Le Liseur

lecture. Merci à tous les collègues, authentiques acteurs de leur formation. Un salut amical à Jean-Pierre GROSPERRIN. Daniel CHAPELAN et Maurice MONNET. SÉQUENCE : ÉTUDE d’une ŒUVRE INTÉGRALE : LE LISEUR de B. SCHLINK Bernhard SCHLINK, Le liseur, 1999, Folio. Cette séquence a été réalisée avec une classe de Terminale BEP, Carrières Sanitaires et Sociales (30 élèves), au LP Montciel à Lons le Saunier. Objectifs de la séquence : Sensibiliser les élèves à la littérature

Réponses sur le film : Le liseur 1) Il respecte plutôt le fait qu’elle soit ignorante parcequ’elle a tellement honte qu’Hanna ne veut que personne ne le sache. Donc, si il dit qu’elle est ignorante il l’a trahi en révélent son secret. Le garçon dit lui-même qu il ne peut le dire au juge car elle-même ne veut pas. 2) Il ne l’a jamais pardonné de partir sans rien dire sans lettre sans rien laisser. Mais aussi il ne la pardonne pas de ne pas avoir ouvet les portes de l église. 3) Il

homme et la mer, Barrage contre le Pacifique - transition : courage et humanité : Dans la peau d'un noir, Le vieux qui lisait des romans d'amour - les qualités humaines de personnages ordinaires : La dame en rose, Enfants perdus, le liseur, Syngué Sabour Au cours du temps, les personnages de roman ont beaucoup évolué. Ils sont passés de personnages mythologiques, chevaleresques, véritables héros à des personnages ordinaires qui jouent le rôle principal de l'histoire. Les premiers

première esquisse. Mais il faut une première esquisse ; il faut un contour fermé. L'abstrait est défini par là. Toutes nos erreurs sont des jugements téméraires, et toutes nos vérités, sans exception, sont des erreurs redressées. On comprend que le liseur ne regarde pas à une lettre, et que, par un fort préjugé, il croit toujours l'avoir lue, même quand il n'a pas pu la lire ; et, si elle manque, il n'a pas pu la lire. Descartes disait bien que c'est notre amour de la vérité qui nous trompe principalement

Andromaque, Iphigénie Radguet, Le diable au corps Sartre, Huis clos Schmitt, La nuit de Valogne Verlaine, Fêtes galantes, Poèmes saturniens Yourcenar, Les Mémoires d’Hadrien Zola, L’œuvre, Nana 2. L’Allemagne Kehlmann, Les Arpenteurs du monde Schlink, Le Liseur Zweig, Le Joueur d’échecs 3. La Russie Dostoïevski, Le Joueur 4. La République tchèque Kundera, L’Ignorance, L’insoutenable légèreté de l’être 5. La littérature anglophone Lewis, Pourquoi j’ai mangé mon père Shakespear, Roméo et Juliette Wilde, Le

poser tranquillement au calme. Lorsque l'on lit, il y a aussi cette solitude qui s'installe et qui soulage dans un monde où tout va trop vite, on l'on dépend des autres. La lecture est aussi associé au silence, un silence apaisant. Alors que les «liseurs» baladent les livres numériques partout comme dans des transport en commun ou sur leurs lieu de travail ou toutes les conditions pour lire sereinement ne sont pas respecter. Enfin le livre sur papier est aussi lié à la qualité. Lorsque

d'Anne Franck Un secret, P. Grimbert Stupeur et tremblement, La Métaphysique des tubes, A. Nothomb Une Enfance créole, Chamoiseau Roman et histoire Le Nom de la rose, Umberto Eco (Moyen Age) Les Piliers de la terre, Ken Follet (M.A.) Le Liseur, B. Schlink (2e guerre) Les raisins de la colère, Steinbeck (1ere guerre) Balzac et la petite tailleuse chinoise, Dai Sidji (Chine) La joueuse de go, Shan Sa (Japon) Elle s'appelait Sarah, T. de Rosnay (2e guerre) La fiancée du Nil, C. Jacq (Egypte)

Aspects bibliographiques Titre : Le liseur de Bernard Auteur : Bernard Shlink Date de première publication : 1995 © éditeur, collection, année d'édition : Paris, Gallimard, coll. « Du monde entier »,‎ octobre 1996 Paris, Gallimard, coll. « Folio » (no 3158),‎ 20 février 1999, 242 p Remarques : Genre et registre littéraires Genre Roman NB : Choix, puis rappel de définition et du contexte littéraire à faire. Il faut enlever ce qui n'est pas utilisé Registre Lyrique Pathétique

persuader les lecteurs de l'horreur de ce fléau et de la triste manipulation des acteurs de cet acte ignoble. En quoi Victor Hugo s'engage-t-il ici dans un débat social ? [...] Elles ont également comme intention d'interpeler le lecteur, et pour le liseur déjà convaincu par cette cause, d'attirer sa pitié. Ensuite, nous remarquons que le vocabulaire employé pour les enfants est très contrasté quant à celui utilisé pour définir le travail. Il est vrai que de métaphoriser les enfants en anges et de faire

lieu à travers la Nature, puis au second degré à travers l'homme par l'Art. Hugo est celui qui a défendu avec le plus d'éloquence l'imperfectibilité de l'Art. Lui qui croyait avec tant de conviction au Progrès — «le genre humain, écrit-il, est un liseur. Il a longtemps épelé, il épelle encore; bientôt il lira.» — estimait que le grand artiste n'ajoute rien à ses prédécesseurs. «Les chefs-d'œuvre ont un seul niveau, l'absolu. Une fois l'absolu atteint, tout est dit. L'œil n'a qu'une quantité d'éblouissement