Le Lion Et Le Moucheron La Fontaine

BAC BLANC de FRANÇAIS Séries technologiques Lundi 1er mars 2010, durée 4h L’argumentation : convaincre, persuader et délibérer. Documents A. Jean de La Fontaine, « La Génisse, la Chèvre et la Brebis, en société avec le Lion », Fables, I, 6, 1668-1696. B. Jean de La Fontaine, « Le Lion et le Moucheron », Fables, II, 9, 1668-1696. C. Jean-Jacques Rousseau, Emile ou de l’Education, II, 1762. Questions (6 points) 1. documents A et B : retrouvez la morale pour chacune de ces deux fables

d'une famille relativement bourgeoise, Jean de La Fontaine passe toute son enfance et son adolescence en Champagne puis s'installe à Paris, où il fait la connaissance de Nicolas Fouquet, surintendant des Finances de Louis XIV qui le prend sous sa protection et lui accorde une pension. La Fontaine dédie le poème épique « Adonis », tiré d’Ovide et

 Anthologie Fables « La Fontaine » Avant d'étudier les Fables de Jean de La Fontaine de mon choix (Le Chat et le Rat, Le Lion et le Moucheron, Le Loup devenu Berger), je vais d'abord parler du poête, plus précisément fabuliste, Jean de la Fontaine. Jean de La Fontaine (né le à Château-Thierry, et mort le à Paris) est un poète français de grande renommée, principalement pour ses Fables et dans une moindre mesure ses contes licencieux. On lui doit également des poèmes divers

Lorsque Jean de La Fontaine publie ses premières fables en 1668, il les dédicace à “Monseigneur le Dauphin”, héritier du trône et fils de Louis XIV, âgé de sept ans. Il affiche ainsi ses ambitions pédagogiques. D’ailleurs, dans la tradition scolaire et dans la mémoire collective, les fables sont avant tout destinées aux enfants et elles suivent les élèves durant toute leur scolarité, jusqu’au lycée. Dès lors, nous nous demandons si les fables de La Fontaine ne concernent que les enfants. Cette interrogation

L'image du Lion à travers les fables de la Fontaine Introduction Nous étudions en ce moment en cour, les Fables de Jean de la Fontaine. Nous pouvons aborder divers thèmes grâce à cette œuvre. Aujourd'hui, j'ai été chargé de vous parler de l'image du lion dans les Fables de la Fontaine. Le lion a toujours été signe de puissance, de force, de pouvoir, de souveraineté et aussi de cruauté. Et dans les Fables, cet animal est représenté de la même manière le plus souvent. De temps en temps, il

par exemple. Dans «  Les obsèques de la lionne » de Jean De La Fontaine. Les animaux représentent de réels personnes ainsi le lion représente le roi, le pouvoir. La fable nous donne l'image d'un roi manipulable. Les autres animaux sont également personnifiés, ce sont des courtisans hypocrite qui imite la tristesse du roi, suite au décès de sa femme. La Fontaine fait le procès de l'hypocrisie qui règne à la cour. De même pour le lion et le moucheron, le lion représente une personne à haut pouvoir qui

La Fontaine INTRODUCTION Présentation œuvre et auteur Les Fables La Fontaine se répartissent en 12 livres qui se regroupent en 2 recueils. Le premier recueil comprend les livres I à VI, il parait en 1668. Le second recueil

Émile n'apprendra jamais rien par cœur, pas même des fables, pas même celles de La Fontaine, toutes naïves, toutes charmantes qu'elles sont ; car les mots des fables ne sont pas plus les fables que les mots de l'histoire ne sont l'histoire. Comment peut-on s'aveugler assez pour appeler les fables la morale des enfants, sans songer que l'apologue, en les amusant, les abuse ; que, séduits par le mensonge, ils laissent échapper la vérité, et que ce qu'on fait pour leur rendre l'instruction agréable

considéré comme un être imparfait . Emile ou de l’éducation est une œuvre philosophique dans laquelle Rousseau critique l’éducation par les fables de la fontaine c’est ce que l’on analysera dans un premier temps , par la suite on analysera la pédagogie selon Rousseau pour enfin montrer en quoi Rousseau est un novateur. I Critique de Jean de la Fontaine Les reproches de Rousseau sont multiples. Selon lui, par la complexité des fables (argumentation indirecte et fables en vers ), les fables ne sont

d’Hésiode et d’Esope, Jean de la Fontaine reprend parfaitement ce principe dans « Les animaux malades de la peste », issue de son VIIème livre de Fables. Alors que la Peste ravage le monde, les animaux tiennent conseil afin de juger lequel d’entre eux a, par ses fautes, entraîné le « céleste courroux ». Une fois le tribunal mis en place, le procès est rapidement expédié et abouti à la condamnation de l’Âne, pauvre herbivore ayant brouté un peu d’herbe ; tandis que le Lion, ayant dévoré de nombreux moutons