Le Lion Amoureux Fontaine

désireuse de plaire, émue d’être digne et embellie de sabbat. « Bienvenus, paisible sabbat », nous disait-elle. Et de ses mains levées, écartées en rayons, elle me bénissait sacerdotalement et regardait, presque animalement, avec une attention de lionne, si j’étais toujours en bonne santé ou, humainement, si je n’étais pas triste ou soucieux. Mais tout était bien ce jour-là et elle aspirait l’odeur du myrte traditionnel que nous lui apportions. Elle frottait les brins entre ses petites mains et

parc, et beaux jardins, qui dans votre clôture Avez toujours des fleurs et des ombrages verts, Non sans quelque démon qui défend aux hivers D’en effacer jamais l’agréable peinture; Lieux qui donnez aux coeurs tant d’aimables désirs Bois, fontaines, canaux, si parmi vos plaisirs Mon humeur est chagrine, et mon visage triste Ce n’est point qu'en effet vous n'ayez des appas; Mais quoi que vous ayez, vous n’avez point Caliste Et moi je ne vois rien quand je ne la vois pas. INTRODUCTION

même plan de qui intéresse les bourgeois exécrés par le poète. Bestiaire : « Histoire du Cheval » Mis en musique par Marcel Duhamel. Composé en 1933 pour le groupe Octobre et mis en musique par Eisler comme « Vie de famille ». Comme chez La Fontaine, l’animal sert de miroir à la société. Le cheval subit la guerre comme l’homme du peuple. Mais Prévert pense qu'on peut maîtriser son destin et le cheval déserte. Histoire impossible du début. Littérature presque médiévale : « Braves gens écoutez

précisément de ce décalage que provient le caractère comique de la tirade, auquel contribuent aussi le verbe familier « je crève » et l’hyperbole « je souffletterais mille fois mon visage ». 5 Interpréter a. Les paroles de Rodolphe relèvent du lyrisme amoureux le plus conventionnel : il utilise des questions rhétoriques et des exclamations, la comparaison convenue « comme deux fleuves qui coulent pour se rejoindre », la gradation « ce soir, demain, les autres jours, toute ma vie ! », l’hyperbole « jamais

cheval (Paul Fort) (1952) 17 1 *28 Le parapluie (1952) 18 1 30 La marine (Paul Fort) (1953)n 19 1 *Comme hier (Paul Fort) (1953) 20 1 *36 Il suffit de passer le pont (1953) 22 1 22 Ballade des dames du temps jadis (François Villon) (1953)n 24 2 42 Les amoureux des bancs publics (1953)n 26 2 46 Brave Margot (1953)n 28 2 52 La cane de Jeanne (1953)n 28 2 *56 J'ai rendez-vous avec vous (1953) 30 2 58 Le vent (1953)n 32 2 60 Il n'y a pas d'amour heureux (Louis Aragon) (1953)n 34 3 *84 Le nombril des femmes

ou en terre battue pour les tronçons datant de 80 à 44 av. J.-C. On passait d'un trottoir à l'autre grâce à de grosses pierres aux bords arrondis qui permettaient de traverser la rue quand celle-ci était inondée par la pluie ou le trop plein des fontaines publiques. L'entretien des rues incombait aux édiles et celui des trottoirs aux propriétaires des maisons d'où la diversité des matériaux des trottoirs. ------------------------------------------------- Noms de rue Les noms antiques des rues de

titre éternel l'honneur d Apollon Afin que tous, d'une foi inébranlable, Pussent croire en sa parole. Surplombé par les hauteurs du Parnasse, Delphes, où se tenait l'oracle d'Apollon, joue un rôle important dans la mythologie. Castalie était sa fontaine sacrée et Céphise son fleuve. Delphes passait pour être le centre du monde, aussi les pèlerins y affluaient-ils, de Grèce comme d'ailleurs. Il n'avait pas de rival parmi les autres sanctuaires. Les réponses aux questions posées par les visiteurs

rendre, et qu’ils disent juste ce qu’ils veulent dire. - Daumier dessine peut-être mieux que Delacroix, si l’on veut préférer les qualités saines, bien portantes, aux facultés étranges et étonnantes d’un grand génie malade de génie; M. Ingres, si amoureux du détail, dessine peut-être mieux que tous les deux, si l’on préfère les finesses laborieuses à l’harmonie de l’ensemble, et le caractère du morceau au caractère de la composition, mais ................................. .....................

en 830 dit que dans la traversée des Pyrénées : perfidie des basques où furent tuer deux personnes parmi d’autres. II. La poésie lyrique. C’est une poésie chantée (musique + instruments) en deux temps : Courtoise : importance du sentiment amoureux. Pragmatique : + terre-à-terre. Elle apparaît d’abord en langue d’Oc avant d’aller vers le Nord. En langue d’Oc, on appelle les poètes courtois les troubadours et pour celle d’Oïl, les trouvères. Le premier troubadour est Guillaume IX d'Aquitaine

quiers fer, liqueur, ni médecine ; L'heur et plaisir que ce m'est de périr De telle main ne permet que j'essaie Glaive tranchant, ni froideur, ni racine. Notes - Vers 2 : «premier» : «d'abord». - Vers 3 : «flamme» : «sentiment amoureux» ; «éprise» : «allumée». - Vers 4 : «trait» : «flèche». - Vers 6 : «prise» : «apprécie». - Vers 11 : «quiers» : forme du verbe «quérir», «chercher». - Vers 11 : «médecine» : «remède», qui serait une «racine» (vers 14). - Vers 12 : «heur»