Le Lion Amoureux Fontaine

chaud l'hiver et me fait beau l'été. – Voyez, il est tout neuf. – Il entr'ouvre son manteau, qui laisse voir un superbe pourpoint de satin rose brodé d'or. Les poches en sont pleines De billets doux au comte adressés par centaines. Souvent, pauvre, amoureux, n'ayant rien sous la dent, J'avise une cuisine au soupirail ardent D'où la vapeur des mets aux narines me monte. Je m'assieds là. J'y lis les billets doux du comte, Et, trompant l'estomac et le coeur tour à tour, J'ai l'odeur du festin et l'ombre

au total sur un plateau de backgammon ? Selon l'expression familière, que coince-t-on quand on paresse ? Communément, qu'est-ce qu'un moutard en argot ? Dans quel sport le Français Michel Desjoyeaux s'illustre-t-il ? D'après la fable de Jean de La Fontaine, qui le rat de ville invite-t-il à manger ? Quelle crème accompagne traditionnellement l'île flottante ? De quel pays la ville d'Helsinki est-elle la capitale ? Sans citer de marque, quel alcool faut-il mélanger au sirop d'orgeat pour obtenir une

des cérémonies, représentent une nouveauté par rapport au récit épique. Au cours de la deuxième moitié du xiie siècle, les auteurs les plus renommés sont : Béroul (Tristan), Thomas (Tristan), Chrétien de Troyes(Tristan, Lancelot, Le chevalier au Lion, Perceval). Leur vers préféré est celui de douze syllabes, employé dans Le Roman d'Alexandre, d’où son nom, l’alexandrin. Le roman connaît une évolution et une diversification, prenant des couleurs diverses, réaliste avec le Roman de la rose de Jean

Les meilleures vacances de votre vie, c’était où, quand, avec qui ? Faites-nous partager vos souvenirs et vos bons plans ! www.cosmopolitan.fr/vousmeilleures-vacances Qui vous a parlé de sexe pour la première fois ? Une copine,un enseignant, un amoureux,un parent ? Quel âge aviez-vous ?Avez-vous trouvé ça utile,choquant,prématuré, tardif ? Dites-nous. www.cosmopolitan.fr/vous-premiere-fois Que mettez-vous dans votre valise ? Oui,bien sûr, maillot, trousse de toilette… Mais quelle est votre arme

« pour voir », comme l'appelle Claude Bernard. Le romancier part à la recherche d'une vérité. Je prendrai comme exemple la figure du baron Hulot dans La Cousine Bette, de Balzac. Le fait général observé par Balzac est le ravage que le tempérament amoureux d'un homme amène chez lui, dans sa famille et dans la société. Dès qu'il a eu choisi son sujet, il est parti des faits observés, puis il a institué son expérience en soumettant Hulot à une série d'épreuves, en le faisant passer par certains milieux

vraies raisons de son départ. Plus surprise qu'offensée dans sa gloire et déçue dans son amitié, elle reçoit froidement cet aveu, et le laisse partir. Scène 5. La confidente de Bérénice, Phénice, lui reproche de ne pas avoir gardé en réserve cet amoureux fidèle, au cas où Rome ferait obstacle à son mariage avec Titus, car le peuple romain entretient une vieille haine contre la royauté, et le sénat est hostile à toute union avec une reine étrangère. Émue par le souvenir de la gloire de Titus pendant

sensibilité baroque, le classicisme érige en valeurs la simplicité, l’équilibre, le respect des règles imitées de l’Antiquité. La tragédie (CORNEILLE, RACINE) se fixe des règles strictes ; MOLIÈRE critique les artifices des précieux au nom du naturel ; LA FONTAINE (Fables, 1668-93), BOILEAU (Art Poétique, 1674), LA BRUYÈRE (Les Caractères, 1688), s’inspirent d’auteurs grecs et latins. Des polémiques opposent MOLIÈRE aux dévots (Tartuffe, 1664 - 1667), PASCAL aux jésuites (Les provinciales, 1656), ou divisent

éclipseraient les queues, Les petites fleurs d’or, les petites fleurs bleues, Prennent, pour l’accueillir agitant leurs bouquets, De petits airs penchés ou de grands airs coquets, Et, familièrement, car cela sied aux belles : « Tiens ! c’est notre amoureux qui passe ! » disent-elles. Et, pleins de jour et d’ombre et de confuses voix, Les grands arbres profonds qui vivent dans les bois, Tous ces vieillards, les ifs, les tilleuls, les érables, Les saules tout ridés, les chênes vénérables, L’orme

éclipseraient les queues, Les petites fleurs d’or, les petites fleurs bleues, Prennent, pour l’accueillir agitant leurs bouquets, De petits airs penchés ou de grands airs coquets, Et, familièrement, car cela sied aux belles : « Tiens ! c’est notre amoureux qui passe ! » disent-elles. Et, pleins de jour et d’ombre et de confuses voix, Les grands arbres profonds qui vivent dans les bois, Tous ces vieillards, les ifs, les tilleuls, les érables, Les saules tout ridés, les chênes vénérables, L’orme au branchage

A. Distinguez les comparaisons, les métaphores, les allégories et les personnifications en indiquant dans chaque cas les points communs entre comparé et comparant. Un Lion décrépit, goutteux, n'en pouvant plus, Voulait que l'on trouvât remède à sa vieillesse : Alléguer l'impossible aux rois c'est un abus. Jean de La Fontaine, Fables Un caractère moral s'attache aux scènes de l'automne : ces feuilles qui tombent comme nos ans, ces fleurs qui se fanent comme nos heures, ces nuages qui fuient