Le Libertin Manipulateur

moderne car absent de l'Antiquité grecque). Elle raconte la vie dissolue d'un jeune noble séducteur, infidèle et libertin vivant en Sicile. Dom Juan a abandonné son épouse Done Elvire pour une nouvelle conquête amoureuse. Dans la scène d’exposition, son portrait est brossé par son valet Sganarelle questionné par Gusman, le valet d'Elvire. Dom Juan est décrit comme un séducteur, un libertin. * Situation de l'extrait: scène 2 de l'acte I: le spectateur assiste à la Ventrée de Dom Juan qui rejoint

pièce de théâtre en quatre actes de Jean Anouilh, librement inspirée du mythe de Don Juan, créée à la Comédie des Champs-Élysées le 4 novembre 1955. Abusant de sa facilité à faire des rimes, Ornifle s'est enrichi grâce à la chanson. Cynique et manipulateur, il méprise son entourage et accumule les aventures amoureuses, quand un fils débarque dans sa vie, bien décidé à lui faire payer son indifférence... AUJOUR'HUI Le personnage conserve ses traits constitutifs ou bien présente des caractéristiques

Agnès dans un sens premier. Souligne sa naïveté. Naïveté renforcé par la modalisation « à vous dire le vrai » IE elle incarne la sincérité. « Je n’ai pu m’en défendre » IE expression soutenue ou rentre dans un vocabulare IE de l’attaque des enjeux libertins. ?? « M’en défendre » IE elle porte le poids de cette culpabilité quand même. « Passe pour le ruban » IE vanité souligné. Ce n’est pas ce que Arnolphe veut savoir. Donc il reformule la question initiale. Insistance d’Arnolphe est lourde et qui marque

et pure vengeance. La Comtesse de Merteuil, veut se venger d’un de ses amants, qui la abandonnée et c’est elle qui finalement est en haut de ce schéma de manipulation et qui le contrôle. La lettre est ici au service de ce jeu, car les deux manipulateurs peuvent faire croire ceux qui veulent. Dans cette 48 éme lettre, le Vicomte de Valmont écrit à Mme de Tourvel, une femme très pieuse, qu’il va essaier de séduire et donc, faire perdre l’image qu’elle a pu avoir auparavant pour lui gacher le reste

Louis XIV. Ses genres sont les comédies, comédies ballet. Scolarité chez les jésuites à Paris, et études de droit à Orléans. La pièce : Dom Juan a été écrit en 1665. Pièce en 5 actes. Dom Juan relate la vie d’un personnage infidèle, séducteur et libertin. Acte II, scène 2 : Dialogue entre Charlotte et Dom Juan dont Sganarelle est le témoin (complice de Dom Juan). Nouvelle conquête amoureuse de Dom Juan. Charlotte = femme de Pierre qui a sauvé Dom Juan de la noyade. Après une théorie (acte I), il

les meneurs de jeu et les victimes . Deux aristocrates brillants et spirituels , la marquise de merteuil : personnage principal de l'oeuvre : manipulatrice imbue d'elle même ; et le séduisant vicomte de Valmont : Don Juan , manipulateur , sans scrupule, cruel, et libertin ; signent un pacte «  d'inviolable amitié «  à la fin de leur liaison. Deux histoires se déroulent tout au long du roman avec toujours en actrice principale Madame de Merteuil qui est au cœur de ces manipulations . La première

(acte II, scène 4) -Dom Juan manipule les deux paysannes ( Charlotte et sa tante Mathurine ) en leur promettant le mariage. La situation est comique car on voit clairement d'une part la naïveté, la candeur des paysannes et d'autre part l'esprit manipulateur et habile de Dom Juan. -Sganarelle fuit devant cet événement et laisse son maître se débrouiller avec ses problèmes (ce qui nous rappelle la bagarre où Dom Juan prend part et, où Sganarelle a fuit ) b) la scène de M. Dimanche ( acte IV, scène

chose lui déplait, tout le monde le sait. On l’entend jurer partout où elle passe, bousculant ceux qui trainent encore là .. Elle déteste les débordements d’affection répété, et ne reste jamais bien longue poser, voir quasiment jamais. C’est une libertine, et elle en est fière. Ce qu’elle adore ? Voir les garçons pleuraient quand elle les laissent tomber, après avoir fini de jouer avec leurs carcasses, évidemment. Erzabeth a toujours le mot pour blesser quelqu'un, se basant sur ses points faibles

registre comique. 2 Cette première scène est l’occasion de dresser un portrait de Dom Juan par le biais de Sganarelle, que l'on découvre aussi. Le portrait de Dom Juan La scène d’exposition semble avoir comme finalité majeure la présentation du libertin. - Sganarelle présente Dom Juan, il met, en premier lieu, en avant son impiété par une énumération (« le plus grand scélérat que la terre ait jamais porté, un enragé, un chien, un démon, un Turc, un hérétique, qui ne croit ni Ciel, ni Enfer, ni

Molière, qui, lui aussi, s’adressait au peuple. Le “style bouffon, baroque et gesticulant” est tout à fait approprié à la pièce dans la mesure où celle-ci s’éloignait du théâtre classique au profit d’une vision plus libre. De plus, le caractère libertin de Dom Juan s’accorde tout à fait avec cette dimension baroque. Le style bouffon et clownesque apparaît aussi dans la réplique de Dom Juan au raisonnement de Sganarelle défendant la religion : “Bon ! Voilà ton raisonnement qui a le nez cassé.”. Et