dont le support serait

d’obtenir ce qui est jugé supérieur, comme la gloire, le pouvoir = arriviste) Amical : (qui montre de l’affection) Amoral : (qui n’a pas de morale) Autoritaire : (qui impose son commandement, son pouvoir d’une façon absolue) Avare : (qui aime accumuler sans en faire usage) Charismatique : (qui exerce un ascendant extraordinaire) Chevaleresque : (digne d’un chevalier, dévoué, courageux, honnête, généreux...) Compatissant : (qui plaint autrui et partage sa douleur = miséricordieux) Condescendant

fonctionnelle Anatomuie fonctionnelle Cerveau lésé Siège lésionnel déficit Cerveau sain Dorso-latéral = programmation, Pré-central = moteur Pariétal supérieur = attention visuelle Fonctions exécutives Temporal supérieur Reconnaissance auditive, Langage "CHAPEAU" ANALYSE VISUELLE (identité, position, etc...) "CHAPEAU" Pré-frontal = Inhibition, Attention raisonnement lecture par adressage chapeau Temporal moyen = Reconnaissance visuelle Temporo-polaire = Familiarité, noms propres lecture

Autrement dit, la parole est un véritable pouvoir, mais ce pouvoir engage t-il autant que les actes ? Les paroles engagent-elles autant que les actes ? PREMIÈRE PARTIE : DANS CERTAINS CAS, LES PAROLES ENGAGENT AUTANT QUE LES ACTES . Premier argument : Ce qui montre que les paroles puissent engager autant que les actes , c’est que le langage a une fonction incitative. Cette fonction incitative se voit notamment dans le fait de commander (officier qui donne des ordres, par exemple), ou encore dans

........................ 8 1. Relation intersubjective et processus inconscient : l’apport de la psycanalyse .................................................................................................... 8 2. Perception de soi et relation à autrui : les analyses complémentaires................................................................................................................... 9 DEUXIÈME PARTIE : ANALYSE DU LIEN INTERPERSONNEL CENTRÉE SUR LA COMMUNICATION .................

concret : le geste indicatif Geste indicatif ⇔ action enviée et échec dans mouvement MAIS Fait signe pour l’entourage GESTE obtenir objet Réponse donne sens au geste sens pour autrui « mouvoir autrui » Corporéité + Réponse sociale Fondements des fonctions psychiques supérieures Initiation de l’intersubjectivité Conscience diffuse de soi/autrui - intériorité 14 Schilder, 1935, L’image du Corps Tant qu'il est vivant, on ne peut, nécessairement, jamais voir un corps qu'en mouvement et

La conscience, l’inconscient Introduction Les termes « conscience » et « inconscience » ont souvent dans le langage courant une connotation éthique ou une désignation morale (c’est-à-dire relative à l’idée de bon et de mauvais ou de bien et de mal) : « Il est complètement inconscient » dit-on, ce qui veut dire « il ne sait pas ce qu’il fait, il ne mesure pas la gravité - les conséquences néfastes - de sa conduite. » Songeons aussi à l’expression de Rabelais : « Science sans conscience [c’est-à-dire

technique, il y a le langage. Levi’strauss: »lelangage est un fait culturel par exelence. ».levi parle de l’inceste, pour lui sa prohibition est un phénoméne universelle, séparant l’homme de la nature en faisant un étre de culture. Le jeune homme ou femme cherche un époux en dehors du clan fapiliale. Impliquant l’exogamie, mariage entre différent groupe culturel constituant le tronc de l’organisation sociale. Kant: Les defaults de l’homme, égoisme, jalousie, volonté de pouvoir joue un role moteur

a des compagnons d’armes, de navigations, de classe, … mais aussi des compagnons avec qui on fait du commerce, des compagnons avec lesquels on trouve du plaisir … Aristote insiste sur la communauté d’intérêts et sur le rôle du langage. L’homme est un « animal politique ». Chez les Modernes, on aura une conception plus ambivalente. Kant parlera dans la 4ème proposition de l’Idée d’une histoire universelle d’un point de vue cosmopolitique de l’ « insociable sociabilité

des individus, des identités. Ainsi, si le multi et le pluriculturel s’arrêtent au niveau du constat, l’interculturel opère une démarche, il ne correspond pas à une réalité objective. L’approche interculturelle n’a pas pour objectif d’identifier autrui en l’enfermant dans un réseau de significations, ni d’établir des comparaisons sur la base d’une échelle ethnocentrée. L’interculturel accorde une place plus importante à l’individu en tant que sujet qu’aux caractéristiques culturelles de l’individu