Le Libertinage Conclusion

Le libertinage de DJ se radicalise du libertinage de moeurs (LA2, II,4) au libertinage d'idée. Dans un premier temps, nous allons voir que cette scène est blasphématoire, puis dans un second temps nous observerons la portée symbolique de l'affrontement. Plan : I- La progression du sacrilège. A- Évolution : les trois grandes parties de la scène B- Enchaînement des répliques II- Un affrontement symbolique. A- Les "valeurs" de Don Juan B- Le silence du pauvre Conclusion :

LE LIBERTINAGE AU XVIII EME SIECLE Définition : Le mot " libertin " , vient du latin " libertinus " veut dire " affranchi " ou encore " esclave qui vient d'être libéré ", apparaît au XVI eme siecle. D' ailleurs l' Encyclopédie en donne sa définition : " c'est l'habitude de céder a l'instinct qui nous porte aux plaisirs des sens " . Du temps de Pascal (XVII ème siècle) " libertin " désignait la liberté de pensée affranchi de toute doctrine religieuse. Le terme " libertin " comporte deux acceptions

Dom Juan incarne communément la figure du libertin. On songe d’abord à la liberté des mœurs, sensuelle, parfois associée à la débauche, mais le libertinage est aussi une liberté  de pensée, émancipée des carcans de la religion, de la superstition. Dès la première scène de l’acte I, Sganarelle présente son maître sous ce double aspect du libertinage : il ne croit « ni Ciel, ni Enfer, ni loup-garou », il passe cette vie en « pourceau d’Épicure », c’est un « vrai Sardanapale ». Cette scène 2 est

- Conclusion : Dom Juan n’est pas une pièce véritablement classique. Un respect de l’esprit du classicisme : Une intrigue concentrée sur Don Juan : o Don Juan est présent dans presque toutes les scènes. o Chaque acte illustre un aspect du personnage : le mari volage (acte I), le séducteur (acte II), l’impie sacrilège (acte III), le fils rebelle devant son père (acte IV), le révolté contre Dieu (acte V) - Un thème unique : le libertinage o Libertinage de pensée (religieux) o Libertinage sentimental

Marquis de Sade. Il voulut dit-il « faire un ouvrage qui sortit de la route ordinaire, qui fit du bruit et qui retentit encore sur la terre quand j’y aurais passé » et je pense qu’il réussit très bien. Cet ouvrage est une sorte de mode d’emploi du libertinage et de la perversion. En effet tout au long du texte on peut voir le VdV et la M. de Merteuil, deux roués affranchis de l’Eglise, dans leurs entreprises libertines. On va étudier une des premières lettres du roman, la lettre 4. Elle est la première

C’est la fausse désinvolture de la lettre de la lettre que nous étudierons avant d’en mettre au jour la véritable cruauté. PLAN : Introduction I. Une feinte désinvolture II. Une cruauté insigne III. Le libertinage, dans son rapport à autrui et dans son rapport au temps Conclusion Introduction I. Une feinte désinvolture a) Un refrain de chanson C’est surtout le refrain qui, en donnant à cette lettre l’apparence d’une chanson, lui donne une visible gaieté, une feinte badinerie :

Le livre étudié ici est Les liaisons Dangereuse elle est écrite par Pierre Choderos de laclos en 1782 au 18éme siècle. C’est un roman épistolaire, il parle d’amour et de libertinage. Nous allons commenter la troisième partie de ce livre de la lettre 88 a 124. Le libertinage est une manière de vivre , les libertins ne respecte pas les mœurs et vive sans règles. Il aime séduire et avoir de nombreuses conquêtes et ils agissent en toute liberté. La marquise de Merteuil et

suggérant que le roman est un roman libertin. Le 18ème siècle propose en effet toute une production littéraire dont le libertinage amoureux est le motif majeur : sont mis en scène des personnages, des nobles, dont l'unique préoccupation est de mener à bien leurs intrigues galantes. Ces personnages sont exclusivement à la recherche de plaisirs, ils cultivent celui des mots, et le libertinage d'être associé à un jeu cérébral, intellectuel et glorieux. Une certaine crudité règne alors dans les œuvres libertines

une grande admiration pour Merteuil tout en lui lançant un certain nombre de piques, parfois très méchantes. Cette lettre montre également le point de vue du Vicomte sur le libertinage. Comment se constitue le personnage de Valmont ? Ainsi nous étudierons son caractère orgueilleux et sa définition sous forme d’éloge du libertinage. Portrait du Vicomte : Le Vicomte de Valmont est un libertin accompli possédant un caractère très orgueilleux, d'où sa flagrante rivalité avec la Marquise de Merteuil et

comme étant un coureur de jupons, un manipulateur sans cœur, Dom Juan est l’incarnation de la liberté même. Beaucoup ne voient en lui qu’un menteur, un tricheur et un provocateur. On le défini comme un libertin, mais qu’entend-t-on par là ? Le libertinage est à la fois une attitude intellectuelle et une toute autre vision du monde. Un libertin est un esprit libre, qui s’est affranchi des superstitions religieuses et des préjugés moraux de son temps. En effet, Dom Juan ne se conforme pas aux contraintes