Le Lion Amoureux Fontaine

recondamne pour 10 ans hors de la ville. On perd sa trace à 31 ans et il est mort en 1489. Poète du 15ème siècle mais connu au 19ème. Excrot par excellence. Louise Labé « Je vis je meurs » Biographie : De son vrai nom, Louise Chanty. Né en 1524 à Lion et mort en 1566 à Pancieux-en-bambes à 42 ans. Il est le fruit d'un second mariage. Épouse un homme riche. L'équitation est une seconde passion, elle ne montait pas en amazone. Pléiade : groupe de quatre poètes au 16ème qui ont la même idée. Influence/ovide :

liberté ≠ tyrannie / avenir ≠ passé  La présence massive de l’Histoire On fait apparaître une écriture de l’opposition  Opposition peuple ≠ foule Définition antithétique du genre humain : lumière ≠ chaos On souligne la place des images  L’image du lion On interroge la représentation du poète. La figure du poète : - « le penseur », celui qui « entendra » - qui représente le « nous » du Prologue ? Conclusion : Programmation d’une écriture de l’antithèse, d’une écriture de l’image, d’une écriture

blanc, muets, 6 images par second. -première vue : Rome cortège au mariage du prince de Naples. Dans cette vue ce qui est très fort c’est que le cadre est parfait, derrière il y a une statue, on a la cathédrale. Devant la cathédrale il y a une fontaine, elle produit du mouvement qui est lumineux. On a de sens plastique -on a 2 vues sur des concours de boules/partie de boules. Dans la première on voit tout, il y a plein aussi de gens qui ne comprennent pas ce qui va se passer. C’est une sorte d’innocence

la solitude devant ses propres reves. Tel est ce recit raconte par l'homme au seuil de la vieillesse a ses compagnes de voluptes mondaines, qui raconte un eblouissement sincere et obscur. Vraiment belle histoire qui est le seul veritable evenement amoureux de ce grand conquerant de femmes, sa seule et sincere avanture La petite heroine ressemble a tant de heros au-dessus du commun vive et brulante, tel Perceval feminin qui se reveille aupres de sa Forest Gaste Comment by

sociale soit plus susceptible qu'un autre de se définir par son oeuvre et non par son lignage. Situation qu'on peut mettre en relation avec le triangle de l'amour courtois, dans lequel le poète dévalorise la figure paternelle en se posant en rival amoureux de son suzerain (14). Pour la psychanalyse freudienne il existe une relation essentielle entre le meurtre du père et le processus créateur, comme le montre l'élaboration même de la théorie de l'interprétation des rêves qui naît à travers une réflexion

• A nous deux ma belle • A peine sorti de l'oeuf • A plein régime • A point, bleu ou saignant • A portée de voix • A qui la faute? • A quoi bon? • A rebrousse poil • A ticket to Hollywood • A tous les amoureux • A tous les étages • A tous les virés, les humiliés, les exclus • A toute allure • A toutes les sauces • A toutes pompes • A travers champs • A travers la vieille ville • A travers le vitrail • A tu et

qui, depuis la position qu’elle occupe à cet endroit, chasse le Soleil et la Lune (ou le Soleil et Vénus, ou encore Mercure et Vénus) à l’extérieur d’un pareil endroit, ce qui présuppose que les deux planètes se retrouvent dans la constellation du Lion ou dans celle la Vierge, voire même plus bas, le long de la ligne de l’Ecliptique ; la planète Jupiter, dis-je, se tient, à cet instant précis, à l’entrée de la Voie Lactée située côté Taureau Gémeaux. Pour autant, qu’elle se situe à cet endroit

..................................................................153 CXI. – Femmes damnées .........................................................155 CXII. – Les deux bonnes sœurs .............................................. 156 CXIII. – La fontaine de sang ....................................................157 CXIV. – Allégorie..................................................................... 158 CXV. – La Béatrice .................................................................. 159 CXVI

..................................................93 CXI. – Femmes damnées...................................................................95 CXII. – Les deux bonnes sœurs ........................................................ 96 CXIII. – La fontaine de sang............................................................. 96 CXIV. – Allégorie ...............................................................................97 CXV. – La Béatrice.......................................................

..................................................................153 CXI. – Femmes damnées .........................................................155 CXII. – Les deux bonnes sœurs .............................................. 156 CXIII. – La fontaine de sang ....................................................157 CXIV. – Allégorie..................................................................... 158 CXV. – La Béatrice .................................................................. 159 CXVI