Le Libre Echange Conclusion

hydrocarbure : Plan : Introduction : Présentation de l’Algérie Les principaux produits hors hydrocarbure échangés entre l’Algérie et l’UE La logistique des produits hors hydrocarbure entre l’Algérie et les pays de l’union européenne. Conclusion Introduction : La république algérienne démocratique et populaire, est le deuxième plus grand pays d’Afrique, situé en Afrique du nord, et fait partie du Maghreb avec 85% de

d’assurer une meilleure insertion des Pays en Voie de Développement (PVD) dans les échanges internationaux, ceci pour tirer leur croissance. La participation des nations au commerce international, en d’autres termes aux échanges de biens entre les espaces économiques nationaux, semble s’imposer à l’heure de la mondialisation, comme une évidence. La théorie économique dominante, largement favorable au libre échange, voit dans le commerce international une source de croissance pour tous. Entendons

ENTREPRISE CANADA Thème : ý ý Accord de Libre Echange: Maroc-Canada Les Franchises Canadiennes au Maroc Préparé par : ý M. OUEDRAOGO Alassane ý M. KOUBIH Yassine ý M.RAHMOUNI ELIDRISSI Azelarab Encadré par : M. ZOUHAIRI Kamal Plan : ý Introduction ý Chapitre I: Accord de Libre Echange Maroc-Canada ý Introduction ý Projet d'Accord de Libre Echange ý Relations Commerciales ý Maroc-Canada en Chiffres ý Avantages de l'ALE ý Conclusion ý Chapitre II: Les Franchises Canadiennes

Leçon 1 Pourquoi les nations échangent-elles ? La question du commerce oppose les penseurs et les économistes depuis au moins le XVIIème siècle. On trouve d'un côté ceux qui plaident pour la liberté des échanges, du commerce (en Angleterre : John Lock, Adam Smith, David Hume ; en France : Turgot, Condillac, Bastiat, Montesquieu). Ces auteurs ont en commun la croyance en le laisser-faire, en l'idée que l'intérêt général est la somme des intérêts particuliers. Cf. citations de Frédéric Bastiat

Bodin qui énonce le premier cette théorie, en se basant sur la loi de l’offre/demande : plus la monnaie est abondante, plus sa valeur est faible, donc plus la quantité de monnaie pour acquérir un bien (donc le prix) est importante * Equation des échanges de Fisher : MV+M’V’=PT * M= monnaie divisionnaire et V sa vitesse de circulation * M’=monnaie scripturale et V’ sa vitesse de circulation * P le niveau général des prix et T le volume des transactions * Limites :

 Dans les années 1980, le courant néo-classique encourage les pays en développement à adopter des réformes axées sur le marché qui ont inclus comme élément fondamental, la promotion du libre-échange, la réduction des barrières commerciales et l'ouverture du commerce international à la concurrence étrangère, pour atteindre l'efficacité économique et la croissance (Todaro et Smith, 2012, Balassa Bela 1978, Deepak Lal 1987 et Jagdish Bhagwati 1988). Plusieurs d'autres économistes ont

l'ambiguïté des limites de l'Europe (notamment concernant l'adhésion de la Turquie, qui se trouve géographiquement en quasi-totalité en Asie Mineure1), la crainte qu'un trop grand élargissement provoque une dilution de l'Union en une simple zone de libre-échange avec des replis ethniques potentiels, et que les démarches d'adhésion occasionnent des conflits sur les points politiques non résolus : le statut du Kosovo (dont l'indépendance vis-à-vis de la Serbie n'est pas reconnue par la Serbie ni par tous

Présentation de l'éditeur Certains mythes économiques ont la vie dure. L'idée du XXe siècle comme paradis du libre-échange, ou celle d'une prospérité de l'Occident bâtie sur le pillage des colonies confortent ainsi bien des enthousiasmes ou des indignations. Mais elles ont l'inconvénient majeur d'être totalement fausses. Paul Bairoch, spécialiste renommé de l'histoire économique, entreprend dans cet essai à la fois alerte et richement documenté de démolir une vingtaine d'idées reçues de la même

commercial des E-U ), et l'Amérique Latine . Les relations commerciales entre les E-U et leurs partenaires sont réglementées et favorisées par des organisations économiques régionales ( ALENA, APEC) et internationales (OMC). Les Etats-Unis ont promu le libre-échange mais ils se réservent le droit de sanctionner de taxes supplémentaires les firmes ou les États suspectés de concurrence déloyale (section 301 du Trade Act (Loi sur le commerce ) ou accusés de mener des activités menaçant les intérêts américains

aux libre échange celui-ci étant l’un des rares moyens permettant aux différent pays de la planète de se développer (pensée néolibérale). Face aux tentations protectionnistes de certains états et aux différentes entraves au libre-échange le commerce internationale est supervisé par un certain nombre d’institutions internationales (FMI, OMC) qui ont pour mission principale de définir les règles du jeu et d’assurer la stabilité du système du commerce international. L’organisation des échanges internationaux