Le Liseur

Platon lui donne même le droit d’enseigner, la rhétorique, en tant que répétiteur7. Il reste 20 ans à l'Académie – jusqu'à la mort de Platon. Il peut donc dire, à ce moment : « Nous », au sens de « Nous, les platoniciens »8. Platon l'appelle « le liseur » (ὁ ἀναγνώστης)9 ou « l'intelligence de l'école » (νοῦς τῆς διατριβῆς). Il est platonicien, mais critique, puisqu'il rejette la théorie des Idées, centrale chez Platon, ce qui a inspiré la célèbre formule : « Ami de Platon, mais encore plus de la

implants ou des prothèses dotés d’un mécanisme interne, autonome ou semi-autonome. Dans la vie de tous les jours, on ne réagit pas du tout naïvement aux formes d’augmentation auxquelles nous sommes confrontés (prothèses, implants médicaux, capteurs liseurs connectés au cerveau des patients paralysés leur permettant d’atteindre au mouvement et à la communication, etc.). Le transhumanisme est d’abord et surtout perçu comme une façon de dynamiser le vivant. D’ailleurs, les technologies s’implanteront probablement

Bienveillantes, 2006. Propositions de références sur la vie quotidienne de gens ordinaires, élevés au statut de héros romanesques Guy de Maupassant, Une vie, 1883. Isabelle Monnin, Les gens dans l’enveloppe, 2015. Jean-Paul DidierLaurent, Le liseur du 6h27, 2014. Pour prolonger la réflexion du corpus héros ordinaire/extraordinaire Suggestion de plan qui distinguerait les héros réels des héros fictifs tout en soutenant qu’on a besoin de héros extraordinaires. I - Héros réels - Personnages

La Satire X était « contre les femmes », car il accusait celles-ci de soutenir le parti des modernes. Boileau défendit Molière et Racine contre les critiques injuste avec autant de cœur que de discernement. Il était « grand travailleur et grand liseur », « sincère ». Cette sincérité fonde les principes de sa critique, de son esthétique et de sa morale. La doctrine de Boileau est aussi l'expression d'une sagesse humaine. Il avait le don de la formule, mordante dans les Satires, frappantes dans l'Art

salle de classe au navire. Ensuite, le livre permet la formation de l'individu, il enrichi le lecteur, permet l'ouverture d'esprit comme l'œuvre de Thibaudet : Réflexion sur le roman, où il présente deux formes de lecteurs, les lecteurs et les liseurs de roman, ces derniers font grâce à la lecture, une analyse de la nature humaine, donc d'eux même. Et enfin, le livre permet de lutter contre l'oppression, d'y résister, comme dans l'Enfant, où, le personnage étant enfermé dans sa salle d'étude

ALLEMANDE Effi Briest de T. Fontane La métamorphose de F. Kafka Le joueur d’échecs } La Confusion des sentiments } de S. Zweig L’honneur perdu de Katharina Blum de H. Böll Journal d’A. Franck Le parfum de P. Süskind Mademoiselle Else de A. Schnitzler Le liseur de B. Schlink 3° LITTERATURE RUSSE La fille du capitaine } La dame de pique } de A. Pouchkine Le nez de N. Gogol Anna Karenine de L. Tolstoï Premier amour d’I. Tourgueniev La mère } Enfance } de M. Gorki 4° LITTERATURE ITALIENNE Le chevalier

| |Génération 1968 : Valeur de cette notion? Pertinence ? Milou en Mai de Louis |Le mythe et le complexe d'Œdipe : Que nous apprend Œdipe sur les générations? | |Malle (1990) |Le Liseur de Schlink : Quel problème inter-générationnel pose ce roman? | |la bof génération |Gran Torino (film): Transmission et divorce entre générations. | |les bobos

représente un désir à l’état primitif ou à l’état de fœtus, … * le thème de l’errance : de quête de la perfection, refus des origines terrestres, … 3- la critique d’obédience psychanalytique et phénoménologique de Bachelard : Bachelard est un liseur : il rêve à partir des rêveries de l’auteur. Il a été le précurseur de la nouvelle critique et en particulier de la critique thématique celle-ci a libéré le lecteur des contraintes méthodiques de la critique traditionnelle. Le lecteur devient un

son travail propre est de revenir, de ne point s'obstiner, de corriger selon l'objet la première esquisse[...]. Toutes nos erreurs sont des jugements téméraires, et toutes nos vérités, sans exception, sont des erreurs redressées. On comprend que le liseur ne regarde pas à une lettre, et que, par un fort préjugé, il croit toujours l'avoir lue, même quand il n'a pas pu la lire. Descartes disait bien que c'est notre amour de la vérité qui nous trompe principalement, par cette précipitation, par cet élan

|(exposition de livres au CDI) |Ecriture : | | |Statut du lecteur |Textes littéraires |- Le Liseur |4ème de couverture ; une critique ( initiation à | |Lire | |+ |- Petite